GRENOBLE CAPITALE DES TAGS DE L’ULTRA GAUCHE
La pression monte d'un cran à chaque étape. Les groupuscules de la gauche extrême, logés par la municipalité, tienne le haut du pavé en entendent le montrer. Par un poteau, pas un candélabre, pas un mur, par un parc maintenant, qui n'échappe à leur propagande maladive.
Il est expliqué aux grenoblois sur tous les tons que le fascisme est en marche, la police ratonne, l'extrême droite aux portes du pouvoir pour instaurer une régime Hitlérien.
Dans ce climat, les "antifas", ces milices autoproclamées se permettent de tabasser des militants de la droite républicaine comme cela est arrivé aux responsables jeunes et à Clément Chappet, candidat LR sur le marché St Bruno.
"NIK DARMANIN, LE PROC', LA POLICE..."
Sur les trottoirs à la peinture, les façades, se succèdent de façon obsédante les "NiK Darmanin", "NIK le Proc'", NIK la police". De partout les appels "à la lutte" comme si une guerre était déclarée faisant écho aux propos d'Eric Piolle sur cette thématique à chaque ouverture du Conseil Municipal. Lundi dernier, il utilisait cette réthorique agressive contre "la classe moyenne privilégiée", les "discriminations" qui sont partout histoire d'exciter les minorités et les communautés, le scandale pour lui des quelques heures de travail réclamées en échange du RSA, justifiant aussi de "sortir du cadre légal pour survivre" et dénonçant partout chez les autres un "autoritarisme" qui permet d'habiller toutes les violences.
LA VILLE EST DEVENU LE CHAMP PRIVÉ DE L'EXTRÊME GAUCHE
Les discours d'Eric Piolle et de la municipalité sont la vitrine légale de tous ces nervis qui occupent l'espace public par la violence des mots qui précédent et justifient la violence physique. On se rappelle qu'Eric Piolle avait annoncé limiter la publicité afin de protéger les enfants des images agressives...
La ville est devenue un champ d'expérimentation privé de l'extrême gauche qui dicte sa loi, sa pensée et en même temps la transforme en vaste cloaque. Les modestes copropriétés privées, déjà accablées par l'augmentation de la taxe foncière de 30%, qui ont l'audace de repeindre leurs façades, sont immédiatement recouvertes de slogans débiles, infantiles et vengeurs.
TAGS : PIOLLE INTERDIT LES PROCÈS VERBAUX SUR LE FAIT
La municipalité couvre par les mots, justifie par ses propos ces "révoltes" de nantis. Mais elle les protège aussi. Un épicier bien connu du boulevard Foch qui a pris sur le fait un tagueur qui souillait devant chez lui l'a attrapé et enfermé dans sa boutique. Il a appelé la police municipale qui a refusé de venir car elle n'a pas reçu la mission de dresser procès-verbal sur le fait. Autrement dit, si elle voit un tagueur en action elle doit passer son chemin !
G. NAMUR (Verts/LFI) PARVIENT Ä DEUX CONTRAVENTIONS PAR AN
L'inénarrable Gilles Namur (Verts/LFI) explique que la municipalité "monte des dossiers" très compliqués. Une vingtaine par an qui donnent lieu parfois à... deux verbalisations à l'année. Cette inefficacité est voulue, organisée. Le même Gilles Namur qui avait reconnu dans un moment d'égarement que Grenoble était devenu un lieu touristique pour tous les tagueurs de France qui venaient y passer un week-end sachant qu'ils ne risquent rien !
Mais beaucoup de tagueurs locaux sont identifiés et même sans les caméras qui aideraient beaucoup, il est possible de confondre une grande quantité d'entre eux. La municipalité ne le veut pas.
LA MUNICIPALITÉ ABRITE DES CENTRES DE L'ULTRA GAUCHE
La municipalité soutient également en abritant l'ultra gauche dans des locaux municipaux comme au 106 rue des Alliés ou 38 rue d'Alembert où le "centre de ressources anti-capitaliste" bénéficie maintenant d'un bail de 40 ans. Ces secteurs géographiques sont couverts de tags et d'affichettes de l'extrême gauche rendant l'atmosphère étouffante à toute personne qui n'appartient pas à cette minorité.
LES GRENOBLOIS SUBISSENT LA DOUBLE PEINE
Les grenoblois subissent la double peine : ils doivent supporter une ville devenue une porcherie à ciel ouvert et... financent par leurs impôts exorbitants le logement des activistes qui dégradent. On comprend qu'Eric Piolle rencontre quelques difficultés à se balader en sifflotant sur les trottoirs de sa ville.
