GRENOBLE : LES DÉLINQUANTS PRENNENT LE POUVOIR QUARTIER PAR QUARTIER
La progression de la prise du pouvoir par la délinquance à Grenoble est impressionnante. Comme une pieuvre mafieuse elle étend ses tentacules. Dans les quartiers "traditionnels" elle s'affiche avec arrogance. Le 19 janvier encore à Mistral, les policiers ont dû rebrousser chemin accueillis par des jets de projectiles. Selon Place Gre'Net, la police signale dans son rapport « de nombreux jets de pavés lancés par une dizaine d’individus qui surgissent des bosquets et de l’arrière des véhicules en stationnement ».
LES DÉLINQUANTS FONT BARRAGE À LA POLICE
"Le Dauphiné" révèle qu'hier, quartier Beaumarchais, les délinquants ont protégé la fuite d'un évadé que la police poursuivait. Une trentaine de personnes au visage dissimulé par une cagoule se sont engagées dans le combat contre la police pour lui barrer la route. L'individu a pu se barricader dans un appartement abandonnant ses sachets de cocaïne. Deux complices le protégeaient dans l'appartement pendant que la police enfonçait la porte, lui permettant de fuir.
LA POLICE MUNICIPALE EST INTERDITE DES 2/3 DE LA VILLE
Les bandes sont de plus en plus nombreuses, organisées, armées. La police municipale ne peut plus se rendre dans les deux tiers de la ville. Sauf le matin tôt quand elle est certaine de ne croiser personne. Son espace est de plus en plus réduit au centre ville, mais elle a ordre de Piolle de ne pas intervenir sur les actes de délinquance puisqu'elle n'est pas armée. Elle doit ... téléphoner à la police Nationale. Ici c'est Grenoble.
E. PIOLLE, 6 ANS PRÉSIDENT D'ACTIS, A LOGÉ DES DÉLINQUANTS
A l'Alma, rue Très Cloitres, elle est également installée dans les immeubles d'Actis, l'office HLM présidé 6 ans par Eric Piolle ! Il n'y a jamais eu une plainte, une amende, un signalement quelconque par le Maire ou le Président d'Actis - la même personne- par ailleurs Officier de Police Judiciaire. Les Rouge/Verts brandissent l'article 40 qui fait obligation à un élu de signaler les faits délictueux dont il a connaissance pour dénoncer Christophe Ferrari et l'utilisation de sa voiture de service, mais dans les logements qu'ils gèrent, dans l'espace public dont ils ont la responsabilité, ils ne voient rien à signaler.
LES DEALERS IMPOSENT LEUR LOI, LA SALETÉ ET L'INSALUBRITÉ AUX HABITANTS
Comme Mistral, il est entendu que l'Alma est impénétrable par la police, s'ajoutant à Teisseire, Jouhaux ou Villeneuve. Mais les nouveaux quartiers sont déjà gangrenés eux aussi. A Châtelet, le 6 rue Charles Rivail est envahi de guetteurs assis sur des sièges installés devant et dans l'immeuble suivant la météo. Ils jettent leurs déchets et leurs canettes à même le sol. A l'arrière le local poubelle et l'entrée des garages est un cloaque, envahi de rats. Les habitants doivent traverser cet univers en baissant les yeux, sans commentaire. Barbara Schuman, l'élue (Verts/LFI) qui préside Grenoble-Habitat qui a attribué les logements, ne lève pas le petit doigt ici comme ailleurs.
HOCHE : 3 PLACE ANDRÉ MALRAUX, UNE POLICE PARALLÈLE EST INSTALLÉE
La situation est identique au 3 place André Malraux à Hoche, géré par Actis. Il y a une "police" à l'entrée, la porte arrière de l'immeuble est condamnée par une barre de bois qui empêche de l'ouvrir afin que personne ne puisse venir perturber les trafics par surprise. Les vitres des coursives ont été peintes afin d'empêcher d'être vu. Les "équipes" sont nombreuses et organisées. Ceux qui peuvent partir abandonnent l'immeuble à ce nouveau pouvoir. En plein centre-ville.
CASERNE DE BONNE : DES PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS ONT PRIS LA FUITE
Caserne de Bonne, la "mixité" 50/50 a vite fait de nombreux dégâts. Des propriétaires occupants ont quitté les lieux mettant leurs biens à la location. Les garages souterrains sont le cadre de nombre de trafics. Tout à côté à la Capuche, la situation est la même: les dealers sont installés autour du 7 rue Léo Lagrange et font leur loi.
LA PRESQU'ÎLE DÉJA ÉLIGIBLE AUX DISPOSITIFS DES QUARTIERS EN DIFFICULTÉS
La municipalité vient d'étendre son dispositif d'intervenants au nouveau quartier de la Presqu'ile, hyperdense, avec seulement 1m2 d'espaces verts par habitant. C'est dire le succès de son urbanisme ! les habitants protestent contre l'entretien insuffisant, le trop modeste jardin, cerné d'immeubles de grande hauteur et souvent souillé et mal fréquenté. La municipalité met en place des "médiateurs" qui ont pour rôle de "désamorcer les situations conflictuelles" (!) dans l'espace public. Alain Carignon, le Président du groupe d'opposition, s'en est moqué lors du dernier Conseil Municipal, rappelant que tous les dispositifs en place ne marchaient pas, car ils ne s'attaquent pas à la réalité.
