GRENOBLE BRÛLE T-IL ?

"On a frôlé le drame ce samedi après-midi à la Villeneuve de Grenoble lorsqu’un violent incendie s’est déclaré dans les parties communes situées au sixième étage d’un immeuble de huit niveaux, avenue de Constantine..."

"Deux familles vont devoir être relogées après deux incendies successifs survenus dans la nuit de mercredi à jeudi dans le même appartement inoccupé, situé rue Abbé-Grégoire. La thèse volontaire est privilégiée."

"Plusieurs véhicules ont été incendiés dans la nuit de mercredi à jeudi. À 2h15, une Citroën C4 Picasso a été incendiée sur l’avenue Jean-Perrot à Grenoble ; à 3h30, trois véhicules ont été détruits par les flammes, allée des Fresnes à Grenoble."

Ces extraits du "Dauphiné", pris parmi tant d'autres, seulement dans ce mois de février qui s'achève, témoignent du climat de la ville

À VILLENEUVE, "ON A FRÔLÉ LE DRAME" À CAUSE DU MAUVAIS ENTRETIEN

Les causes se cumulent. À Villeneuve, selon le DL (11/2/24), "on a frôlé le drame lorsqu’un violent incendie s’est déclaré dans les parties communes d’un immeuble de huit niveaux, avenue de Constantine. Des détritus et du mobilier se sont embrasés, provoquant un important dégagement de fumée. Le sinistre a pris de l’ampleur. L’une des équipes de reconnaissance a d’ailleurs localisé une habitante de 75 ans qui, en tentant d’évacuer, s’était perdue dans les fumées. Au total deux blessés et six relogements...." À Villeneuve, le mauvais entretien par la municipalité est un danger permanent. Les détritus accumulés aux pieds des immeubles, en particulier le week-end sont de la matière dangereusement inflammable. Un drame peut se produire.

RUE ABBÉ GRÉGOIRE, "L'INCENDIE AURAIT PU AVOIR DES CONSÉQUENCES DRAMATIQUES"

Rue Abbé Grégoire, l'incendie probablement volontaire "aurait pu avoir des conséquences dramatiques" selon le DL (1/3/24). La paupérisation de la ville touche tous les quartiers. Plus personne n'est à l'abri d'un accident grave du fait d'un peuplement totalement irresponsable.

VOITURES BRÛLÉES : LA FOURRIÈRE NE PEUT PLUS SUIVRE

S'agissant des voitures brûlées, dont le chiffre n'est jamais publié, la situation demeure inadmissible, même si tout le monde fait mine de s'en accommoder. Elles brûlent partout et sont si nombreuses que la fourrière municipale met un temps fou à les récupérer. Des habitants protestent régulièrement contre la présence de carcasses devant chez eux pendant plusieurs semaines. La délinquance qui a pris le pouvoir s'en donne à coeur joie sans aucune réponse municipale.

L'ULTRA GAUCHE MULTIPLIE LES INCENDIES CRIMINELS

À ces causes, il faut ajouter les incendies de l'ultra-gauche qui menacent surtout des équipements publics ou symboliques (une église, France Bleu Isère, la salle du Conseil Municipal) mais qui peuvent toucher les habitants. France Bleu, avenue Félix Viallet, n'est-elle pas installée au pied d'un immeuble ? Elle annonce de façon à peine masquée qu'elle va récidiver en 2024. 

38 RUE D'ALEMBERT : EXEMPT DE VISITES DE SÉCURITÉ

Au lieu de réagir, au 38 de la rue d'Alembert, confié à l'extrême gauche par la municipalité, celle-ci autorise tout alors qu'il est un site à risque. Olivier Bertrand, l'Adjoint au Maire (Verts/Ades) a décidé de le classer dans une catégorie qui lui épargne tout contrôle pour les travaux et pas de visite périodique de la commission de sécurité ! En cas d'incendie tous les immeubles environnants sont concernés. 

