L’EXPLOSION DES QUARTIERS AU TEMPS DE M.PIOLLE
Entre sa vendetta contre Christophe Ferrari et la promotion de Sa personne à l'échelle nationale, Eric Piolle n'a pas une minute pour se consacrer à Grenoble, une ville ou plus rien ne se décide.
D'ailleurs plus il s'enivre, plus son cynisme s'étale. Dans sa dernière interview à "Regards " du 24 septembre, il ne s'en cache pas :" mon but c'est la conquête du pouvoir, Je ne suis pas branché sur l’urgence écologique".
Pendant ce temps la dégradation de tous les quartiers s'accélère et les témoignes s'entassent. Et pas seulement dans le 38100. C'est toute la ville qui s'embrase. Extraits:
L'ILE VERTE, LE QUARTIER de L'ADJOINT à la FRAÎCHEUR (1):
Du quartier de l'Ile Verte:
"Je loge au .... chemin de Halage, résidence des Vignes/Actis, appartement .... depuis 1993. En 2010 une fusillade a éclaté entre dealers dans notre résidence faisant 1 mort. Une balle perdue est passée près de la tête d'une personne âgée, sur la zone piétonne de la résidence. Les Rv des dealers ne datent pas de 2010 mais ils restaient discrets. Il y a 3 ans Mme X responsable locale du dispositif des Vignes vittaliance pour personnes âgées à fait appel à Actis et aux services de police. (....)
3 CAMBRIOLAGES CES DERNIERS MOIS, 3 CARCASSES de VOITURES
"Depuis bientôt 1 an les dealers envahissent le terrain, s'installent quasi quotidiennement à partir de 18h jusqu'à une heure très avancée de la nuit, chaises de camping, barbecue, musique, voire rodéo. Trois cambriolages ont eut lieu ces derniers mois, sans doute commis par une autre population, récemment installée dans notre résidence, au n° 7 avenue Maréchal Randon, qui en plus des vols s'adonnent à des activités qui ressemblent fort à de la prostitution. De nombreuses jeunes femmes montent ou descendent d'une camionnette qui s'en va le matin et revient le soir. 3 carcasses de voitures brûlées sur le parking de notre résidence sont restées pendant plus de deux mois sous les yeux des résidents dont les personnes âgées et les enfants, offrant un spectacle de type Chicago.
DES PAROLES LAISSENT ENTENDRE DES REPRÉSAILLES
"La nuit du jeudi 17 septembre a été une nuit blanche, de festivités pour les dealers, pas pour les habitants dont une amie qui travaille tôt à l'hôpital. Cigarettes illicites, beuveries, éclats de voix, musique, chien qui attaque la gardienne de nuit Vittaliance au cours de sa ronde auprès des personnes âgées. Des paroles laissent entendre de possibles représailles envers toute personne leur demandant le retour au calme..."
HOCHE : VIVRE SOUS LA MENACE « J'HABITE HOCHE ET QUE JE NE TE RECROISE PAS..."
"Pour avoir dénoncé les nuisances sur les réseaux sociaux j'ai eu droit à des menaces
(' « J’habite Hoche, que je te recroise pas. »), dont une menace de mort. Je n'ai pas dormi de la nuit suite à cette menace de mort.
La police ne passe que très rarement et si elle passe elle repart aussitôt face aux voyous qui hurlent "barrez-vous". Les rodéos sont quotidiens de 13h à 3h du matin, plus des voyous armés de barres de fer (ou bâtons très long) qui tapent les piliers des habitations, les rideaux des commerces ou associations (en l'occurrence la croix rouge) tout en hurlant, et ceci durant une bonne partie de l'après-midi.
"J'interviens auprès de personnes dépendantes en gériatrie et palliatif donc très tôt dans les rues de Grenoble, Cela fait 20 ans que je travaille sur Grenoble donc ce ne sont pas les escarmouches qui m'ont manquées.... et j'ai habité plusieurs années dans un pays musulman ou je ne me suis jamais sentie en insécurité ! Ici je n'en peux plus de travailler dans ces conditions..." "Cette semaine quartier du Vieux Temple j'ai croisé des dealers de .... 9 ans ! Un chouf et l'autre qui vend dans les caves..... et attention hein ! Baissez les yeux ! Couteau apparent dans le blouson et sourcils froncés .... Il y a quelques temps j'arrive chez un patient , escaliers peu éclairés mais je viens depuis longtemps j'ai confiance.... soudain un homme (25 /30 ans ) sur les marches supérieures tenant les 2 mains courantes pour me bloquer :" tu vas où sale pute ?" J'ai dû expliquer par A+B où j'allais, chez qui, pourquoi et pour combien de temps..."
UNE MOINS-VALUE DE 10 000 € DE NOTRE APPARTEMENT
"En revanche de très rares rondes des services de Police. Devant ce constat nous avons décidé mon épouse et moi d’aller organiser notre vie ailleurs. Pouvant prendre ma retraite en juin 2021, nous venons de mettre en vente notre appartement avec bien sur aucune plus-value à en attendre mais plutôt l’inverse.Par chance c’est fait nous avons trouvé un acquéreur avec une moins-value de 10 000 € sur le prix d’achat. (Merci la Métropole apaisée à moins que ce ne soit la Métropole Abaissée).
"Nous allons donc quitter cette ville pour les Charentes Maritimes qui offre plus de sérénité pour organiser notre vie."
Ces quelques extraits, parmi tant d'autres, permettent de revenir au réel de Grenoble bien différent du verbiage lénifiant sur la "transition" à toutes les sauces qui cache une marchandise politique frelatée.
L'OPPOSITION DEMANDE UN PLAN SUR LA SÉCURITÉ
Lors du Conseil Municipal de ce lundi, le groupe d'opposition ( société civile, divers droite et centre) présidé par Alain Carignon et composé de Nathalie Béranger, Brigitte Boer, Chérif Boutafa, Nicolas Pinel, Anne Roche et Dominique Spini dépose une question orale pour réclamer d'Eric Piolle un plan pour la sécurité s'appuyant sur les financements proposés par Laurent Wauquiez au nom de la Région. Le retour sur la terre grenobloise.
(1) Gilles Namur, deuxième Adjoint au Maire, ex Président de l'Union de Quartier dont le siège est aux...Vignes à quelque mètres des dealers et des trafics de familles logées par Eric Piolle, Président d'Actis. Tout ce monde regarde ailleurs
Mais où est donc passée cette France qu’on a connue ? Cette France polie, courtoise, travailleuse, fière, bien rangée, une société ordonnée où chacun avait sa place, cette France de mon enfance, celle des Trente Glorieuses, les rues proprettes, les petits commerces pimpants, les usines qui tournaient, les rames de métro aux effluves de parfum, les quartiers où tout le monde se connaissait… Cette France qui sifflotait sur le chemin du travail, qui aimait plaisanter et rigoler sans méchanceté, cette France sur laquelle on pouvait compter et qui pouvait compter sur nous… Maintenant, que nous reste-t-il ? Le chaos. On a inventé des expressions creuses comme « la bienveillance, le vivre-ensemble, la mixité sociale, la diversité, le politiquement correct » pour nous museler et pour donner libre expression à des populations venues d’ailleurs défendues par des politiciens français ripoux qui de concert haïssent la France et les français.