LES "MÉDIATEURS" D'IMMEUBLES SONT OBLIGÉS DE PACTISER AVEC LES DEALERS
D'ailleurs un autre dispositif qui consiste à financer des médiateurs contre les attroupements dans les immeubles ne fonctionne pas non plus : que peuvent faire des jeunes gens sans armes et sans pouvoir contre des bandes de dealers capables de s'attaquer aux policiers ? S'entendre avec les dealers afin que leur société conserve le marché le plus longtemps possible est leur seule solution. Pendant ce temps les habitants trinquent et Piolle fait comme si il agissait.
QUARTIER ST BRUNO : TRANSFORMÉ EN ZAD PAR L'ULTRA GAUCHE
On sait ce qu'il en est du quartier Saint-Bruno, qui subit la pression une délinquance qui n'hésite pas à tirer à balles réelles sur la terrasse d'un bar et la pression de l'ultra-gauche installée au 38 rue d'Alembert aux frais du contribuable qui transforme le quartier en ZAD. A Vigny-Musset, au village Olympique, les malheureux propriétaires auxquels la municipalité a vendu la mixité sociale sont spoliés. Et vont devoir payer la hausse d'impôts!
LE CENTRE-VILLE : LA MUNICIPALITÉ ACCÉLÉRE LA PAUPERISATION
Le centre-ville n'est pas plus rassurant. La municipalité multiplie les logements sociaux partout où elle peut faire des opérations (Hôtel Touring, angle Alsace Lorraine / Jaurès ou rue Jay), elle installe de vastes centres d'accueil des déboutés du droit d'asile rue de l'Ancien Champ de Mars, entre le cours Berriat et l'avenue Alsace Lorraine. Les derniers habitants à hauts revenus vendent leurs biens. La paupérisation et l'extension de la ghettoïsation sont en route.
SQUAT PAR UNE FAMILLE ROM, AGRESSION DE RETRAITÉS À DOMICILE
Si on observe une carte de Grenoble, c'est toute la ville qui est gangrenée. Des familles Roms ont squatté cette semaine la maison d'un retraité handicapé qui voulait la vendre pour payer son EHPAD. Au 54 boulevard Maréchal Foch, M. et Madame J., des retraités de 80 ans, ont été attaqués le 31 décembre à domicile et sauvagement frappés, jetés à terre. Ils ont ouvert leurs portes croyant à l'arrivée de leurs amis pour le réveillon. La table était prête. Ils ont passé leur soirée aux urgences du CHU et le mari est encore sur une chaise roulante plus d'un mois après l'agression.
LE QUARTIER REYNIÈS-BAYARD : UN URBANISME À TAILLE HUMAINE
Demeurent des ilots qui montrent l'importance de l'urbanisme : le seul "nouveau" quartier qui tient la route est Reyniès-Bayard autour d'un parc de 5,5 hectares avec seulement 80 HLM. Une réalisation de la municipalité Carignon. Pas totalement épargné bien sûr, mais un refuge dans la ville d'ailleurs choisi pour y habiter par des élus parmi les plus sectaires de la municipalité Piolle. Aucun d'eux ne choisit les faux "éco quartiers" qu'ils vantent pour y vivre eux-mêmes. Le tableau est inquiétant et les conséquences multiples. La dernière mesure qui va écraser un peu plus les propriétaires et accélérer leur fuite est la hausse prévue de 32 % des impôts fonciers.
E.PIOLLE NE VEUT ENTENDRE AUCUNE PROPOSITION DE L'OPPOSITION
Eric Piolle ne veut toujours rien entendre. Il s'enfonce dans la négation et poursuit sa politique qui conduit à la catastrophe économique et sociale. Le groupe d'opposition autour d'Alain Carignon réitère ses propositions de lutte contre la délinquance à chaque Conseil Municipal.
Un habitat plus équilibré, la fin de la bétonisation, les caméras de vidéo protection reliée à un PC opérationnel 24 h sur 24, l'expulsion des dealers condamnés des HLM, un critère de tranquillité publique dans l'attribution des logements, l'assermentation des personnels des HLM, de la ville sur la base du volontariat pour dresser procès verbal... Eric Piolle ne veut en retenir aucune.
MANIFESTATION LE LUNDI 13 MARS À 14H30 DEVANT L'EX SIÈGE DU CRÉDIT AGRICOLE
Les Grenoblois peuvent intervenir en signant la pétition pour les caméras de vidéo protection : avec 8000 signatures, Piolle est contraint d'organiser un référendum.
Ils peuvent venir manifester à 14h30, à l’ouverture du Conseil Municipal le lundi 13 mars prochain qui se tient à l’ex siège du Crédit Agricole, au 47 avenue Marcelin Berthelot (arrêts de tram MC2 et Malherbe) afin de protester contre la hausse massive des impôts locaux qui pourrait être votée ce jour-là. Car cette évolution délétère de la ville n'est pas inéluctable. Il suffit seulement de se mobiliser pour l'empêcher.
Catastrophique cette ville,je suis content d en être parti. Piolle a tué cette ville avec l extreme gauche!
Ca ne sert à rien de dénoncer piolle et tous les autres gauchistes de Grenoble, ça ne sert à rien de dénoncer l’urbanisme à outrance, ça ne sert à rien de dénoncer une mixité sociale imposée que les gauchistes croient pouvoir décréter.
Grenoble le changement, tout cela porte un nom et s’appelle : loi SRU.
Tant que cette loi ne sera pas purement et simplement annulée, ces effets néfastes continueront partout.
C’est pas uniquement les grands quartiers, les grands ensembles comme presqu’il, qui deviendra un autre villeneuve, c’est même dans les opérations des promoteurs privés, qui se gardent bien de le dire dans les pancartes publicitaires.