« VIVRE à GRENOBLE » : « Tous les moyens sont bons pour nous abattre »
Le " Dauphiné " fait état de la terrible "lettre ouverte" de Vivre à Grenoble à E.Piolle
Ce ne sont pas de dangereux " Carignonistes" qui l'affirment. Mais les responsables de l'association " Vivre à Grenoble" qui ont joué un rôle de premier plan dans l'élection de la municipalité Piolle en 2014.
Créée en 2011 avec le soutien officiel du clan Avrillier (Verts/Ades) afin de canarder Destot/Safar sur... la densification et l'absence de démocratie locale dans les décisions d'urbanisme ! Le clan réclamait un "moratoire" sur les projets urbains ...
"VIVRE à GRENOBLE" a CONTRIBUÉ à CHASSER DESTOT
"Vivre à Grenoble" a lancé la pétition aux 10 000 signatures contre la bétonisation de l'Esplanade voulue par la municipalité Destot et porté par Philippe de Longevialle ( app PS) qui se re-pointe aujourd'hui pensant que c'est oublié.
Appuyés par des candidats de la liste Piolle, "Vivre à Grenoble" avait fortement contribué a créer un climat favorable aux Verts par le refus de la bétonisation dont E.Piolle se faisait le porte parole, s'engageant à revoir tous les projets urbains de Destot. Le tour était joué.
PIOLLE A TRAHI SON ENGAGEMENT de REVOIR les PROJETS URBAINS
On sait ce qu'il advint. Avec la subtilité d'un bulldozer Eric Piolle a poursuivi et aggravé tous ces projets: Presqu'ile, ilot Raymond, Flaubert et même à l'esplanade , rapporté à l'espace construit, il densifie plus encore que Destot!
IL A JETÉ AUX ORTIES SON ENGAGEMENT N°1
Le tout avec un mépris de toute concertation sérieuse, jetant aux orties l'engagement N° 1, celui de la co-construction qui aura été une escroquerie morale. Rappelons qu'il s'agissait de " donner du pouvoir d'agir avant la décision en lieu et place d'un petit pouvoir d'amendement de projets déjà ficelés"...
C'est toujours un délice de relire l'engagement N° 1 de Piolle
LA MUNICIPALITÉ VEUT TUER CEUX QUI S'OPPOSENT à ELLE
Avec Piolle même "le petit pouvoir d'amendement" a été supprimé . Mais pire encore. " Vivre à Grenoble " confirme que la municipalité veut tuer tout ce qui s'oppose à elle.
Dans une "lettre ouverte " dont le " Dauphiné ( 30/4/19 ) publie des extraits l'association rappelle que "peu après avoir été élue, la majorité a bien changé de cap en continuant les projets (immobiliers) de (Michel) Destot".
" ILS UTILISENT TOUS LES MOYENS POUR NOUS ASPHYXIER"
L'association qui s'y est opposé restant fidèle -elle- à ses engagements s'est trouvée en butte à une véritable vendetta municipale. Elle est en colère "pour des raisons politiques et éthiques" mais aussi parce que « Là, ils utilisent tous les moyens pour nous asphyxier » affirme Bruno de Lescure.
le " Dauphiné "
" TOUS LES MOYENS SONT BONS POUR NOUS ABATTRE"
« C’est une violence institutionnelle à l’adresse de ceux qui ne partagent pas leur vision d’urbanisme de la ville, renchérit Me Eric le Gulludec. La co- construction n’est pourtant pas qu’un mot… Avec cette majorité, les opposants deviennent des ennemis, tous les moyens sont bons pour les abattre. »
Les responsables de " Vivre à Grenoble" citent notamment, un différend financier de… 167,67 €.
UN HUISSIER et une SAISIE POUR 167, 67 Euros...
« Nous avons perdu un procès face à la Ville (requête contre le permis de construire A Raymond) et avions une dette de 667,67 €. »
Après versement d’un acompte de 500 €, « nous avons proposé par trois fois un échelonnement pour le remboursement car l’association n’a pas cet argent. Pour toute réponse, on a eu droit à un huissier et à la saisie sur compte de la somme restante. Ces méthodes, même les prédécesseurs de l’actuelle majorité ne les avaient jamais mises en œuvre. Ils n’appliquent eux- mêmes pas le droit dans l’annulation d’un permis de construire (rue Raspail) mais l’utilisent pour nous contraindre et nous asphyxier ».
Maryvonne Boileau ( Verts/Ades) ) avec son compagnon Vincent Comparat Président de l'ADES et R.Avrillier: ils ont soutenu " Vivre à Grenoble" pour abattre Destot, puis trahi leurs engagements le lendemain de leur élection
M.BOILEAU ( Verts/Ades): ASSIGNATION CONTRE LES GRENOBLOIS
Cet épisode s'ajoute à l'assignation lançée par Maryvonne Boileau la Présidente ( Verts/Ades) de Grenoble-Habitat contre les Grenoblois qui avaient déposé des recours contre le projet de bétonisation de Galtier (150 logements prévus au 85 cours de la Libération). Une assignation de... 2,3 millions d’euros pour recours abusif.
" ILS VEULENT FAIRE PEUR POUR DISSUADER D'AGIR "
« Nous exigeons que Grenoble Habitat, lève cette procédure bâillon », disent Michel Doucet, Jean-Marc Cartel, Bruno de Lescure et Louis Cipri.
