J.POLAT (Voiron) et C.BAYON (Domène) GARANTS de la LIBERTÉ D’EXPRESSION

"Clément Chappet, il s'est fait démarrer, Zemmour, Zemmour, ça va recommencer" .... une centaine de prétendus "antifas", soutenus par les Verts, rassemblés lundi soir à Domène poursuivaient leur campagne d'intimidation, d'amalgame et de déni de toute démocratie par leurs slogans. Ils voulaient empêcher la réunion de soutien à Eric Zemmour programmée salle de l'Escapade de la commune, mettant dans le même sac le soutien à Pécresse et à Zemmour.

PLURALITÉ D'EXPRESSION : PAS CONVAINCANT POUR LE DL

Emmanuelle Dufféal expliquant benoitement (DL du 22/2/22) qu'ils entendaient "dénoncer auprès du Maire de Domène le choix d'avoir prêté cette salle au parti d'Eric Zemmour". Chrystel Bayon ayant répondu qu'il le faisait au nom de la "pluralité de l'expression démocratique", d'un parti pas plus interdit que les Verts ou LFI, la journaliste jugeant-là "une explication peu convaincante et pas vraiment au goût de la minorité qui a annoncé déjà qu'elle n'en resterait pas là..." La menace perdure.

JL MÉLENCHON SOUTIEN DE CHAVEZ CANDIDAT ACCEPTABLE

Ainsi de Clément Chappet, roué de coups dans le quartier Chorier-Berriat à Grenoble, distribuant des tracts en faveur de Valérie Pécresse aux réunions des soutiens d'Eric Zemmour l'extrême gauche décide qui a droit de cité et d'expression. "L'esstrême droite", pas plus interdite que l'extrême gauche, commençant à la droite des Verts. Il va de soi que Jean-Luc Mélenchon, soutien du régime Chavez au Vénézuela qui a réussi à ruiner un peuple dans un pays riche, candidat lui-même condamné par la justice - comme Eric Zemmour- tenant des thèses les plus extrêmes héritières des régimes qui ont fait autant de morts que le nazisme, a le droit de s'exprimer, mais pas la "droite" seulement décrétée "républicaine" par l'extrême gauche, si elle épouse ses thèses !

Clément Chappet a témoigné hier sur le plateau de C' News de la situation grenobloise.

 

GRENOBLE COUVERT DE SLOGANS ANTI-POLICE, D'INJURES

Grenoble devient la caricature de cette situation ubuesque avec les nervis antifas logés par la ville qui imposent leur loi du plus fort . La manifestation du samedi "contre les idées d'extrême droite" avait laissé des traces sur tous les murs souillés de la ville. Slogans anti-police, injures, provocations de tous ordres créant un climat de peur à l'égard de toute idée déviante. Alain Carignon a demandé en vain à Eric Piolle de facturer le nettoyage aux organisateurs. Un peu auparavant, l'épisode du dessin montrant une femme voilée musulmane avec l'étoile jaune, son auteur expliquant que les musulmans subissent la situation des juifs, est à peu prés passée comme une lettre à la poste.

E.PIOLLE DÉCRÉTE CE QUI EST NAUSÉABOND ET ENTRAINE DANS LA BOUE

Le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions juives) qui était monté très fortement au créneau contre Zemmour à juste titre, a remercié tout les élus de leur position sur la fresque. Comprenant donc Eric Piolle qui a défendu ce pochoir au nom de la liberté d'expression. Ainsi il peut être dit sur les murs de la ville que la déportation de 6 millions de juifs ressemble à ce que subissent les musulmans en France aujourd'hui... La faiblesse intellectuelle ou le manque de courage aboutissant à cautionner ce négationnisme de fait, s'inclinant devant Eric Piolle selon lequel engager le débat est "nauséabond" et entraine "dans la boue". Ce qui frappe toujours, c'est la manière dont l'extrême gauche réussit à imposer sa grille de lecture.

DE DÉGRINGOLADE EN DÉGRINGOLADE ...  

Il s'en suit en toute logique le mois décolonial, subventionné par la ville, selon lequel l'Etat Français est un État raciste systémique. De dégringolade en dégringolade, les idées les plus minoritaires sont normalisées sur une base sans rapport avec une quelconque réalité. Les contester pourtant place l'auteur hors du champ républicain, d'être accusé de racisme puisqu'il défend un ordre qui l'est. 

