CCIF : L’OPPOSITION DEMANDE LE REMBOURSEMENT
L'opposition municipale ne laissera pas passer. La municipalité Piolle a subventionné le Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF) à hauteur de 3 800 €.
Le CCIF est idéologiquement la branche juridique des Frères musulmans en France et il est aujourd’hui dans le viseur du gouvernement pour être dissout.Un chercheur grenoblois, Naëm Bestandji , militant féministe et laïque, a parfaitement développé - et depuis longtemps- tous les attendus de la question.
" SE FAIRE PASSER POUR UNE ASSOCIATION ANTI-RACISTE"
Expliquant même toute la rouerie de l'organisation: " le nom déposé en préfecture lors de sa création est "Association de défense des droit de l'Homme (ADDH)-Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF)". Cette dénomination lui permet de se faire passer pour une association antiraciste. Cela lui permet également de se faire discrète en ne citant que la première partie de sa dénomination quand cela lui est utile. C'est le cas dans le libellé qui apparait dans le document public des subventions de la ville."
SUBVENTION CHEZ UN PARTICULIER à GARGES-LES-GONESSES
De plus Eric Piolle a accepté que la subvention soit versée à Garges-les-Gonesses, chez un particulier : "Quand on connaît la bureaucratie tatillonne que la municipalité impose aux associations on ne peut être qu’étonné de cette légèreté et s’interroger sur ses raisons" indiquent les 6 élus du groupe d'opposition municipale dans un communiqué diffusé hier.
E.CARROZ ( Verts/FI) ENCORE EN DÉLIT de MENSONGE
La question mérite d'autant plus d'être posée qu'Emmanuel Carroz, Adjoint au Maire ( Verts/FI) avait prétendu que cette subvention avait été instruite avec... la Préfecture. Afin de se dédouaner. Patatrac. Lionel Beffre, le Préfet de l'Isère, n'a pas attendu pour rétablir la vérité: “ Les subventions délibérées par la Ville de Grenoble l’ont été de sa seule initiative et n’ont nullement fait l’objet d’une validation préfectorale" dit-il au " Dauphiné" (30/10/20) .
LES MUNICIPALITÉS DÉCIDENT SEULES
Enfonçant le clou sur les collectivités " seules comptables de l’opportunité de ces subventions, au regard du principe de libre administration que leur garantit la Constitution. En d’autres termes, il n’appartient juridiquement pas au préfet de se prononcer sur l’opportunité pour une commune d’accorder ou non une subvention."
E.CARROZ DÉCRÉDIBILISE LA PAROLE PUBLIQUE
Le mensonge d'Emmanuel Carroz -qui est une spécialité des Rouge/Verts grenoblois - et décrédibilise totalement leur parole publique, est établi sur la place publique et sur le site du DL qui a rencontré un certain succès ( de l'ordre de 16 000 connexions).
L.BEFFRE: " DE LA RESPONSABILITÉ de CHAQUE ACTEUR PUBLIC..."
Lionel Beffre met bien Eric Piolle face à ses responsabilités qu'il fuit tout le temps, n'osant pas assumer son laxisme face à l'islam politique: " Il est de la responsabilité de chaque acteur public de s’assurer de la pertinence de financer telle ou telle association et, par là même, d’en contrôler l’objet et les actions menées.” Fermez le banc.
UN AMENDEMENT POUR DEMANDER LE REMBOURSEMENT
Mais ce n'est pas fini pour le Grand Timonier. Lundi au Conseil Municipal le groupe des élus d'opposition composé de Alain Carignon, Président, Nathalie Béranger, Brigitte Boer, Cherif Boutafa, Nicolas Pinel et Dominique Spini Conseillers Municipaux déposera un amendement pour demander au CCIF de rembourser les subventions perçues.
"Par ses subventions et mise à disposition d'un local, la ville de Grenoble a donc financé une association islamiste " écrivent les élus d'opposition.
DANS LA CONTINUITÉ DE L'OPÉRATION avec E.PLENEL
Ajoutant: "Considérant que cette politique se situe dans la continuité des actions municipales telle l’organisation au Palais des Sports d’une manifestation contre l’état d’urgence après les attentats du Bataclan qui ont aussi tué un jeune Isérois,
"Considérant ces faits particulièrement graves au moment où notre pays traverse des événements dramatiques
"Considérant qu’une telle politique contribue à développer l'islamisme politique sur la ville, avec l'argent du contribuable"
"Le Conseil Municipal décide de demander au CCIF de rembourser la totalité des subventions perçues de la ville de Grenoble".
UNE ÉPREUVE POUR LA MAJORITÉ MUNICIPALE
On ne peut mieux dire. Face à ces vérités, les mensonges type Carroz, les fuites, les feintes , les lâchetés ne sont d'aucun secours. Il faut faire face aux faits.
Pour la majorité municipale c'est une épreuve car on peut tout de même imaginer que sur des principes de cette importance , certains élus peuvent décider de faire passer leur conscience avant l'obéissance aux consignes.
S.BOUZAIENNE AVAIT EXPRIMÉ SON DÉSACCORD avec PIOLLE
Déjà avec l'affaire du Burquini , Sadok Bouzaienne, alors Adjoint au Maire avait exprimé son désaccord avec la position d'Eric Piolle qui acceptait ce "maillot couvrant" (!) dans les piscines municipales pour favoriser cet islamisme politique. Il est vrai que réélu en juin, Sadok Bouzaienne a démissionné en juillet. ça peut refroidir les consciences les mieux accrochées.
Car on ne vit pas chez les bisounours avec les Rouge/Verts Grenoblois comme l'avait décrit de l'intérieur Guy Tuscher, un élu de la majorité.
REPRÉSENTER TOUS LES GRENOBLOIS QUI REFUSENT CETTE DÉRIVE
En portant le dossier devant le Conseil Municipal le groupe d'opposition (société civile, centre et divers droite) du Conseil Municipal fait son devoir et va représenter tous les grenoblois , quel que soit leur vote, qui n'acceptent pas cette dérive municipales qui flirte avec l'inacceptable.