E.PIOLLE POURSUIT SA VENDETTA CONTRE C.FERRARI
"La guerre des gangs pour les places s’aggrave à Grenoble à tous les niveaux emportant tout sur son passage. L’insécurité n’est plus seulement quotidiennement dans la rue mais gagne nos institutions publiques. Visiblement Eric Piolle et Yann Mongaburu ont décidé de tenter d’abattre Christophe Ferrari par tous les moyens". Alain Carignon a résumé hier la nouvelle attaque en dessous de la ceinture lancée contre Christophe Ferrari par le clan grenoblois aux manettes.
ILS TRAHISSENT L'ENGAGEMENT de L'ABANDON du RECOURS
Les élus Verts/Ades qui constituent l'ossature de la majorité municipale et sont à l'origine des Verts Grenoblois -le clan Avrillier/Comparat à l'oeuvre depuis les années 80 (!)- a décidé de maintenir les recours contre C.Ferrari .
"Nous avions l'engagement de l'abandon du recours contre mon élection postérieurement à l'élection de l'exécutif. Je constate que non seulement le recours sur mon élection est maintenu mais qu’en plus il est assorti d’une demande d’inéligibilité à mon encontre devant le Conseil d’État pour mes fonctions de président de Métropole" pleure le malheureux Christophe Ferrari, victime consentante.
Y.MONGABURU (Verts/Ades) VA S'ANNULER LUI-MÊME
Ces recours impliquent également l'annulation des Vice-Présidents élus la semaine dernière parmi lesquels des (mal) élus Verts/Ades tel Yann Mongaburu, le vice président au "défi climatique" (!).
L'ATTAQUE A ÉTÉ DÉCIDÉE PAR LE POLITBURO LOCAL
Le fait que Pierre Mériaux, l'un des élus très proche d'Eric Piolle, nouvel Adjoint au personnel (Verts/FI) de la ville en ait été l'auteur initial avec Vincent Comparat, conforte l'idée que l'attaque a bien été décidée par le Politburo local qui dirige la ville d'une main de fer.
UN CLAN VEUT DÉCIDER HORS DES RADARS de CONTRÔLE
Rappelons que Raymond Avrillier avait avoué qu'il existait une instance municipale décisionnaire hors de tout contrôle à laquelle il participait. Parmi les motifs de son refus de s'effacer face à Yann Mongaburu, Christophe Ferrari a évoqué son rejet de cette "instance" de commandement totalement hors des normes de la démocratie.
Sur consigne d'Eric Piolle, son noyau dur autour de Raymond Avrillier (Verts/Ades) est passé à l'action de disqualification de Christophe Ferrari depuis sa réélection
E.PIOLLE A CHERCHE LA DROITE POUR ABATTRE FERRARI
Mais Christophe Ferrari, trop pleutre, n'avait pas tiré non plus la conséquence de la tentative des amis de Piolle de faire voter la droite contre ses Vice-Présidents afin de le contraindre à la démission. Elle prouvait pourtant que les Rouge/Verts grenoblois ne s'encombrent d'aucun scrupule. Tous ceux qui ont enquêté savent que cette tentative a été décidée dans le secret par ... deux personnes, aucun autre élu n'étant informé.
RETIRER TOUTE AUTORITÉ a C.FERRARI, PRÉSIDENT EN SUSPENS...
Ils veulent affaiblir Christophe Ferrari, lui retirer toute autorité, en faire un président en suspens et ses décisions aussi. L'annulation des Conseillers délégués nommés le 17 juillet va déjà entrainer l'annulation de toutes leurs décisions prises cet été. L'administration va devoir les reprendre une à une.
... AVANT D'ÊTRE TRANSFORMÉ EN TORCHE
L'épée de Damoclès qui pèse maintenant sur le Président le transforme en rocher cloué au sol, avant qu'il ne devienne une torche en cas de succès judiciaire. Or Raymond Avrillier et Vincent Comparat sont les spécialistes des coups tordus et de l'instrumentalisation de la justice à des fins personnelles. Ils ont toujours tenté de disqualifier ainsi leurs adversaires plutôt que de se battre sur le terrain politique à découvert.
LA DURE EXPÉRIENCE DES COUPS TORDUS
La volaille socialiste, qui a vocation a être plumée, était consentante quand ces méthodes nauséabondes frappaient la droite. Mais Jérôme Safar, puis Olivier Noblecourt et maintenant Christophe Ferrari et ses amis en font la dure expérience.
L.THOVISTE : "AVEC LA GUERRE DES CLANS TOUT EST BLOQUÉ"
D'ailleurs un ex-PS, Laurent Thoviste qui les connait bien ne dit pas autre chose en parlant de "guerre des clans", raillant "le soi-disant arc humaniste" d'Eric Piolle, reconnaissant "que tout est bloqué".
E.PIOLLE VEUT FICELER C.FERRARI....
Vendredi dernier, dés la deuxième délibération qui concernait la simple composition du bureau, "l'arc humaniste" (!) avait déjà bloqué, obtenait le renvoi, afin que la décision soit d'abord prise par un groupe restreint. A voir ce rythme d'escargot tous les observateurs ont immédiatement compris que Christophe Ferrari est ficelé. Plus encore qu'en 2014 quand il avait été choisi par Eric Piolle pour sa faiblesse et son isolement politique.
... A CAUSE DE SON CRIME DE LÉSE-MAJESTÉ
Aujourd'hui il se contente d'évoquer "la confiance une nouvelle fois mise à mal" ce qui ne risque pas d'effrayer Eric Piolle et Yann Mongaburu qui veulent l'abattre, ne lui ayant aucunement pardonné ce crime de lèse-majesté d'avoir été élu contre eux.
Alain Carignon a posé le problème à la Métro vendredi dernier
ASSOIR UN POUVOIR SANS PARTAGE AVEC LEURS AFFIDÉS
Dans leur histoire de ces trente dernières années les élus Rouge/Verts grenoblois ont démontré qu'ils n'étaient pas en action pour servir le territoire, apporter leur contribution et leur pierre à un édifice -ou sont leurs réalisations ?- mais bien là pour plaquer des dogmes sur une réalité et assoir un pouvoir sans partage, avec leurs seuls affidés.
NUIRE à LA MÉTROPOLE : AUCUN PROBLÉME de CONSCIENCE
"La crise de la Métro" qu'a bien voulu reconnaitre publiquement Christophe Ferrari n'est que le symptôme de cette vendetta politique. Nuire à la Métropole ne pose à leur cynisme aucun problème de conscience, pourvu que la finalité de leur insupportable clanisme soit satisfaite.
Mr Piolle n’a jamais endossé le costume de « maire de tous les grenoblois » :
il était et il reste un militant contestataire.