L'APPEL À LA VIOLENCE CONDAMNÉ PAR PERSONNE 

"Chappet il s'est fait démarrer, Zemmour ça va recommencer" relève du même glissement. Cette appel revendiqué à la violence n'est condamné par personne. La seule question qui se pose concerne Chrystel Bayon, "bien peu convaincant" de se revendiquer de la liberté d'expression en permettant une réunion d'un parti non interdit dont un élu de sa majorité municipale Domènoise est responsable, comme il en a le droit. L'étau se resserre. Plus aucune réunion de courants non tolérés par l'extrême gauche ne peut se tenir à Grenoble.

JULIEN POLAT COMPLICE D'UN  "MEETING  NÉOFASCISTE..."

Déjà le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) avait accusé  le maire de Voiron Julien Polat d’être “complice” d'un “meeting néofasciste” quand Guillaume Peltier (ex LR) Député du Loir et Cher a organisé une réunion à Voiron de soutien à Zemmour aux côtés de Gérard Dézempte, Maire et Conseiller Départemental.  Se référant à De Gaulle pour attaquer Polat, qu'ils ont toujours combattu, le traitant déjà de fasciste, De Gaulle étant symbole de l'autorité de l'Etat et de la défense de la Nation, tout ce qu'ils exècrent. Le même Julien Polat qui a annoncé qu'il parrainait Eric Zemmour estimant qu'il a le droit de se présenter compte tenu du courant d'opinion qu'il incarne. Comme David Lisnard, Président des Maires de France, Maire (LR) de Cannes a parrainé Jean-Luc Mélenchon. 

 

OÙ SONT LES FACHOS ?

"je ne suis pas d'accord avec avec que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire". La phrase attribuée (à tort) à Voltaire reflète bien l'état d'esprit de la droite et du centre. On peut combattre les idées de Mélenchon ou Zemmour, pas les interdire. Seule la justice le peut, si elles contreviennent à la loi. Alors qu'avec l'extrême gauche la disqualification, l'intolérance et la haine prédominent. Par leur ouverture Julien Polat et Chrystel Bayon démontrent que pas trop loin de Grenoble la démocratie résiste et se défend. Leurs communes font contraste avec le climat installé dans la capitale des Alpes. Rappelons qu'elle a été le théâtre de nombreux et graves incendies criminels (gendarmerie, France Bleu Isère, Centre culturel Scientifique, salle du Conseil Municipal, Eglise St Jacques... ) tous  revendiqués par l'ultra gauche. Au 38 rue d'alembert la municipalité Piolle entend installer pour 40 ans un foyer " de ressources des luttes anti-capitalistes et anti autorité " (!) aux frais du contribuable. Où sont les fachos ? 

LA CAMPAGNE DE CLÉMENT CHAPPET DÉRANGE 

La véritable vendetta dont est victime Clément Chappet, secrétaire départemental Adjoint des LR, mais surtout candidat aux élections législatives dans la 3ème circonscription, fief des gauches, démontre la manière dont celles-ci veulent défendre leur pré-carré. Il ne se laisse visiblement pas impressionner et sa campagne active dérange. Il a déposé une plainte et on peut espérer que le Procureur Eric Vaillant mettra plus d'empressement qu'avec les affaires Piolle renvoyées de mois en mois. L'agresseur principal est bien visible, les vidéos à disposition, les témoins nombreux, la procédure en comparution immédiate existe. Imaginons ce qui se dirait et ce qui se passerait si "l'esstrême droite" avait agressé un militant de gauche ? La ville serait en état de siège. 

ON SAIT OÙ SONT LES GAULLISTES 

Dans l'annonce de la plainte de Clément Chappet , le "Dauphiné" (22/2/22) note "qu''il est un fervent soutien d'Alain Carignon". Notera-t-il que ses agresseurs sont des "fervents soutiens d'Eric Piolle ou d'Elisa Martin "?  Clément Chappet, Julien Polat, Chrystel Bayon, chacun à son niveau et avec ses moyens démontre son courage face à aux diktats et aux menaces, y compris physiques, porte une certaine idée de la liberté, de fait "une certaine idée de la France". On sait où sont les gaullistes

  

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