ENTHOVEN, NAULLEAU… E.PIOLLE RISÉE DES RÉSEAUX

 

Son tropisme de gauche extrême lui joue de plus en plus de mauvais tours.  Eric Piolle avait immédiatement dégainé son tweet afin de doubler Jadot lequel, plus digne, ne mange pas de ce pain-là.  Alice Cofin a été agressée selon Eric Piolle, parce qu’un militant identitaire s’est agenouillé  devant elle lors de l’une de ses réunions, mimant la déclaration d’amour d’un homme à une femme, costumé et un bouquet de fleurs entre les mains, lui lançant « "Je sais que vous ne mangez pas de ce pain-là, mais je me permets de vous offrir des fleurs".

Alice COFIN VEUT "ÉLIMINER LES HOMMES DE NOS ESPRITS"

Dénonçant « la violence de l’extrême droite »  Eric Piolle s’est définitivement ridiculisé par ses dérives. Alice Cofin est cette militante féminine qui prône la ségrégation de genre dans les spectacles, estime que « les hommes il faut les éliminer. Les éliminer de nos esprits, de nos images de nos représentation».  Elle affirme « je ne regarde plus leurs films, je n’écoute plus leurs musiques… » Bref une modérée violentée par un bouquet de fleurs.

E.PIOLLE INJURIE LA VIOLENCE FAITE AUX FEMMES

En parlant de violence Eric Piolle injurie évidemment toutes les femmes victimes de violences, de vraies violences. On comprend avec son instrumentalisation idiote de cet incident ce qu’il en est de sa conviction réelle sur le sujet : il n’est qu’un vecteur électoral pour faire voter les plus excessifs de l’électorat Verts dans la primaire. Du blé  de suffrages sur le dos de la cause, pour résumer.

Les internautes s'en sont donné à coeur joie

UN RIDICULE AGGRAVÉ PAR LES FAUTES

Mais le ridicule a été précipité par la forme puisque  Piolle a ajouté les fautes de grammaire, de vocabulaire, inventé un adjectif  et même mis de l'écriture  inclusive ou il n'en fallait pas ! Les internautes -et non des moindre- ont raillé le candidat à l’Elysée. Dans le monde littéraire et intellectuel il est définitivement classé analphabète.  

LA TARTUFFERIE EN 3 LIGNES 

 En trois lignes Eric Piolle a confirmé la Tartufferie du personnage : «l’extrême droite cherche a (sic) imposé (re-sic…- son idéologie  raciste et masculiniste (re-resic). Ne laissons personne faire face seul.e (re -re -re sic-) à l’extrême droite « (!).

"TOUTES MES PENSÉES A VOS PROFS de FRANCAIS..."

« Cherche à imposer » tandis que le « masculiniste » ressemble au degré zéro de la « bravitude » des adjectifs  inexistants  et qu’il n’est pas besoin de féminiser « seul.e » puisque « personne » étant féminin, il faut écrire «seule». Ça fait beaucoup pour le donneur de leçons. « Le tweet au  niveau CM2 » lance l’un, tandis qu’un autre adresse «  toutes mes pensées affectueuses à vos professeurs de Français… »

E.PIOLLE N'A PAS EU UN MOT POUR MILA MENACÉE DE MORT

Le philosophe Raphaël Enthoven pointe surtout  le mépris qu’un tel tweet révèle à l’égard d’une autre vraie violence faites à une jeune femme, victime de l’intolérance, menacée en permanence du fait de sa liberté d’expression. Eric Piolle n’a jamais eu un mot pour Mila « elle a reçu des centaines de milliers de menaces de mort, vit sous protection policière. Alice Cofin a reçu des fleurs » 

R.ENTHOVEN et E.NAULEAU "A.COFIN A REÇU DES FLEURS..." 

Ou encore le critique littéraire Eric Nauleau : « Alice Cofin a reçu des fleurs, pas des menaces de mort comme Mila. Et dommage que l’extrême droite ne cherche pas à vous imposer la différence entre l’infinitif et le participe passé « 

LE GRAND TIMONIER REMIS à SA PLACE

Au milieu de tant d’autres qui remettent le Grand Timonier à sa place. Quand on connaît l’arrogance et la suffisance de ses réactions quand il subit des critiques localement, on imagine dans quel état il doit être !

