GARE : Alain CARIGNON DÉNONCE les INCOHÉRENCES
La pagaille absolue. Une absence crasse de toute concertation. Des élus Rouge/Verts eux aussi aux abonnés absents envoyant des fonctionnaires face aux habitants mécontents. Des usagers en colère. Des touristes effrayés. Voilà la situation qui règne à la gare.
LE GRAND TIMONIER A DÉCIDÉ SEUL DU PLAN de CIRCULATION
Le Grand Timonier a décidé seul que l'arrivée et les départs de la gare se feraient côté Europole. Il a décidé seul d'un nouveau plan de circulation, de l'abattage inutile des cerisiers du japon, du passage de l'autoroute à vélos, de la fermeture de la passerelle aux voitures, de la suppression de places de stationnement rue Emile Gueymard, rue Casimir Brenier créant un boyau embouteillé et pollué dans cette dernière.
LE REPORT DE CIRCULATION de Félix VIALLET à C.BRENIER
Maintenant il autorisé la Métro -qu'il dirige de fait en étant le premier groupe de la majorité- à fermer une voie de circulation dans l'avenue Félix Viallet, de la gare vers l'intersection avec le Boulevard Gambetta, dans le cadre de la création "d'un bus à haut niveau de service."
"IL N'Y A JAMAIS EU LE DÉBUT D'UNE CONCERTATION"
Il n'y a jamais eu le début du début d'une concertation sur ces points. Pour Alain Carignon "on se retrouve avec ces décisions sans que jamais ne soient étudiés les reports de circulation qu'elles impliquent comme on le constate sur le bd Gambetta. Il est évident que tout ou partie de la circulation supprimée sur l'avenue Félix Viallet va se retrouver rue Casimir Brenier".
3 GARAGES COLLECTIFS DE 150 VOITURES DIFFICILES D’ACCÈS
Les habitants signalent aussi l'existence de 3 garages collectifs (1 rue Pinal, 2 rue Berges) représentant environ 150 véhicules auxquels il faut ajouter plusieurs box individuels.
CASIMIR BRENIER VICTIME de la MUNICIPALITÉ
Décidément ce quartier est la victime de la municipalité (pollution, bétonnage, stationnement...). Alain Carignon a également alerté sur les conséquences de la suppression du stationnement dans le secteur Henri Tarze.
E.PIOLLE CONTRAINT LES CHAUFFEURS de CAR à ROULER !
Tout occupé à l'alliance Rouge/Verte avec Ruffin à Amiens, Eric Piolle ne sait pas que le temps de pause de 1h30 imposé aux autocaristes les contraints à stationner dans le secteur. Les obliger à rouler loin pour stationner produit de la pollution et des problèmes insurmontables pour les chauffeurs (le temps de parcours est comptabilisé dans le temps de travail), contribue aux embouteillages.
UNE SITUATION EXPLOSIVE à la GARE
Des considérations concrètes qui dépassent l'entendement du Grand Timonier qui plane et ignore les problèmes du commun. Ce cumul d'ignorance et de suffisance crée une situation explosive à la gare de Grenoble.
LA PREMIÉRE VISION DE LA VILLE : UN CAUCHEMAR
C'est toute l'image de la ville qui est en train de se résumer et de se concentrer à cet endroit : accueil par une rangée de pickpockets agressifs aux mines patibulaires, traversée d'un vaste bidonville au milieu d'ordures entassées partout, interpellation insistante par des prostituées de l'est, square envahi par des nord africains ... La première vision de la ville est un cauchemar.
UNE FILE DE VOITURES A CÔTE D"UNE AUTOROUTE à VÉLOS VIDE
Ceux qui ont la chance de pouvoir être pris en charge par une voiture se retrouvent dans les embouteillages de la rue Casimir Brenier, dans une file de véhicules sur une chaussée très étroite à côté d'une large "autoroute à vélos" vide.
C.BRENIER : LA DOUBLE PEINE DU BRUIT et de la POLLUTION
Les riverains subissant la double peine de la pollution, du bruit et de ne pas pouvoir rentrer chez eux. Cette incohérence en dit long sur l'attention au réel de cette municipalité. Quartier par quartier, secteur par secteur les grenoblois découvrent avec stupeur les résultats du dogmatisme.
Y.MONGABURU (Verts/Ades) MULTIPLIE les GRATUITÉS
En catastrophe, avant Noël, Yann Mongaburu (Verts/Ades) vient d'annoncer de multiples gratuités de... stationnement pour la période des fêtes en pleine contradiction avec le reste de la politique municipale. Les incohérences sont partout, tout le temps.
REPENSER CES QUESTIONS DANS LA CONCERTATION
Alain Carignon et le collectif de la société civile veulent repenser ces questions à partir de 2020 en veillant à ce que la rue Casimir Brenier et le quai ne soient pas les victimes des reports de circulation. C'est le temps du dialogue et de la concertation dans le calme et la sérénité avec les habitants et l'Union de Quartier qui doit s'ouvrir.