ACCUEIL « INCONDITIONNEL » DES MIGRANTS : LA COLÈRE DES GRENOBLOIS MONTE

La colère monte chez les grenoblois qui constatent que de plus en plus d'écoles sont occupées par des familles de migrants qui y logent. Les réseaux qui les soutiennent ne demandent pas de comptes à la municipalité qui dispose de centaines de logements sociaux vides (Abbaye/Villeneuve) et 200 HLM qui ne trouvent pas preneurs selon Actis présidé par un élu du groupe Piolle.  

UNE MAMAN : "UN MANQUE DE SÉCURITÉ POUR LES ENFANTS" 

Une maman de l'école Jules Ferry se fait la porte parole de parents d'élèves selon Place Gre'Net :  «plusieurs parents sont inquiets et ont envoyé des mails au directeur ». Une inquiétude liée au «manque de sécurité pour leurs enfants. S’il y avait une entrée indépendante ou s’ils ne dormaient là que le soir et partaient la journée, je m’en ficherais». 

LES ÉCOLES DES QUARTIERS POPULAIRES OCCUPÉES 

L'école Jules Ferry, rue Léon Jouhaux est la 5ème école à "accueillir" des familles de migrants après Malherbe, Chorier-Berriat, Christophe Turc au Village Olympique, le collège Vercors. Jules Ferry est en réseau d'éducation prioritaire, donc dans un quartier en difficultés et les autres écoles sont plutôt aussi dans des quartiers populaires. Elles n'ont pas besoin de ça. Les écoles Jean Jaurès ou du Jardin de ville n'accueillent personne pour le moment...

L'ANNONCE DE l'HÉBERGEMENT "INCONDITIONNEL"

Cette pression migratoire s'agissant de populations entrées illégalement sur le territoire résulte d'appels multiples, complètement démagogiques d'Eric Piolle. A son arrivée il a fait délibérer le Conseil Municipal pour indiquer que l'accueil de quiconque, d'où qu'il vienne et quelle que soit sa situation est "inconditionnel " à Grenoble. Sans condition. Evidemment impossible à tenir. 

"L'APPEL" DU MONTGENÈVRE A FRANCHIR LES FRONTIÈRES

Pour l'illustrer il s'est rendu au Montgenèvre avec son compère d'alors - Enzo Lesourt- pour lancer un pathétique appel aux migrants - dans la neige et le froid soulignait-il- pour les inciter à traverser les frontières qui n'ont plus lieu d'être. Ainsi le système de solidarité Français le plus avancé des pays de l'OCDE, est-il mis à la disposition de toute la misère du monde, conduisant à sa mise en cause inéluctable puisqu'il est financé en grande partie par le travail.

DES FILIÈRES MAFIEUSES : UN CIRCUIT QUI CONDUIT À GRENOBLE 

Face à l'appel d'air et aux filières mafieuses organisées, qui ont mis en place un circuit aboutissant à l'installation de camps , de squats multiples à Grenoble, lesquels se renouvellent régulièrement au fil du logement de leurs occupants par la ville, il a refusé d'engager une action pour combattre cette exploitation éhontée de la misère. 

UN INCENDIE CRIMINEL POUR NON PAIEMENT DE LOYER DU BIDONVILLE 

On sait que rue des Alliés un bidonville installé sur un terrain municipal a été incendié et a produit de gros dégâts à l'entreprise Richardson (coût d'environ 10 M€ pour la ville! ) parce qu'un "locataire" du bidonville refusait de payer son loyer de 500 € mois à la mafia.

C. COUTAZ (Verts/Ades) ÉLU DÉFENSEUR ET AVOCAT SPÉCIALISÉ DES ETRANGERS

Il y avait même un élu, Claude Coutaz (Verts/Ades) qui participait à cette promotion de l'accueil des illégaux en étant ... avocat spécialisé dans la défense des étrangers et semble en vivre confortablement. Il figurait sur un guide municipal à leur intention. Car l'éthique n'est pas ce qui les étouffe : l'affichage de sa sensibilité n'empêche pas de faire de l'argent dessus.

C. GARNIER (Verts/Ades) : L'ÉTAT RACISTE OU LE RACISME INSTITUTIONNEL 

Qui pourrait leur reprocher que le business et l'idéologie correspondent ? Une Christine Garnier, elle aussi élue (Verts/Ades) du clan Avrillier, n'accuse t-elle pas en renfort, l'Etat de "racisme institutionnel", puis devant les protestations  "de xénophobie institutionnelle" (!). Elle est Adjointe au Maire chargée des écoles et soutient leur occupation. 

AU FUR ET A MESURE DES RELOGEMENTS "DE NOUVELLES FAMILLES ARRIVENT" 

Bien entendu les filières en profitent et les avocats spécialisés aussi. « De nouvelles familles arrivent » au fur et à mesure que des solutions sont trouvées avoue Christine Garnier à Place Gre'Net. Evidemment aucune institution ne peut fournir logement, de quoi vivre, intégration à quiconque décide de s'installer à Grenoble d'où qu'il vienne. 

