LES SQUATS MUNICIPAUX FONT DES AFFAIRES SUR LA MISÈRE
A voir les cylindrées garées devant le squat municipal du 107 rue des Alliés on se pose de plus en plus la question de savoir si des mafias ne font pas payer des loyers aux malheureux des pays de l’Est qui paient aussi pour quitter leur pays ?
"UN SYSTÈME DE MARCHANDS DE SOMMEIL INTOLÉRABLE"
Un rapport présenté par l’inénarrable Nicolas Béron-Perez Adjoint au Maire de Grenoble et Vice-Président de la Métro chargé du Logement avait révélé que « les personnes Européennes qui viennent à Grenoble sont originaires de quelques villages de l’ouest de la Roumanie. Il semble qu’elles soient régulièrement concernées par des systèmes d’emprise, notamment d’endettement pouvant se prolonger jusqu’en France. Le fonctionnement des squats ou bidonvilles laisse également clairement apparaître un système de marchands de sommeil intolérable dans lequel les familles sont amenées à payer leur emplacement parfois jusqu’à 200 € par mois… »
LA MUNICIPALITÉ COMPLICE AVEC SES SQUATS MUNICIPAUX
Les mêmes tolèrent sans contrôle depuis des années que fonctionne le squat municipal de la rue des Alliés ou une adolescente a trouvé la mort, électrocutée en se lavant. L’indifférence municipale devient plus que coupable, complice de cette situation dramatique. La question se pose de savoir si des mafias ne s’engraissent pas sur la misère du monde grâce à des locaux mis à disposition par la ville ? Malgré qu'elle le reconnaisse, la municipalité demeure immobile et répète son discours sur la misère du monde.
LE SECTEUR DES ALLIÉS DÉVALORISÉ PAR CE SQUAT
Dans le secteur des Alliés l’ambiance que fait règner ce squat est détestable. Des habitants ont déménagé et en face les locaux vides sont devenus impossible à louer. La cour des entreprises est très souvent vandalisée ou salie par des dépôts d’ordures. Les dégradations sont multiples. C’est tout un quartier qui est dévalorisé et tiré vers le bas du fait de l’irresponsabilité municipale.
CE SAMEDI FÊTE AU SQUAT DU 38 RUE D'ALEMBERT
De l’autre côté de la ville la situation n’est pas plus agréable autour du squat municipal du 38 rue d’Alembert. Ce samedi il fête les morts. Ce qui signifie une après-midi de bruit et de musique pour les voisins qui devront supporter entre 50 et 100 personnes sous leurs fenêtres dans le cadre d’un squat qui ne paie pas de loyer à la ville, pas l’eau, pas l’électricité ne respecte aucune obligation de sécurité, de pass sanitaire, d’hygiène imposés à tous. Un squat qui s’est même permis depuis 7 ans de refuser à Emmanuel Carroz l’Adjoint (Verts/FI) un contrat d’occupation gratuit des lieux !
LES GRENOBLOIS PAIENT CES DÉRIVES PAR LEURS IMPÔTS
Ainsi de la rue des Alliés à la rue d’Alembert les grenoblois paient par leurs impôts des enrichissements personnels ou collectifs, ils supportent des nuisances et la baisse de la valeur de leurs biens justement acquis et devraient remercier Grand Timonier de sa grandeur d’âme.
LE CAMPEMENT DE L'ALLIANCE SOUS EMPRISE ?
D’autant que cette exploitation de la misère se poursuit. Le campement de l’Alliance qui succède à ceux de la gare, du quai Claude Bernard, de Diderot et d’ailleurs s’inscrit dans cette organisation. Le DL a révélé que des familles demandeurs d’asile logées en CADA sont retournées dans le camp. On sait que la municipalité Piolle loge ensuite ces illégaux dans des HLM ghettoïsant dangereusement les quartiers.
POURQUOI É. PIOLLE NE DEPOSE-T-IL PAS PLAINTE ?
L’incohérence des Rouge/Verts atteint des sommets et devient insupportable pour les grenoblois. Pourquoi Eric Piolle ne dépose-t-il pas plainte ? Ne demande pas l’évacuation ? Ne diligente-t-il aucune enquête sociale sur les occupants, leurs visiteurs, les revenus ? Il y a de la non assistance à personne en danger, de la complicité avec toutes ces nébuleuses qui vont jusqu’à l’ultra-anarcho-gauchisme qui vivent sur l’impôt des grenoblois.
La loi du plus fort remplace l’Etat de Droit,
Pourtant le Maire est juridiquement responsable de la Sécurité et de l’Hygiène publique, donc devient coupable de Complicité comme écrit ci-dessus.
Refusant de faire son devoir, Piolle, l’insoumis-globe-trotter, doit partir !