UN RAIDISSEMENT ISLAMO-GAUCHISTE
Ces excès encouragés, soutenus soulèvent des hauts le cœur de plus en plus largement partagés de tous les côtés de l'échiquier. Le raidissement de la municipalité et de la gauche locale est de plus en plus patent et insupportable. Mercredi 7 février par exemple, ni Eric Piolle, ni aucun des élus du groupe PS du Conseil Municipal n'étaient présents à Grenoble à l'hommage national aux victimes du 7 octobre. Alors que les élus de droite et du centre (Yannick Neuder, Michel Savin, Alain Carignon, Brigitte Boer, Chérif Boutafa) des élus du centre, des élus communistes en nombre et des hommes comme Pascal Clouaire, Vice-Président de la Métropole, ex adjoint de Piolle manifestaient leur solidarité par leur présence.
LES ÉLUS S'INCLINENT DEVANT LA MENACE
Un signe que la menace de l'ultra-gauche pèse de plus en plus lourdement sur les élus qui s'inclinent. Le continuum entre les discours haineux d'Eric Piolle et de son noyau dur, l'occupation de la ville par une extrême gauche violente et le refus de condamner le terrorisme du Hamas est établi. Il existe à Grenoble une prise du pouvoir d'un islamo-gauchisme local que Piolle a d'ailleurs cautionné à maintes reprises notamment en s'affichant avec le rappeur Médine.
DES DEGÂTS MATERIELS CONSIDÉRABLES
Une extrême gauche qui a fait beaucoup de dégâts matériels : incendies criminels de France Bleu Isère, de la salle du Conseil Municipal, de deux gendarmeries, du centre culturel et scientifique, du Pont de Brignoud, de l'église St-Jacques à la Capuche qui ne sera jamais reconstruite. Imaginons un seul de ces incendies incriminé à l'extrême droite et on imagine dans quel état serait Grenoble !
En réalité, lutter contre les tags implique de se battre contre l'extrême gauche. On comprend pourquoi la municipalité les favorise. Les grenoblois qui désirent à nouveau vivre dans un cadre de vie propre et apaisé doivent intégrer qu'ils ne peuvent pas le réclamer sans en finir avec le règne de l'extrême gauche au Conseil Municipal.
Avec Piolle, c’est la porte ouverte à tous les débiles et incultes de la ville qui naïvement croient que leur petite vie de minables sera meilleure juste en éliminant les entrepreneurs. Qu’ils aillent voir comment on vit à Cuba.
Ici le supposé « nazisme » ne fait que masquer la réelle radicalité des groupuscules de Gauche qui profitent de la totale complicité de notre Maire et de ses adjoints.
Quand donc les Autorités (si cela existe encore) stopperont-elles tout élu qui foule au pied les atteintes aux Droit et aux valeurs de notre pays ?
Les policiers municipaux ne sont pas intervenus pour les tags mais sont intervenus en salle du conseil municipal en suspension de séance pour me demander de sortir à la demande de MONSIEUR LE MAIRE de sa directrice de cabinet et cheffe de cabinet les policiers de dos et floqués qui se sont mis en faute
le journaliste qui signe ses initiales qui est extrême gauche ami de MONSIEUR LE MAIRE.
ALAN CONFESSON qui ne respecte pas les délibérations du conseil municipal qui se voit déjà maire de Grenoble et Éric piolle qui souhaite briguer Le présidence de la metro
A.Confesson qui dit me dit ca ne sert à rien de venir au conseil municipal et se voit déjà premièr magistrat
.Monsieur Clouaire qui me voit après le deuxième conseil la première fois demande ce que je souhaite faire et me dit cette année faites un procès pour cette année et l’an prochain non pas de place pour vous et une autre fois me fais signe en souriant .
Maxence Allotto qui fait le double jeu la double face qui va ou le vent le porte et qui lui aussi c’est bien amusé jusqu’à m’envoyer des sms une fois le marché de noël démarré . ça rigole bien. Moi ça ne me fait pas rire du tout les grenoblois ne sont pas allé voter 5 ans c’était trop et ils ne se sont pas déplacés non plus pour les 5 ans supplémentaires.
