PETITS ARRANGEMENTS ENTRE AMIS: LE TRIBUNAL STOPPE ENCORE PIOLLE
Cette nouvelle affaire tombe mal pour le Grand Timonier donneur de leçons. Et elle vient encore de son camp. Engagée par Guy Tuscher et Bernadette Richard-Finot qui étaient d'abord dans sa majorité dans le précédent mandat avant de le quitter pour dénoncer ses pratiques. Ils l'ont payé cher.
LA VALORISATION D'UN APPARTEMENT D'UN PROPRIÉTAIRE QUI PAIE 38,11 €/an UN JARDIN
Ils ont porté au tribunal avec l'appui de Bruno de Lescure, Président de l'Union de Quartier Berriat, la vente par la ville d'un jardin à Pierre Rostaing, l’ancien président de l’Union de quartier Rive droite - Saint-Laurent. Une centaine de M2 vendus 5000 € alors qu'évidemment on imagine la valorisation d'un appartement sur la rive droite avec un jardin par rapport à un bien qui n'en a pas.... Le Tribunal administratif a jugé que « la superficie de cette parcelle varie entre les différents plans et pièces produits […]. Il n’est pas établi [que les conseillers municipaux] auraient voté la délibération dans les mêmes termes s’ils avaient, notamment, eu connaissance de la surface exacte de la partie de la parcelle ».
Il rappelle aussi que le propriétaire bénéficie d'un bail précaire jamais réévalué pour une indemnité de 38,11 € par an. « Pour nous, ça flaire bon le clientélisme » estime Guy Tuscher qui connait son Piolle.
Me Thierry ALDEGUER FAIT ANNULER L'ARRÊTÉ SUR LE "TONNEAU de DIOGÉNE"
ça fait désordre après l'annulation de la suppression de la terrasse du "tonneau de Diogène " obtenue du tribunal administratif par Me Thierry Aldeguer. Celle-ci demandée par M.Dehut, Président de l'Union de Quartier Notre Dame, proche de Maxence Alloto, l'Adjoint au Maire ( ex PS rallié à Piolle), avait été obtenue très rapidement. Dans toutes ces affaires le soupçon nait des différences de traitement.
L'UNION DES HABITANTS DU CENTRE VILLE EST IGNORÉE...
Ainsi l'Union des Habitants du Centre Ville ( UHCV) qui multiplie les alertes et les documents sur les Tags, qui voulait donner son avis sur les aménagements de la place Victor Hugo n'est nullement entendue. On ne lui répond même pas. Tout ce qui ne s'affiche pas comme proche de la municipalité ou dans sa ligne idéologique est méprisé, ignoré, marginalisé.
... ET LES COLLECTIFS TRAITÉS "D'OPPOSANTS POLITIQUES "PAR G.NAMUR
Gilles Namur , l'un des Adjoints préposé au rôle de perroquet - soutiens de tous les excès puisqu'il a même voté le burkini- n'a t -il pas attaqué le collectif " Grenoble à Coeur" qui fédère des citoyens et des Unions de Quartiers en ces termes: " Quand on prend comme référence " Grenoble à Coeur" , groupuscule d'opposants politiques qui trafique les chiffres depuis son origine, on a une machine à fake news... " . Bientôt encore la fameuse " essstrême droite" .... Tandis que d'autres à St Laurent ou à Notre Dame sont des propagateurs de vérités à défendre que le tribunal annule!
LE FIGARO : " PLUS QUE DES POLITIQUES SYMBOLIQUES à CONDUIRE"
Dans " Le Figaro" ( 21/5/22) Paul Sugy résume la méthode municipale: « on n’a guère plus que des politiques symboliques à conduire : elles sont aussi peu onéreuses que médiatiquement rentables ». D'ou le Burkini, l'arrêté de suppression des quelques panneaux publicitaires qui demeuraient dans des propriétés privées, les chartes contre l'homophobie ou pour lutter contre les mégots... Cela ne coûte rien et fait du buzz.
Peu importe qu'en matière de lutte contre l'homophobie , Eric Piolle refuse même de porter plainte pour défendre un grenoblois qui en est victime de la part de l'extrême gauche.
DEPUIS 2016 LA MUNICIPALITÉ CENSÉE TRAITER LES MÉGOTS
Peu importe qu'en matière de mégots les grenoblois aient déjà vu en ... 2016 Antoine Back installer des cendriers à grand bruit, la municipalité signer une charte en novembre 2021 : en mai 2022 elle récidive et le " Dauphiné" (20/5/22) en fait une page pour expliquer comment la municipalité " agit". Elle devient "ville-pilote" pour« mettre en place des actions de sensibilisation, de communication et d’aménagements ». Retenez bien les trois volets: " l'action" représente un tiers dans l'annonce et finira à peu de choses alors que d'autres grandes villes traitent cette calamité avec efficacité depuis de nombreuses années.