L'HABITUÉ DES EXCÈS DE LANGAGE

le 29 mars dernier au Conseil Municipal, répondant à Alain Carignon qui avait posé en termes très modérés et respectueux une question sur les squats,  il lançait : «Je dénonce l’indignité de votre exposé, le terreau d’une société nauséabonde, l’inhumanité de votre question, l’insulte que vous proférez à l’égard de personnes qui, dans leur immense majorité sont en détresse sociale, médicale, psychologique «.

SON TERREAU IDÉOLOGIQUE NE SENT PAS BON

Malheureux Enthoven, Nauleau et tous ces internautes qui lui mettent le nez dans son propre terreau idéologique. Il ne sent pas bon, il n’est pas beau à voir. 

"DITES NON AU FASCISME, NO PASARAN..."

D’autant que certains le font avec humour : « cette agression d’une rare violence nous rappelle les heures sombres de l’amour courtois ». Ou bien «j’entends déjà les bruits de bottes masculines de tous les hommes un bouquet de fleurs à la main. Avec moi dites non au fascisme. No pasaran ! »  Et encore: « avez-vous des nouvelles suite à cette agression ? J’ai entendu dire que le pronostic vital n’était pas engagé ».

"J'AI SIGNÉ LA PÉTITION INTERDISANT INTERFLORA"

Un autre : « tout mon soutien également à Alice Cofin, j’ai signé la pétition pour la dissolution d’interflora ». Plus complet : « l’analyse du disque dur du terroriste : un compte Interflora, a déjà vu "Autant en Emporte le vent ", abonné à la chaîne de Nicolas le jardinier, le traçage de la carte bleue a permis de remonter jusqu’au complice qui a vendu les fleurs ». 

 

"CONTINUEZ à VOUS RIDICULISER, ON ADORE"

Mais le mot » ridicule » est celui qui revient le plus souvent pour qualifier Eric Piolle. Pas réjouissant pour Grenoble qu’il représente : « continuez à vous ridiculiser, on adore » pour l’un, « tocard » pour l’autre « merci pour ce moment de rire » ou « la connerie élevée à ce niveau ça devient de l’art » encore « Mé qué bouffon ». Jean-louis Gagnaire :« qui voudrait de ce candidat à l’Elysée ? ». Des encouragements : « continuez à vous ridiculiser, vous êtes magnifique, encore et encore ». Enthousiate : « vous êtes génial, je vous adore». Conseilleur : « investissez dans un Bescherelle »

ON AIMERAIS QUE LES AGRESSIONS SOIENT DE CE GENRE à GRENOBLE

Il y a tous ceux qui lui rappellent que « Grenoble c’est Chicago «  et « on aimerais que les agressions soient de ce genre à Grenoble «. Des facétieux lui demandent » quand il revient à Valence en garde à vue ». Un festival.

 

PAS UN MOT DE L'OUVERTURE D'UNE ENQUÊTE

A Grenoble ses affectations et postures aussi vides que grandiloquentes bénéficient d’une assez large bienveillance. Il suffit de voir comment sont traitées et suivies ses affaires judiciaires : pas un mot de l’ouverture d’une enquête préliminaire avant le premier tour des élections régionales et départementales.

TROP IMBU DE LUI-MÊME, IMMATURE et SECTAIRE

Mais en passant son mur du son à l’échelle nationale, c’est pas la même. La bouffonnerie de son dernier tweet a probablement crevé un plafond supplémentaire. La goutte qui fait déborder le vase. Il existe désormais autour de Piolle une gêne manifeste car chacun comprend bien que ses foucades et approximations, ses fautes, définissent un personnage immature, trop sectaire, trop imbu de lui-même pour faire une personnalité politique. Une sorte de Mélenchon de Sous Préfecture. 

UN NAUFRAGE EN LIVE

Il est probable que ce tweet de trop constitue le point d’arrêt définitif de la potentialité de Piolle à exercer une quelconque  responsabilité de premier plan. Car il est l’aboutissement d’une série de comportements cumulés depuis le lancement de sa candidature en pleine trêve du confinement -le choix du moment était en lui-même une grossièreté- jusqu’à ce canard sans tête que les grenoblois voient s’agiter dans les médias pendant que leur ville est abandonnée. Un naufrage en live .

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