Madame Pommereau me disait ça ne sert à rien de faire passer un article qui a fait traîner pour écrire un article qui montre bien sa position et celle du Dauphine rien sue le titre :Les nouveaux critères de sélections ne font pas que des heureux alors que les critères plutôt décisions sont celles de Eric Piolle, Alan confesson ,
Madame Bonnet rédactrice en chef du Dauphine me dit au téléphone à la suite du deuxième article que je ne peux faire de réponse et que c’est le maire qui doit me donner la parole et de l’avertir si je devais entamer une procédure judiciaire .
Aussi êtes tous trop sur de vous. Profitez bien de vos différentes casquettes rouges, noirs de vos privilèges de nantis .
Vous attaquez les licenciements des grandes sociétés, de grands groupes qui vous qualifiez d’intolérables et vous vous permettez de vous en prendre à nous grenoblois impunément du haut de votre soit disant toute puissance.
il n’y a pas d’adjectifs ni de qualificatifs pour vous …..
Marc CUTAYAR marché de noël de Grenoble depuis 25 ans
1-La classe moyenne privilégiée, c’est un oxymore.
2-La classe moyenne privilégiée n’existe pas. Il y a une classe moyenne, celle qui vit sans aides sociales et qui paye ses impôts plein pot. Pas de vacances à Rio, pas de grosse cylindrée, appartement convenable sans terrasse avec vue sur ville, pas de restaurants, un petit peu de cinéma, interdite de spectacle de peur de se faire traiter de bourge, habillement discount, une douce folie à Noël pour se consoler d’avoir travaillé toute sa vie pour « voir ça », style un joli pull ou un petit voyage au marché de Strasbourg.
3-La classe moyenne vous remercie de la détester, ainsi elle n’a rien à voir avec vous.Les commerçants , que cette classe moyenne aidait à vivre en consommant leurs produits, vous remercient aussi.
4-La classe moyenne vous exclut de ses rangs, vous les gros gras privilégiés nantis avec caméra SVP, qui au lieu de travailler à votre mairie vous exhibez en danse des fesses et lever de patte indécent en EHPAD.
5-La classe moyenne sort son rouleau de papier recyclé pour s’essuyer le front de vos crachats et de votre indécence.
6-La classe moyenne vous rappelle que c’est elle qui paye vos salaires, vos caméras, les impôts locaux donc, et que sans elle vous n’auriez aucune existence.
7-La classe moyenne vous rappelle que les privilégiés, c’est VOUS.
Aa tous les courageux du 38 alembert à tout les radicaux de gauche qui vivent avec nos dons (impots) ,
à vous qui passez votre temps à emmerder le monde, à cracher vos idées aussi pauvres que votre idéologie
à vous le vent va tourner dans peu de temps et soyez sûr d une chose le 38 Alembert et la bande de débiles qui y vivent va disparaître et nous allons nous régaler à vous virer à grand coup de pompes, préparez vous
Mais je sais encore faire et beaucoup de grenoblois aussi notre génération
Grenoble sera repris, pas la droite pas gauche mais par des grenoblois qui aiment leur ville et en ont marre des cons
Deux militant.es LGBTQ+ collaient des affiches vers Albert 1er.
Inscrit : « Non au Patriarcat au racisme d’état, au sexisme et à la transphobie ».
Je leur ai demandé si elles allaient poursuivre leur tournée à la Villeneuve, Mistral ou St Bruno, en vue de renforcer la « convergence des luttes ».
Elles m’ont traité de « gros con » avant de repartir en entonnant l’ hymne :
« 1, 2, 3… intifada grenobloise ! ».
L’apparition d' »athées islamistes » ou d’homosexuels pro-Hamas dans la société grenobloise me surprend…
Si Gérard Miller veut renouveler sa patientèle, séduire une jeunesse fragile, notre ville peut se révéler un excellent terrain de chasse !
Etranges, ces homosexuels qui veulent l’application de la charia en soutenant le Hamas. Ils ne savent pas ce que cela implique? Je me demande aussi ce que l’intifada vient faire la-dedans.Le haut niveau de leur argumentation face à la question légitime et innovante d’Eric Cole révèle-s’il en était besoin- leur remarquable incapacité de raisonnement. Quelle est l’association qui finance ces affiches? J’espère qu’elle ne reçoit de subventions ni de la ville ni de la région ni de l’Etat.
Chers Punx, R-man, Doubi, Was, Pastaga, Stanc, Vlad…et tant d’autres héroïques anonymes qui vomissent les tags à la nuit tombée, votre « Grand Soir » sera lumineux.
