LE CAMP des FAUSSAIRES

Hilares pendant la campagne électorale, sourires trompeurs, ils semblaient neufs et cachaient bien la marchandise.

Cette image est représentative de la com' mensongère qui a prévalu en 2014 et qu'Eric Piolle voudrait réitérer -sur fonds publics- en 2019.

Eric Piolle avait falsifié son CV cachant qu'il avait été candidat aux élections législatives sous l'étiquette d'un autre faussaire, Pierre Larrouturou l'encombrant ami qui a fait disparaitre 300 000 € et se prend pour un nouvel oracle. Le "gendre idéal" avait aussi caché qu'il était actionnaire d'une société à Singapour mais grassement subventionnée à Grenoble .

C.BERNARD (Verts/Ades) ACHEVÉE par E.PIOLLE

A ses côtés la malheureuse Corinne Bernard, (Verts/Ades) alors déjà Conseillère Régionales -qu'elle cumulera avec son poste d'Adjointe au Maire- qui aura été calamity-culture. Appliquant sans nuances les ordres du cabinet elle a coupé les têtes, sabré les subventions, répété les discours parfois contradictoires. En fin de mandat elle est achevée par Eric Piolle qui annonce lui-même que le prochain mandat devra être "culturel". Elle ne démissionne pas (l'indemnité?) ne proteste même pas.

Pierre MERIAUX : EMPLOIS PRECAIRES et CHÔMAGE

A la gauche d'Eric Piolle, l'inspecteur du travail Pierre Mériaux (Verts/PG) qui aura gâché une belle carrière en un seul mandat ! Celui qui a donné toute sa vie des leçons aux chefs d'entreprises sur la précarité, l'hygiène, la sécurité, qui a même manifesté contre des licenciements aura, en seulement deux postes, réussi à créer des emplois précaires, se trouver en faute sur l'hygiéne et la sécurité et mettre des employés au chômage. En effet un salarié a démissionné de la Maison de la Montagne qu'il préside pour protester contre les contrats précaires qu'il subissait depuis des années, les repreneurs du restaurant du téléphérique que gère la Régie que Pierre Mériaux ont découvert qu'il n'était pas aux normes de sécurité et d'hygiène et ont refusé de signer la convention, mettant 8 salariés au chômage.

Maryvonne BOILEAU : CLIENTÉLISME HISTORIQUE

Enfin au fond, accoudée et riante du bon coup qu'elle va faire, Maryvonne Boileau (Verts/Ades) compagne de Vincent Comparat le Président de l'Ades, souvent désigné comme expert (indépendant?) de la municipalité (!), père de Laurence Comparat, Adjointe à la com' qui s'est elle-même tuée par ses excès. Maryvonne Boileau a siégé dans pratiquement toutes les municipalités Destot à des postes clefs, notamment la présidence de l'OPHLM de la ville. Elle est encore sous la municipalité Piolle Présidente de Grenoble-Habitat et responsable de la politique de la ville. C'est donc à elle qu'on doit une grande part du peuplement des HLM, de la vie si apaisée des quartiers. A maintes reprises sa gestion a été condamnée par les associations d'habitants. Elle développe un clientélisme sans vergogne ni pudeur dont le point d'orgue aura été la réfection des façades d'un immeuble de Malherbe par des fresques dont une la représente...

On ne sait pas qui est le jeune homme de la photo et ce qu'il est devenu !

"LES INFORMÉS" : LES COULISSES DE LA VIE GRENOBLOISE !

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