Vincent Fristot (ici aux côtés de Raymond Avrillier), vieille lune Verts/ADES élu depuis 30 ans, dévoué au système, avait déjà été désigné représentant de la ville partie civile dans le dossier de la fête des tuiles qui avait valu condamnation à Piolle. Il avait brillé par son inutilité et son peu d’entrain à défendre les intérêts des grenoblois.
Après le patron-voyou, voilà le syndicat maison. Eric Piolle Président (Verts/PG) de ACTIS, l'Ophlm de la ville est en train de transformer l'organisme en camp retranché du Piollisme.
A la veille des élections internes aux HLM le site d'information Place Gre'Net révèle les étranges pratiques du patron. « J’ai dit à Éric Piolle : “Vous êtes en train de faire un jugement parce que nous avons dénoncé des choses réelles !” », s’indigne le salarié. Parmi ces choses ? Une interpellation et une pleine page dans la presse quotidienne locale, sur un immeuble du quartier Mistral de Grenoble infesté de cafards. L’initiative n’aurait pas plu du tout au bailleur social « raconte Salah El Afia la juriste de Indecosa, l'association de locataires de la CGT.
LA DIRECTION D'ACTIS INFORME SON SYNDICAT PRÉFÉRÉ
Le site d'information poursuivant : "Car pour lndecosa, aucun doute : la CSF et Actis s’entendent très bien… sinon trop bien. « Nous avons des courriers adressés à la direction générale d’Actis qui se sont retrouvés entre les mains de la CSF », affirme Jean-François Gutierrez. Aux yeux du président d’Indecosa, la CSF, tout comme la CNL ou la CLCV, ont ainsi développé une “bienveillance” à l’égard des bailleurs sociaux au détriment des locataires qu’elles sont censées représenter. Et l’arrivée d’associations plus engagées viendrait déranger cet équilibre."POUR E.PIOLLE 70 % DES LOCATAIRES SONT SATISFAITS
Il semble que cette "bienveillance" agrée le Grand Timonier qui n'est pas fana de la contestation de sa politique ! On le sait il a publié un "sondage" selon lequel 70 % des locataires sont satisfaits de Sa politique. Il a choisi un pourcentage modéré par rapport à ce qu'Il pense. Il ne faudrait pas que des associations syndicales disent le contraire.
Partout ou ça va mal c'est à dire en de nombreux endroits,lui et Christine Garnier (Verts/Ades) disparaissent du paysage et ce sont des cadres d'Actis qui doivent défendre l'indéfendable et même s'en prendre aux locataires qui n'y comprennent rien selon eux. C'est le dénommé Pierre Payrard, « directeur du développement du patrimoine « qui est en première ligne.
LE PATRON VOUDRAIT SUBVENTIONNER LES SYNDICATS SUR DES ACTIONS QU'IL DÉCIDE
Dans la bataille électorale de la représentation des locataires la Confédération syndicale des familles accuse la CGT et FO de percevoir indûment des sommes des organismes HLM. Dans un communiqué LA CSF dénonce sans ambages la présence de la CGT et de FO parmi les représentants de locataires et les accuse de profiter des sommes octroyées sans mener de véritable travail auprès des résidents des HLM.
Tandis que le président d’Indecosa Jean-François Gutierrez montre un rapport d’activité de 173 pages, dressant le détail des actions menées par son organisation sur l’année 2017. Seulement « Actis a réclamé que l’on fasse certaines choses pour toucher d’autres subventions, 10 000 euros en fonction des projets. Nous, ça nous pose un problème : ce n’est pas aux bailleurs de décider ce que nous allons faire ! », assène t il à Place Gre'Net.
» Piolle tout dégringole » : il n’a jamais rien voulu entendre décrêtant que 70 % des locataires sont satisfaits !
UNE ORGANISATION CHASSE GARDÉE
On reconnait là la méthode des Rouge/Verts au pouvoir local. Ils voudraient être à la fois le pouvoir et le contre pouvoir de façon à bâillonner toute expression contestataire. Pourquoi existerait elle d'ailleurs puisqu'ils sont le Bien et le Bon ?
De son côté Serge Crosio de l'Afoc ( FO ) explique que c'est une affaire gros sous : « Il y a 85 000 logements sociaux, soit 85 000 euros : plus on le partage, moins ils ont de subventions, et plus ils ont (la CSF NDLR) de difficultés à payer leur personnel », calcule-t-il. Et celui-ci d’insister sur le fait que l’Afoc ne compte que des bénévoles, précisément pour échapper à cette logique.
Visiblement l'organisation ressemblait à une chasse gardée ou le patron informait un syndicat des activités des autres afin de sauvegarder sa tranquillité.
TOUTE LA PANOPLIE DU MAUVAIS DIRIGEANT
On avait connu les licenciements abusifs, les emplois précaires développés par Pierre Mériaux un élu (verts/PG) Inspecteur du travail (!), le refus de réintégrer un salarié malgré un jugement, le patron-voyou qui déménage le matériel pendant les vacances , mais pas encore le syndicat du patron !.
Décidément Eric Piolle aura bien couvert toutes les cases de la panoplie du mauvais dirigeant.
Source : article "Rendez l'argent" : la Confédération syndicale des familles accuse la CGT et FO de percevoir indument des sommes des bailleurs sociaux de l'Isère | Place Gre'net - Place Gre'net