Le MAIRE DE RODEZ à PIOLLE : « VOS LEÇONS SONT DÉPLACÉES »
Plus il se balade, plus il se prend des volées de bois … vert. La dernière émane de Christian Teyssèdre, Maire de Rodez, ville dans laquelle Eric Piolle était le 31 juillet avant de passer deux jours dans l’Essonne dont «Libération « (5/8/21) s’est moqué abondamment.
"AVEC UN TEL BILAN, VOS LEÇONS SONT DÉPLACÉES"
Malheureusement pour nous le Maire de Rodez, à l’aide d’un tableau comparatif, montre que sa ville est mieux classée que Grenoble et ce à tous points de vue : taux de chômage, de pauvreté, la part d’exploitation bio, le pourcentage d’artificialisation, l’indice de criminalité, la part des impôts locaux ou encore la dette des deux mairies. « À la simple lecture de ce comparatif, force est de constater qu’aucun voyant n’est au vert et que votre ville est toujours en décrochage. Je constate que les Grenoblois payent une fiscalité très supérieure à la strate tout en ayant un niveau d’investissement très faible. (…) Avec un tel bilan, vos leçons de gestion en terre ruthénoise sont pour le moins déplacées. » écrit il dans "La Dépêche du Midi".
SA CATASTROPHE GRENOBLOISE SE RÉPAND à TRAVERS LA FRANCE
Malheureusement pour nous car plus Éric Piolle se promène et donne des leçons Urbi et Orbi au monde, plus celui-ci regarde la réalité de son bilan et notre ville déguste. Éric Piolle est la première cause de la mauvaise image de Grenoble. Celle de l’insécurité est bien établie mais sa tournée triomphale amène tous ceux qu’il attaque sans discernement à se pencher sur ses résultats en matière écologique, de pollution, d’impôts, d’investissements. Sa catastrophe grenobloise est ainsi diffusée de contrée en contrée dans toute la France.
LA QUESTION DE SA DÉMISSION DEVIENT BRÛLANTE
Le groupe de la société civile mis en place par Christophe Ferrari pour améliorer l’image ne peut pas lutter contre cette contre-propagande portée par le Maire lui-même. La question de sa démission est aussi posée sous cet angle et on voit mal comment elle ne pourrait pas devenir d’une actualité de plus en plus brûlante.
PIOLLE CONTESTE UN PROJET VOTÉ PAR SES AMIS VERTS
D’ailleurs Christian Teyssèdre lui répond aussi sur le dossier local qu’il est venu contester avec sa légéreté et sa suffisance habituelles : « Vous êtes vent debout contre le Parc-expo de Rodez validé par vos amis élus Verts et France Insoumise de la Région Occitanie […] Si je comprends bien également, vous êtes aux côtés des Grenoblois qui profitent d’un grand Parc-expo offrant concerts, événementiels, congrès, où les acteurs économiques peuvent prospérer… Mais à Rodez, pas question. » L’édile va plus loin et met l’écologiste face à ses contradictions : « Les Ruthénois sont invités à se rendre à Toulouse, à 160 km. Certainement pour des raisons environnementales et d’aménagement du territoire… » Il y a quelque chose d'infantile et de ridicule chez Piolle.
60 000 PANNEAUX SOLAIRES DANS LA CAMPAGNE : "PAS MOCHE"
N’en jetez plus la coupe est pleine. Sacha Nelken ("Libération" du 5/8/21) qui raconte sa visite d’une ferme photovoltaïque dans l’Essonne, ou il a passé deux jours, se moque aussi de Piolle qui retourne son gilet au nom de Bouygues et refuse son casque marqué Engie ! 60 000 panneaux solaires ont été installés dans la campagne (!) que l’édile local « ne trouve pas moche» tandis qu’un Piolle que la journaliste trouve « plutôt silencieux jusque-là « ajoute « oui c’est vrai moi non plus ». Ne mérite-t-il pas d’être Président de la République avec une telle répartie ?
"QUAND JE SERAI PRESIDENT"...
D’ailleurs à propos d’une autre réponse elle commente « quitte à faire dans la langue de bois «. Racontant « qu’après avoir manqué se faire renverser par un conducteur de transpalette inattentif « (c’est dire si la visite est marquante…) il déclare dans le laboratoire ou des salariés préparent des conserves de ratatouille confectionnés avec des légumes du coin : « quand je serai président , je défendrai ce modèle agricole.. « Du "j'm'voyais déjà en haut de l'affiche..." qui démontre encore son immaturité inquiétante.
GRENOBLE VILLE ABANDONNÉE PAR SON MAIRE
Ce « quand je serai président » pas au conditionnel prononcé par celui qui est encore officiellement Maire de Grenoble, ville abandonnée par lui en opposition à toute éthique de responsabilité avec un bilan qui devient de plus en plus connu, signe sa personnalité.
LIBÉRATION : "PERSONNE NE VOIT PIOLLE à L'ÉLYSÉE"
Paul Quinio dans « Libération » avait déjà constaté : « On ne peut pas dire ou écrire qu’il existe un « effet Piolle » dans le pays. Personne ne voit le Maire de Grenoble à l’Elysée. Sauf lui ». (9/7/21)
LA DEPÊCHE DU MIDI : LA RÉPONSE DE TEYSSEDRE FAIT MAL
Dans « la Depêche du Midi », le grand quotidien de Toulouse, la réponse de Christian Teyssèdre fait mal puisque même ses amis élus Verts et de la France Insoumise ont voté pour un projet qu’il condamne sans savoir. Cette suffisance et cette irresponsabilité ne peuvent que le condamner à l’échec.
L'IMAGE DE GRENOBLE MORFLE DUR
On voit mal comment une bande restreinte d’excités et sectaires et des coups de com' pourraient amener un prétendant à l’Elysée. Mais pendant ce temps c’est l’image de Grenoble qui morfle dur.
Depuis que Piolle est à la mairie de Grenoble…
La ville est de moins en moine agréable.
Des travaux inconsidérés et peu utiles.
Une chasse à l’automobiliste permanente.
Etc.