JULES FERRY : LE DIRECTEUR SERAIT OPPOSÉ À L'OCCUPATION DE L'ECOLE

Selon la mère de famille qui proteste contre l'occupation de l'école Jules Ferry, Denis Blanchon, le directeur, "serait fermement opposé à l’occupation mais ne pourrait l’exprimer, par crainte de « se faire traiter de xénophobe et raciste » et « pour ne pas avoir de soucis avec la mairie»." ( Place Gre'Net) . 

A ce sujet, au Conseil Municipal Alain Carignon a reproché à la municipalité de ne pas vouloir et de ne pas savoir traiter seulement avec humanité les problèmes humains

SÉCURITÉ : UNE MÈRE DE FAMILLE NE MET PLUS SA FILLE À L'ÉCOLE

Parce que les risques ne sont pas nuls pour les enfants. A Jules Ferry les migrants « passent dans l’école toute la journée (...) il n’y a pas que les deux parents et les enfants, d’autres gens sont arrivés, dont une grand-mère. Mais on ne connaît pas leur identité ni leurs intentions (...)  Le plan Vigipirate est censé être d’actualité alors qu’eux vont et viennent comme ils veulent. Un élève pourrait se retrouver dans la rue parce qu’ils auront laissé une porte ouverte. L’une de ces personnes peut aussi agresser un enfant. Il y a plein d’exemples possibles. Quand on les dépose le matin à l’école, on se dit qu’ils sont en sécurité à l’intérieur, avec le personnel de l’établissement qu’on connaît déjà », ajoute une mère de famille qui a décidé de ne plus mettre sa fille à l’école tant que la situation n’évoluera pas. « Il faudrait que je choisisse entre la sécurité et la scolarisation de ma fille ? », s’interroge-t-elle sur Place Gre'Net.

LA MUNICIPALITÉ PROMET LA RÉQUISITION DES LOGEMENTS VIDES...

Au mépris de la sécurité, la municipalité veut que ces abcès de fixation se développent pour pouvoir accuser "l'Etat", la capitalisme et afficher sa générosité. Elle endort les associations avec "la promesse de  réquisitions des logements vides" dont fait état Thibaut Michoux, du Réseau Education sans Frontières (RESF) .« Ils nous répondent que c’est compliqué juridiquement, qu’ils veulent blinder leur dossier et que ça prend beaucoup de temps. » (Place Gre'Net) . 

... ELLE DISPOSE DE CENTAINES DE LOGEMENTS VIDES !

On rirait si ce n'était pas dramatique pour les personnes concernées. Comme Alain Carignon et le groupe d'opposition le rappellent à chaque occasion, il existe des centaines de logements sociaux vides au 10 galerie de l'Arlequin ou à la cité de l'Abbaye, très proche de Jules Ferry. Il serait très simple à RESF d'en demander quelques uns et à la municipalité de les mettre à disposition. Trop simple pour les uns et les autres ? 

LA CONCURRENCE À L'EXTRÊME GAUCHE SUR L'EXPLOITATION DE LA MISÈRE

Grenoble est devenue le champ clos de l'instrumentalisation de la misère du monde avec le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) qui s'est emparé du DAL (droit au logement) afin de faire de la surenchère sur l'extrême gauchisme municipal ! On ne sait pas encore quel rôle politique joue RESF puisque les solutions à l'urgence sont disponibles, à la portée de la ville avec les logements sociaux de la ville. 

UN NOUVEAU CENTRE D'ACCUEIL POUR REJETÉS DU DROIT D'ASILE

Mais il faut être certain qu'Eric Piolle veut aggraver la situation : il va ouvrir un vaste centre d'accueil de 500 M2 en plein centre ville, rue de l'ancien Champ de Mars, dans l'ancienne APPS,  pour les déboutés du droit d'asile en leur fournissant des certificats médicaux, en apportant diverses aides et soutiens. On en attend entre 1000 et 2000 par ans. Outre qu'ils sont conduits à une impasse totale puisqu'ils ne sont pas éligibles à cette protection, d'évidence d'énormes problèmes de logement, d'emploi, d'intégration ne pourront pas être résolus. Alain Carignon qui avait évoqué au Conseil Municipal avec beaucoup de dignité et de retenue ces difficultés créées de toute pièce s'était attiré un tombereau d'injures d'Antoine Back (Verts/LFI). On comprend que Denis Blanchon, le directeur de Jules Ferry, souhaite s'éviter ça bien que ça n'ai aucune importance. 

TOUT CE QUI FAIT DÉFAUT À Eric PIOLLE 

La réaction de parents de l'école Jules Ferry montre que la colère des grenoblois monte face à une municipalité qui utilise y compris la misère humaine pour justifier son idéologie. Le moment semble approcher où des couches de plus en plus importantes d'habitants vont s'affranchir de la gangue politique d'associations aux mains de l'extrême gauche, pour appeler à la raison, au bon sens, à la vraie générosité et à l'éthique de responsabilité. Tout ce qui fait défaut à Piolle. 

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