VIOLENCES URBAINES : JUSQU’A QUAND L’IMMOBILISME de E.PIOLLE ?
"Convocation des parents, amendes et procédures d’expulsion pour toute personne condamnée pour trafic et logée par les bailleurs sociaux" était une des mesures proposées par le collectif de la société civile avec Alain Carignon aux dernière élections municipales.
LA LISTE de la SOCIÉTE CIVILE : LA SUPPRESSION des AVANTAGES
Prévoyant aussi la « suppression de tous les avantages tarifaires facultatifs dans les secteurs culturels, de transports, sportifs à tout grenoblois convaincu d’agression d’agents de la force publique, de sapeurs-pompiers, d’ambulance ou de dégradation volontaire de biens publics ou privés comme l’a mis en application le Maire de Voiron".
LE MAIRE DE VALENCE ENCLENCHE les PROCÉDURES
Alors que le programme de Piolle qui avait moins d' une ligne sur la sécurité des personnes et des biens a été adopté par le peu de grenoblois qui ont voté.
Aujourd'hui le Maire de Valence, Nicolas Daragon met en oeuvre cette mesure. Il a enclenché une procédure de résiliation du bail de 7 "jeunes" auteurs de violence urbaines logés dans les logements sociaux. Par ailleurs lors du prochain Conseil Municipal "il proposera la suppression de toute aide municipale (chèques sport, culture, CME,CCAS...) aux familles qui n'assument pas le cadre éducatif d leurs enfants" (DL du 13/11/20).
A GRENOBLE LES LOCATAIRES "NORMAUX" PARTENT
A Grenoble se sont les locataires "normaux" qui doivent se soumettre ou se démettre. C'est à dire partir s'ils ne le peuvent pas vivre dans la promiscuité immédiate de la délinquance et la peur.
"Votre fils a été interpellé par les services de police dans le cadre des émeutes. Cette situation est inacceptable. Par cette attitude, vous ne respectez pas les articles 1728 et suivants du code civil qui précisent que chaque locataire doit occuper son logement de façon raisonnable” écrit le Maire de Valence aux familles concernées.
A HOCHE Eric PIOLLE N'A PAS LEVÉ LE PETIT DOIGT
Combien de fois Alain Carignon a-t-il demandé à Eric Piolle d'agir de même ? A Hoche par exemple le propriétaire du restaurant Indochina avait porté plainte en désignant les dealers qui le menaçaient. Au risque de sa vie puisqu'il a été victime d'incendies criminels, de jets sur sa vitrine et il a perdu une roue dévissée de sa voiture sur l'autoroute.
LES DÉLINQUANTS LOGÉS PAR E.PIOLLE
Les délinquants étaient logés dans l'immeuble au dessus de son établissement et Eric Piolle, Maire et Président d'Actis est demeuré les bras croisé. Pas une visite des services sociaux, pas un avertissement d'un élu aux familles concernées. Rien.
Depuis lors le restaurateur est parti et qu'est devenu le quartier ?
AU LYS ROUGE LA FUITE DE LOCATAIRES
Au 2 et 4 rue du Lys Rouge aujourd'hui se sont les familles "normales" qui partent ou supplient de partir. En particulier des femmes seules qui ne veulent pas pactiser avec la délinquance installée dans leurs immeubles et utilisant certains appartements de locataires complaisants, intéressés ou obligés.
Une femme locataire est partie précipitamment en laissant une partie de ses meubles tant elle avait peur. Une autre demande sa mutation en urgence. De nombreux appartements ne trouvent plus preneurs.
ARLEQUIN, JOUHAUX, L'ALMA, MISTRAL....
Mais au 110 galerie de l'Arlequin, au 3 et 5 rue du 140 ème RIA à Jouhaux à Mistral évidemment , à l'Alma, Teisseire, rue de Constantine, galerie des Baladins, au Village Olympique... partout dans la ville "la délinquance à pris le pouvoir" selon la formule d'Alain Carignon. A l'Alma Eric Piolle passe à l'action. Il a lancé une étude de 10 000 € pour installer des brumisateurs. Que personne ne dise qu'il est inactif.
L'ILE VERTE : LES VIGNES GANGRÈNE AUSSI
Au lieu de lutter contre Eric Piolle la renforce par une politique d'attributions de logements totalement irresponsable. Ainsi le petit groupe de HLM des Vignes à l'Ile Verte, calme pendant des décennies, est gangrené lui aussi par des attributions qui ont installé la délinquance au coeur du quartier.
LA POLICE NE POURRA RIEN CONTRE ACTIS QUI LES LOGE
Maintenant les dealers sont installés dans un jardin, en lien avec des habitants et plus rien n'est possible. Les autres locataires sont inquiets. Doivent-ils partir ? La police ne pourra que faire fuir temporairement les intervenants extérieurs, mais que peut elle contre ceux qu'Eric Piolle loge ?
UN "CRITÈRE DE TRANQUILLITÉ PUBLIQUE" POUR LES ATTRIBUTIONS
Le collectif de la société civile voulait instaurer un « critère de tranquillité publique dans l’attribution des logements HLM" et "sur la base du volontariat l'habilitation de tous les cadres et gardiens des bailleurs afin qu’ils puissent dresser procès-verbal".
LA CLASSE MOYENNE CONTINUERA à FUIR
Sans ces mesures il ne se passera rien à Grenoble. Ou plutôt la dégradation s'accélérera, la ghettoïsation aussi. La classe moyenne continuera à fuir et la valeur des biens de se dégrader.
UN AVOCAT PS DE VALENCE DOUTE DE L'ACTION....
A Valence aussi il se trouve un avocat PS, pour expliquer combien l'action judiciaire est difficile, aléatoire : « Dans le cas dont on parle, les violences urbaines avaient lieu dans l’espace public, et non dans un immeuble. Dire qu’il y a trouble de jouissance est donc plus que discutable » affirme Me Jean-Yves Dupriez.
POUR M.DESTOT, J.SAFAR, DÉJÀ IL NE FALLAIT RIEN FAIRE
Michel Destot et Jérôme Safar qui géraient les HLM avec les élus Verts/Ades, dont Maryvonne Boileau, Présidente de l'OPHLM n'ont évidemment jamais rien fait non plus pour stopper cette évolution catastrophique. Selon eux et ME Dupriez, il faut surtout ne rien tenter.
E.PIOLLE ET E.MARTIN VONT POURSUIVRE DANS LE DÉNI
En présidant Actis pendant 6 ans et en passant le pouvoir à Elisa Martin pour les 6 prochaines années, Eric Piolle démontre qu'il poursuivra dans le déni et l'immobilisme. Les agressions, violences, attaques des forces de l'ordre dans les quartiers ne sont pas prêtes de s'arrêter.
Les victimes sont identifiées : les locataires, les quartiers, toute la ville, son image, son attractivité. Au fait, qu'en disent les promoteurs de la marque "Grenoble" ?