UN ARTISTE ACCUSÉ DE VIOL VA EXPOSER à GRENOBLE
Accusé de viol par quatre femmes en Australie le célèbre artiste de rue Australien, Anthony Lister est programmé à Grenoble. Il est annoncé du 1er avril au 21 mai prochains. Quand on se rappelle la campagne grenobloise contre Roman Polanski lors de la cérémonie des Cesar, les tweets d’Éric Piolle contre Gérald Darmanin, les larmes de crocodiles d’Emmanuel Carroz, l’Adjoint (Verts/FI) professionnel de l’indignation surjouée par rapport à toutes les violences faites aux femmes, mais complètement indifférent aux menaces des femmes victimes des squats qu'il autorise, quand on entend les propos des Chloé le Bret et autres, on mesure la tartufferie municipale sur ce sujet aussi. Ou et quand les Rouge/verts grenoblois sont-ils sincères ?
É. PIOLLE : UN BOUQUET DE FLEURS, UNE VIOLENCE
Eric Piolle n’avait il pas tweeté pour dénoncer la violence de cette fameuse « essstrême droite » qui est partout, lorsqu’un militant identitaire s’était agenouillé, un bouquet de fleurs à la main, pour mimer sa déclaration de flamme à Alice Coffin, la militante féministe extrêmiste ?
Il désirait seulement singer cette galanterie à la Française qui était consubstantielle à nos mœurs et à notre identité culturelle, avant que la déconstruction, la reconnaissance de l’intersectionnalité des luttes (!) ne vienne les détruire....
UN REFUS DE DIVERSIFIER LES SUBVENTIONNEMENTS
Mais voilà que la majorité grenobloise se lave les mains de la programmation d’Anthony Lister à Grenoble. Elle a donné toutes les clefs à Spacejunk contrairement à ce qu’avait demandé Alain Carignon au Conseil Municipal, à savoir répartir les subventionnements entre plusieurs associations afin de diversifier les sources, les projets et les œuvres.
B. BOER : "SA PRÉSENCE à GRENOBLE SERAIT ÉTONNANTE "
« Anthony Lister peut-il exposer à Grenoble ? », demande Brigitte Boer, Conseillère Municipale (société civile, divers droite et centre) dans un communiqué « Sa présence à Grenoble serait étonnante » publié par le site d’information en ligne Place Gre’Net.
LE SILENCE D'Éric PIOLLE SUR SES AMIS
Ajoutant « J’ai noté le silence d’Éric Piolle quand il s'agissait de son ami Juan Branco mis en examen, lui, pour le même motif ou encore de Nicolas Hulot, la situation que créerait cette exposition interroge « à l’heure où Eric Piolle interpelle le président de la République concernant les violences sexistes et sexuelles ».
« Pour ma part, poursuit Brigitte Boer, la lutte contre les violences faites aux femmes ne correspond pas à un positionnement médiatique et circonstanciel. Il est de conviction. «
LE CUMUL DES INCOHÉRENCES MUNICIPALES...
Un nouveau gros caillou dans la chaussure du Grand Timonier qui les accumule. Des Roms relogés sur le terrain municipal jouxtant l’entreprise Richardson, en passant par la privation de l’apprentissage de la natation pour des scolaires, jusqu’aux cantines fermées pendant 6 jours, avec des parents avertis la veille ! Les grenoblois en ont marre.
... D'UNE MUNICIPALITÉ PAS BELLE à VOIR DE PRÈS
Ces contradictions béantes entre les envolées générales et accusatrices quand il s’agit des autres ( toujours « l’essstrême droite ») et ses propres comportements, le gouffre abyssal entre les affirmations péremptoires sur l’avenir lointain et l’incapacité crasse à traiter les problèmes simples de 2021, voilà les vrais caractéristiques de cette municipalité pas belle à voir de près.