ISLAMISME RADICAL : E.PIOLLE RECULE D’UN PAS
"Une annonce qui, soit dit en passant, doit amuser Alain Carignon, puisque le chef de file de l’opposition de droite au conseil municipal de Grenoble avait, lors du conseil du 2 novembre, déposé un amendement exigeant le remboursement immédiat de ces subventions. Amendement alors rejeté par la majorité d’Éric Piolle" ...s'amuse aussi de noter Vincent Paulus dans le "Dauphiné" d'hier (6/12/20)
RETRAITE EN BASSE CAMPAGNE
Une annonce sans le tambour ni les trompettes habituels chez Piolle. Plutôt une retraite en basse campagne. En effet il avait accordé subventions et locaux au Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF) qui est une branche idéologique des Frères Musulmans. Au Conseil Municipal du 2 novembre Alain Carignon l'avait accusé "de favoriser l'islamisme politique avec l'argent du contribuable".
L'OPPOSITION AVAIT DEMANDÉ LE REMBOURSEMENT....
L'opposition demandait par amendement que la ville exige le remboursement des subventions perçues par le CCIF : "ce serait un signal, celui d'une coupure entre la ville et toute dérive radicale. C'est un geste qui montrerait que la ville de Grenoble est du bon côté, du côté des Lumières. C'est cette action là que les grenoblois attendent de vous" avait plaidé Alain Carignon.
E.PIOLLE CHANGE ET ACCEPTE SANS REPASSER DEVANT le CONSEIL
"Éric Piolle a confirmé ce samedi matin sur France Info qu’il allait demander le remboursement de ces subventions versées par la Ville de Grenoble" confirme le DL. Les grenoblois apprennent donc au détour d'un média le changement de pieds du Grand Timonier sans que le Conseil Municipal ne l'ait voté ! C'est dire le sérieux.
PEU PAR RAPPORT A L'AMPLEUR DE LA TÂCHE
Ce recul est peu de choses par rapport au nombre de décisions qu'Eric Piolle devrait prendre pour inverser la tendance. La municipalité ne devrait plus fermer les yeux sur les entorses à la laïcité, ne plus favoriser le terreau qui permet à l'islamisme radical de prospérer.
E.PIOLLE PEUT IL FAIRE MARCHE ARRIÉRE SUR D'AUTRES SUJETS?
Eric Piolle et Edwy Plenel au Palais des Sports de Grenoble lors d'un meeting contre l'état d'Urgence... il a oublié ?
Ce revirement arrive trop tard.
Comme pour les masques, au printemps dernier.
Mr Piolle a toujours une guerre de retard !