QUI SERA RESPONSABLE AU 38 ? PHILIPPE ROUSSET ET PIERRE COURCHINOUX ?

Son fonctionnement est totalement opaque, seulement relié à une association où le minimum du minimum a a été fourni. Deux noms figurent à la préfecture, Philippe Rousset et Pierre Courchinoux. Sont-ils assurés ? Solvables ? Etant entendu que l'association ne compte aucun adhérent identifié. L'article 6 des statuts stipule que "l'association se compose de membres de fait" (!). Il s'agit pour la famille politique d'Eric Piolle de vivre caché. Très étrange si on a seulement un projet politique à défendre...

LA DÉLINQUANCE, FORTE CAUSE D'INCENDIE

Une autre cause d'incendie est liée aussi à la délinquance. Qu'il s'agisse du mobilier urbain ou des poubelles. Tous les prétextes sont bons. Une "répression policière" (comprendre l'arrestation d'un délinquant) ou une fin de match. Que ce soit pour maudire une défaite ou célébrer une victoire. Les dégâts sont considérables. Des centaines de poubelles brûlent avec du mobilier urbain, endommageant des infrastructures. Les services de nettoyage doivent effectuer un travail considérable aux frais du contribuable.

Avenue Rhin et Danube, près de Mistral, certes la salle municipale n'a pas brûlé : elle a "seulement" été saccagée et rendue inutilisable.

DES CAMPS DE ROMS INCENDIÉS PAR LA MAFIA

Mais près d'Athanor, sur un terrain public, les câbles volés sont brûlés afin de récupérer le cuivre. Cet incendie particulier produit une grave pollution à la dioxine. Dans l'indifférence générale

La dernière et celle qui affecte les camps de Roms installés dans la ville. Le plus spectaculaire a été l'incendie criminel déclenché rue des Alliés sur un terrain municipal sur lequel la municipalité a laissé s'installer un bidonville. Un membre de la mafia qui organise ces trafics de la misère a mis le feu car un "locataire" de bidonville n'avait pas payé ses 500 € de loyer ! Il s'est propagé à l'usine Richardson voisine. Coût pour le contribuable puisque l'entreprise se retourne contre la ville, responsable : 6 000 000 d'euros. Relevons dans ce dossier qu'Eric Piolle a refusé de déposer plainte comme le lui demandait Alain Carignon.

 LES CONSÉQUENCES SUR LA POLLUTION JAMAIS MESURÉES

Si les causes sont multiples, le résultat est là. Grenoble est victime d'incendies criminels répétés qui peuvent avoir un jour, comme le reconnait le "Dauphiné", des conséquences humaines dramatiques. Jamais nos tartuffes locaux si attentifs et sensibilisés  à la planète, ne mesurent les conséquences sur la pollution ! Les incendies de voitures à eux seuls - de l'ordre de 500 par an - produisent des effets négatifs considérables.

PARTICULARITÉ GRENOBLOISE : PROFONDEUR, AMPLEUR ET EXTRÊME GAUCHE

Cet angle mort de la politique municipale n'est qu'une conséquence d'une politique d'ensemble qui crée l'état de fait constaté. Pêle-mêle : urbanisation, peuplement, accueil inconditionnel, refus de toute répression, refus de toute plainte... 

Les incendies ne sont qu'un segment de l'insécurité globale qui mine la cité. La particularité grenobloise étant son ampleur et sa profondeur et le fait qu'elle soit aussi le fait d'une fraction politique, l'extrême gauche, qui participe à cette délinquance active en toute impunité.

EN CAS DE TRAGÉDIE, LES RESPONSABLES SERONT DÉSIGNÉS

La réponse serait une politique d'ensemble qui se déploie afin de réduire avec application chacune des causes de cette situation. Au contraire la municipalité actuelle favorise chacune d'elle !

Compte tenu de ce que l'on voit de Piolle et de son clan au pouvoir local, de son dogmatisme absolu, rien ne changera. Mais si une tragédie se produit de ce fait, alors les responsables devront en être clairement désignés.

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