SQUAT du 38: LES DÉRIVES MUNICIPALES DE E.CARROZ (Verts/PG)

"Comment une mairie peut cautionner un lieu (expérimental?, nous on appelle ça une ZAD en plein Grenoble, mais bon...on va pas jouer sur les mots, hein?) dangereux et qui fait vivre un enfer au voisinage."Comment une mairie peut vouloir signer une convention avec un squat politisé dangereux et bruyant qui lui crache dessus à longueur de temps? "Comment une mairie peut cracher sur la tranquillité de ses administrés alors qu'elle signe un arrêté municipal contre les nuisances? "COMMENT UNE MAIRIE PEUT DÉCIDER QUI DOIT VIVRE DANS LE CALME OU PAS ?" "Comment une mairie peut se croire en position de toute puissance et décider qui doit vivre dans le calme ou pas? "Comment une mairie peut décider qui peut vivre en sécurité et qui peut craindre h-24 pour sa vie? "Nous, nous restons donc bouche bée...et le bec dans l'eau nauséabonde de la mairie de Grenoble car une convention doit être signée... Elle signera donc notre arrêt de mort en tant qu'habitants heureux..avant l'arrivée des squatteurs. elle signera l'arrêt de notre tranquillité, l'arrêt de la vie heureuse et paisible dans nos appartements et sur nos terrasses, l'arrêt de notre sécurité au quotidien. "M.PIOLLE VOUS DÉSHONOREREZ TOUT CE QUE LA TÂCHE RÉPUBLICAINE D'ÊTRE ÉLU VEUT DIRE " "Si cette convention voit le jour...Monsieur Piolle vous déshonorerez tout ce que la tâche républicaine et démocratique d'être un élu veut dire. Vous vous soustrayez à vos obligations et responsabilités. En temps voulu, nous saurons vous le rappeler..."
Les riverains du squat du 38 rue d'Alembert mettent en cause l'irresponsabilité d'Eric Piolle dans ce texte diffusé sur les réseaux.  Mais ils n'oublient pas" Monsieur Carroz " l'adjoint au Maire chargé de la vie associative:
"Que quelqu'un parmi vous lui ouvre les yeux sur la réalité de l'enfer vécu par le voisinage du 38 depuis 3 ans. "Que quelqu'un lui explique ce que c'est que de ne pas pouvoir dormir, se reposer, lire un livre enfin jouir paisiblement de la chambre de son appartement grâce à son expérimentation sociale.  "Que quelqu'un lui dise qu'on en peut plus de son truc. "Que ce monsieur Carroz prenne les squatteurs anars, leurs fêtes, leurs booms, leurs concerts, leurs réunions, l'atelier vélo, les barbecues et la famille dysfonctionnelle de rom dans son jardin s'il veut expérimenter des trucs..."écrivent ils aussi . PAS UNE FOIS DANS SON MANDAT E.CARROZ (Verts/PG) N'AURA SOUTENU LES ASSOCIATIONS S'il en est un bien représentatif des dérives de la municipalité Piolle, c'est bien celui-là. Pas une fois dans son mandat il n'aura prêté attention à l'immense majorité des associations qui oeuvrent pour le lien social et sont de plus en plus en difficultés. Le secteur essentiel de l'éducation permanente, des MJC aura été abandonné. E. Carroz aura exclusivement valorisé les minorités qui tiennent ainsi le haut du pavé, trustent les crédits et sont érigées en nouvelles normes à suivre. Avec lui la marge est devenue le centre et la grande masse doit se terrer, taire ses convictions et cacher ses moeurs, ses modes de vie sous peine d'être immédiatement vilipendée. Tout les autres ont des "droits" ,sauf elle. PLUS DE RÈGLE DE VIE COMMUNE, DE VALEURS PARTAGÉES Ses traditions, sa culture, ses modes de vie puisés dans une histoire millénaire sont ringardisés au mieux, diabolisés  le plus souvent et quiconque cherche à les défendre est immédiatement victime des gardiens de l'espace public. Ainsi on est sommé de s'ébahir devant la moindre expression primitive de la dernière des ethnie reculée,  il faut considérer le queer comme la figure achevée de l'émancipation humaine , mais par contre désirer une règle de vie commune, des valeurs partagées, un intérêt général qui dépasse les désirs de chacun, c'est s'exposer à l'accusation d'exciter la bête en l'homme ou ,version plus soft, être qualifié de fumeur de clopes qui roule au diésel. E.CARROZ (Verts/PG) : "AU 38 DES DAMES VIENNENT BOIRE LE THÉ L'APRÈS MIDI" Alors que des riverains subissent les conséquences de l'occupation illégale d'un local municipal, le "38", sans droit ni titre, sans contribution aux charges communes de la collectivité "Grenoble",  Emmanuel Carroz pontifie , énumère ses poncifs habituels. Ainsi , pour lui , «C’est un lieu qui correspond à ce qui existe dans de grandes villes européennes qui expérimentent et innovent. La Ville soutient ce qui est expérimental en matière de lien social»  Pensez donc « Dans ce centre, des dames viennent discuter l’après-midi, boire le thé, il y a des cours de langue pour non francophones.»(!) AUCUNE CONDITION D'HYGIÈNE et de SÉCURITÉ Bien entendu aucune condition de sécurité, d'hygiène ne sont contrôlées par les services municipaux si vigilants dans la ville contre un certain nombre d'établissements désignés par la municipalité. Mais Emmanuel Carroz le justifie car « on a envie que différents modèles de vivre-ensemble cohabitent sur le territoire. » Toujours le modèle de la société multiculturelle ou chacun vient et s'installe comme dans une auberge espagnole, vit selon ses propres coutumes et traditions ou bien dans le cadre du projet de société qui est le sien. Des groupes d'individus reconstituent des formes de tribus, imposent leurs propres lois avec parfois la bonne conscience de lutter contre la société et son organisation, ce qui permet tout. JB VIGNY (le DL) : " IL NOUS A ÉTÉ INTERDIT DE PHOTOGRAPHIER L’INTÉRIEUR du CENTRE" Jean-Benoit Vigny ( DL du 12/11/18 ) rapporte  que les membres du squat " ont refusé d’apparaître. Il nous a été interdit également de photographier l’intérieur du centre, que nous avons pu visiter en partie seulement." Pire qu'une centrale nucléaire. Il y a des zones de défense interdites à la presse. E.PIOLLE : "LA LOI EST LA MÊME POUR TOUS" D'Union de quartier en Union de quartier Eric Piolle répond aux vielles dames qui ont le malheur d'avoir leur chien non attaché auprès d'elles et écopent d'une contravention de 100 € :"la loi est la même pour tous" (!) Mais dans un lieu public propriété de la ville, les occupants peuvent se cacher, interdire de photographier des pièces (!) , utiliser des locaux sans contrôles de sécurité , organiser des manifestations sans respecter les règles imposées à tous. Le tout aux frais du contribuable qui a la bêtise de payer ses impôts les plus élevés de France à Grenoble !