« On est déconcertés, reprend ce dernier. Les hommes politiques changent, les pratiques politiques perdurent. En réclamant 2,3 millions d’euros, ils veulent faire peur aux requérants pour les dissuader d’agir. »
PLAINTE de la MUNICIPALITÉ CONTRE LE QUARTIER BERRIAT
La liste des attaques de la municipalité contre tout ce qui la conteste est impressionnante. Elle a tenté de remplacer la réalité par du virtuel façonné à sa main. Même l'Union de Quartier Berriat avait été assignée devant le tribunal par la municipalité pour diffamation : les lanceurs d'alerte devenaient gênants. Devant le tollé et le procès à risque Eric Piolle avait finalement retiré sa plainte.
Vincent Fristot l'Adjoint (Verts/Ades) à l'urbanisme ici avec Raymond Avrillier: sa politique de densification intensive dans la totale continuité de Destot est conduite dans l'opacité compléte, sans intervention citoyenne possible
M.BOILEAU FAIT CONVOQUER L'ALLIANCE CITOYENNE par la POLICE
Mais d'autres, plus faibles, n'ont pas eu cette chance: Maryvonne Boileau a fait convoquer " l'Alliance Citoyenne" par la police car ses actions la gênait aussi. L'association ne s'y était pas trompé non plus " cette plainte c'est une façon de nous intimider" avait elle déclaré.
DES COMMERCANTS VOLONTAIREMENT ASSASSINÉS
A côté de ces attaques directes et brutales , les Rouge/verts usent de toute une palette d'actions et de menaces . Les commerçants de la vieille ville qui ont signé la pétition pour protester se voient pénalisés par des travaux qui s'éternisent devant leur magasin cumulant comme par hasard tous les inconvénients de chantier .
DES MENACES VOILÉES à D'AUTRES
D'autres, au moment de la négociation de leur terrasse, s'entendent dire qu'on ne les a pas vus sur une photo de réunion de commerçants avec Carignon. Le sous entendu est clair: c'est un bon point pour eux. Dans le cas d'un engagement ça pourrait se passer autrement.
Dans la vieille ville les commerçants qui ont pétitionné contre la politique du Maire sont assassinés par des travaux devant leurs portes
A.BACK ( Verts/PG) S'IMPOSE CONTRE LES HABITANTS
Même le pouvoir de récuser un élu est refusé. L'Union de Quartier du centre ville, excédée par la suffisance et le sectarisme d'Antoine Back (Verts/PG)avait demandé à ne plus le voir. Lors de sa dernière Assemblée générale Eric Piolle a imposé cet élu qui a provoqué à nouveau: « On ne récuse pas un élu. Je suis élu de secteur, je fais le travail pour lequel je suis mandaté »( Place Gre'Net) .
UNE CULTURE à L'OPPOSÉ de L'ADN de GRENOBLE
Les habitants n'ont droit à rien. Mais la guerre conduite par la municipalité contre toute personne en désaccord avec elle aura révélé le vrai visage et la vraie culture des Rouge/Verts Grenoblois. Ils sont d'essence totalitaire.
UNE VILLE HABITUÉE AUX DÉBATS et à LA CONFRONTATION
Ils sont à l'opposé de l'ADN de la ville habituée aux confrontations d'idées , aux débats , aux oppositions : de Mendes-France /Pompidou à Dubedout/Carignon la grande histoire politique de Grenoble est jalonnée de ces affrontements de projets qui ont passionné et engagé tant de citoyens.
RÉFÉRENDUM TRAMWAY : LE BON EXEMPLE de DÉMOCRATIE
Plutôt que de vouloir abattre ou étouffer ceux qui ne sont pas d'accord avec elle, la municipalité Piolle aurait du renouer avec la sortie par le haut, dans la transparence et par la votation citoyenne: le référendum sur le Tramway promis et réalisé par la municipalité Carignon est le bon exemple de démocratie locale participative réussie.
Le contre-exemple de la consultation citoyenne exemplaire de la municipalité Carignon démontre qu'une autre culture que la violence institutionnelle est possible pour trancher les débats
E.PIOLLE VEUT IMPOSER PAR LA FORCE
Le mépris des adversaires d'un projet, considérés immédiatement comme des ennemis, est la marque d'une citadelle assiégée, qui triche sur ses convictions affichées , pour avoir besoin de les imposer par la force.
IL A DONNÉ A TOUS LA PREUVE de SA MAUVAISE FOI
En ayant donné à tout l'arc en ciel de la politique grenobloise la preuve de sa mauvaise foi et de son cynisme , de sa suffisance et de son repli sur soi, Eric Piolle ne peut pas faire l'étonné du profond rejet qu'il suscite.
LES GRENOBLOIS CHOISISSENT LA VÉRITÉ ET L'AUTHENTICITÉ
Pour l'avenir les Grenoblois préfèrent la vérité et l'authenticité, d'accord sur tout ou pas avec lui, les défauts et les qualités d'un parcours tel celui d'Alain Carignon mis au service d'un projet dans lequel chaque Grenoblois pourra exister, à cette folie exterminatrice de la différence par tous les moyens publics à sa portée.
S'il était conséquent, avec une telle accumulation d'accusations de la part de ceux qui ont cru en lui, Eric Piolle ne se représenterait pas.