MÊME R.AVRILLIER ( Verts/Ades) DÉSAPPROUVE LE BURKINI !
Cette communication du vide est calamiteuse et suscite de plus en plus de colère chez les grenoblois. Plus Éric Piolle et son dernier carré s'abiment dans cette direction, plus il perd des plumes y compris dans son camp. On apprend ainsi dans " Le Figaro" que même "Raymond Avrillier canal historique, l’ancêtre d’Eric Piolle, désapprouve du bout des lèvres le vote du burkini" . Après Hakim Sabri qui exprime de façon tonitruante les divisions de la majorité.
S.BOUZAIENNE : "PIOLLE CÉDE à L'ISLAMISME, IL A FAIT SAUTER UNE DIGUE"
Dans " Marianne" (18/5/22) Sadok Bouzaienne , son ancien Adjoint aux Sports annonce rien de moins qu' " Éric Piolle a cédé à l'islamisme politique.Il a fait sauter une digue. Éric Piolle a abandonné les fondamentaux de notre alliance" .
UNE FUITE DERRIÉRE E.LECOEUR et E. LESOURT
La com' et le buzz pour couvrir l'impuissance politique rencontrent une opposition frontale à l'intérieur de son camp. La justice stoppe parfois son clientélisme avant de s'occuper peut être enfin des soupçons sérieux de favoritisme qui pèsent sur lui. Sa fuite en avant derrière Erwan Lecoeur et Enzo Lesourt ses deux " penseurs" d'extrême gauche , prophètes et apôtres de la déconstruction, de l'effondrement du système capitaliste , qui voient l'extrême droite partout, l'isole de plus en plus.
VERS UNE AUGMENTATION D'IMPÔTS
Tout ce Barnum judiciaire, sémantique et idéologique pourrait se terminer vulgairement par ... une nouvelle augmentation d'impôts en 2023 tant la ville est exsangue . C'est ce qui se murmure dans les couloirs de l'hôtel de ville. Pour Éric Piolle un tel atterrissage serait un crash dont il ne se remettrait pas.
DROIT DE RÉPONSE DE M. ROSTAING SUITE À LA PUBLICATION DE L'ARTICLE
"Je souhaite exercer mon droit de réponse pour contester, dans la reprise que vous faites de l'article du DL du 22.05.2022, le fait que M. Tuscher, arguant de mon ancien statut de président de l'Union de Quartier Rive Droite de Grenoble, y déclare qu'il s'agit en cette affaire de « PETITS ARRANGEMENTS ENTRE AMIS » et que « Pour nous, ça flaire bon le clientélisme ».
J'ai bien compris que l'objet de ces articles est l'annulation par le Tribunal Administratif de ladite délibération, en raison d'un « manque de précisions » concernant la surface exacte de la partie de terrain à rétrocéder : et, en effet, la mesure cadastrale précise du terrain — programmée par le service foncier de la Ville dès 2014 — n'a hélas pas été effectuée avant délibération. J'ignore pourquoi, mais c'est bien pourquoi je reconnais que la décision du TA est incontestable.
Mais quant aux allégations de M. Tuscher, il m'est d'autant plus facile de les contester que M. Piolle n'est pour rien dans cette affaire, n'ayant fait qu'hériter de la demande de rétrocession que j'ai faite en 2014 à M. Destot, suite à un accident de chantier ayant touché ma propriété et à l'occasion duquel les services de la Ville m'ont eux-mêmes suggéré d'acquérir ce bout de terrain pour clore le problème. M. Piolle n'a donc fait qu'hériter du dossier du maire précédent sans que jamais nous n'ayons eu à échanger sur le sujet, et sans que nous soyons amis en aucune façon, ni avant ni après.
En outre, M. Tuscher se permet dans ces articles de dévoiler par photo ma propriété, et d'alléguer encore une série de mesures fantaisistes du terrain ainsi que de son supposé caractère constructible, en toute ignorance de l'histoire de la Montée Chalemont (déconstruite et déclassée après guerre), d'une part, et de la délimitation exacte de ma propriété par acte notarié, d'autre part.
Je ne suis en rien l'ami de la municipalité, ni présente ni passée. C'est pourquoi j'ai déposé cette fois plainte en diffamation contre M. Tuscher le 24 mai." - Pierre Rostaing