LE 38, CE N'EST PAS LE QUART MONDE Cette " survie par la solidarité " dont se revendique le squat du 38 est imposée par la force à ceux qui la financent. Elle ne résulte d'aucune décision démocratique.  Ceux qui l'animent n'appartiennent pas au quart monde à voir les voitures qui servent aux préparatifs des fêtes. En réalité, contrairement à ce qu'ils affichent, il s'agit là de l'aboutissement de l'individualisme exacerbé, de la négation de tout intérêt général exprimé par la volonté populaire,  car un groupe décide seul , ce qui est bon pour la société et le met en application au frais des autres.  Un avatar lointain d'il "est interdit d'interdire" . LE SQUAT A CRÉE SES PROPRES FRONTIÈRES D'ailleurs leur actuelle mobilisation est "contre les frontières". lls ignorent l'excellent " Eloge des frontières" de Régis Debray qui explique pourquoi elles sont si nécessaires , pour les peuples comme à l'intérieur de soi. Ne serait-ce que pour savoir quand on les franchit !  Bien entendu le squat a créé les siennes de frontières , les photos qu'on n'a pas le droit de prendre, les pièces qu'on n'a pas le droit de visiter. LE RETOUR DU TRIBALISME EST UN RECUL de la CIVILISATION Car le refus des frontières c'est le retour au tribalisme, puisque chaque groupe se crée selon ses règles et devient l'abri de ceux qui ont besoin de protection.  Chaque groupe se constituant pour de bonnes raisons qu'il a apprécié tout seul. Ce refus livre les plus faibles à la communauté, à la horde , à la domination du plus fort souvent le plus proche. La frontière protège, fixe des préceptes communs et permet un sentiment d'appartenance qui dépasse justement cette tribu, cette communauté  ou cette horde. Elle libère en réalité. LES DISCOURS INFANTILES ET DATÉS DE LA MUNICIPALITÉ PIOLLE... Grenoble est le bon exemple de ce recul de la civilisation engendré par ces discours infantiles et datés. Les migrants ont campé  sur un terrain pollué parc Henri Tarze parce que la municipalité phare a oublié de le dépolluer depuis 5 ans toute occupée à sauver la planète en 2050. D'autres Roms campent sous l'estacade de la gare en attendant les logements promis. Des familles de l'est sont logées rue Elysée Chatin depuis des années, mais abandonnées à elles-mêmes , appliquant en pleine ville leurs modes de vie coutumier rendant la vie impossible aux autres. ... PRODUISENT LE GRENOBLE EXPLOSIF Cette absence de toute éthique de responsabilité, cet abandon de toute autorité et de lien commun, qui sont l'essence de la société stratifiée d'individus ou le citoyen est absent à proportion qu'on le cite à tout propos, produit le Grenoble explosif que nous avons sous les yeux. Nous n'aurons pas la cruauté de donner les adresses des élus Verts/PG qui habitent tous des maisons individuelles dans ces quartiers et qui ne supporteraient pas 48 h ce qu'ils imposent à tous ces riverains. Car il s'agit d'un phénomène encore plus profond. LA MUNICIPALITÉ RÉTRÉCIT ENCORE LE CHAMP PUBLIC DU BIEN COMMUN En renonçant à représenter le peuple dans son ensemble et d'incarner sa volonté dans l'esprit ou la révolution Française a voulu que "le peuple exerce sa souveraineté par l'intermédiaire des ses représentants" , en se soumettant aux diktats des minorités, en exaltant même celles-ci  dans un multiculturalisme quasi religieux, la municipalité rétrécit encore le champ public du bien commun. Dans le cas des occupations illicites il s'agit de maquiller une revendication hors la loi assez radicale en droit fondamental relevant des seules convictions individuelles légitimées par quelques copains! Cette "philosophie" au pouvoir à Grenoble  produit ce délitement général qui exaspère. Le peuple des grenoblois exclus de ces prébendes va donc saisir les élections municipales pour se faire entendre.
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