Oui, jeudi, Eric Piolle honorait de sa présence Arié Alimi, avocat de « damnés de la Terre », en conférence opportune à Grenoble.
Votre cher maire vous dira tout des trucs & astuces pour prospérer en milieu hostile, dans un État policier effroyable.
Procédures, recours… vous apprendrez comment mieux proteger votre Art de la censure fasciste et parviendrez à libérer Grenoble de l’oppression des « classes moyennes supérieures » enfin terrées dans leurs niches ou cages à poules.
La rue est à vous !
Robert Badinter est mort.
Euh…Arié Alimi, il est copain avec les colleurs d’affiche pro Hamas et tout et tout? Non mais, je pose juste la question, faut pas y voir une intention quelconque…
J’imagine que non.
Pas copain, avocat.
Il a mis « l’âme à gauche » et je la présume honorable.
Et comme diraient ses clients, Mélenchon ou Bouhafs, « l’habit ne fait pas l’imam ».
L’habit ne fait pas l’imam c’est rassurant, car quand La Thora s’unit au Coran, on a le droit de penser qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond . Grave.
Du côté de l’UJFP (Union Juive des Français pour la Paix), ça ne tourne pas toujours rond sur notre Terre plate pour de + en + d' »instruits alternatifs » (la topologie de Grenoble le confirme).
À Tokyo, le cannibale recrutait par le biais des « petites annonces » locales ses futures victimes, expliquant avec franchise qu’il souhaitait les cuisiner puis les déguster. Des dizaines de volontaires ont terminé dans son assiette, comme on finit dans le lit de Lelandais ou Abdelslam en zonzon aménagée…
Grave… Oui, comme des transsexuels juifs soutenant Daech avec (h)ardeur…
Quand on les croise, on leur souhaite d’abord un accompagnement psychologique solide…
Gégé Miller, notre Chevalier du Fiel 100% pure gauche, devrait les allonger sur son divan.
… mais ne t’inquiète pas, Camarade taggeur noctambule ! Lorsque tu te fais dépouiller sous ma fenêtre par une bande de frelons et que tu rentres chez toi en pleurant ton vélo tout neuf, je n’appelle JAMAIS les flics pour donner le signalement des volatiles ! J’suis pas un collabo !
Ton beau vélo, tu iras la racheter dimanche à St Bruno, le vendeur te fera un bon prix…
Ne chougne pas…
Un révolutionnaire ne chougne pas…
Et au pire, tes parents te le repaieront cash ton p…. de vélo !
… voire même une bagnole !
(électrique bien sûr)
…avec le garage idoine, parce que les soirs de chauffe, ça craint, les voitures stationnées dans la rue.
MONSIEUR LE MAIRE toujours bon à se faire remarquer!!!!
quelle réponse,quel humour !!!!!!!répondez à ce que j’écris en commentaire sur Grenoble le changement,
Mais bien sur vous en êtes incapables tant vos mensonges et ceux de vos complices que je nomme aussi sont énormes ainsi que vos agissements!Vous ne commentez pas c’est pas drôle!
vous mentez comme un arracheur de dents …Vos interventions vos commentaires AIe Aïe Aïe 😩 ça ne pédale pas haut pas vite ….Dans votre position de maire vous dites rencontrer des gens comme moi tous les jours ….Répondez a mon commentaire depuis votre position si supérieure si prétentieuse si imbue …Vous ne répondrez jamais 👎 vous n’êtes pas capable de répondre .Vous prouvez par votre mépris qui ne touche et n’atteint pas les vrais grenoblois Vous vivez dans la peur 😧 et vous vous cachez mais pensez vous pouvoir vous cacher assez loin ?jusqu’à quand ?
les caméras sont censées vous protéger. Prenez l’hélicoptère MONSIEUR LE MAIRE essayez donc un hélicoptère électrique ⚡️ mais il faudrait le recharger et vous vous retrouverez face à la réalité au sol face aux gens comme moi à qui vous avez fait du mal.
Nous vous attendons de pieds ferme…..À Bon entendeur Éric Piolle …..Vous n’avez aucun courage 😰 Marc Cutayar Ce n’est pas fini
Monsieur Cutayar, je partage votre désarroi, mais: qu’est-ce qui vous fait penser qu’Epiolle a peur? Parce que moi j’ai plutôt le sentiment qu’il n’a peur de rien, il a tous les culots. Son absence de réponse, je ne pense pas que ce soit de la peur, mais du mépris; il se croit tout-puissant. Question: est-ce qu’il l’est?