38 RUE D’ALEMBERT : LES PRIVILÈGES HONTEUX DE L’EXTRÊME GAUCHE
Au 38 rue d'Alembert, muni d'un bail de... 40 ans, avec un loyer de 300 € par mois pour 900 M2, des locaux que la ville avait acquis 340 000 €, cet "espace de ressources pour les luttes anti-capitalistiques et anti-autoritaires" comme il se définit lui-même peut prospérer aux frais du contribuable. Et mener "ses luttes"...
Mais la municipalité multiplie les protections et les privilèges. Un bébé Avrillier, Olivier Bertrand, mystérieux élu (Verts/Ades) à tout, passe-muraille, mais au coeur de tous les mauvais coups depuis 25 ans, en est le garde-corps rapproché.
LE 38 D'ALEMBERT VEUT ÉCHAPPER À TOUTES LES OBLIGATIONS
Ainsi la municipalité cherche à classer cet Etablissement Recevant du Public (ERP) en catégorie 5 afin de lui permettre d'échapper à toutes les obligations. Cette catégorie n'a pas d'obligation de faire appel à un bureau de contrôle pour réceptionner les travaux, d'obligation d'obtenir une autorisation d'ouverture et pas de visite périodique de la commission de sécurité !
IL DEVRAIT RECEVOIR 50 PERSONNES MAXIMUM !
Par exemple, une salle de spectacle est classée en catégorie 5 si elle peut accueillir au maximum 50 personnes. Evidemment avec 900 M2, le "38" dépasse largement ces chiffres. Quel huissier osera s'aventurer pour le constater ? Mandaté par qui ? Puisque la municipalité s'y refuse et le Préfet, jusque-là, a refusé tout contrôle.
NON-RESPECT DE TOUTES LES RÈGLES ACOUSTIQUES
Des dizaines de manifestations s'y déroulent, notamment des soirées musiques, orchestres, fanfares "des Luttes" (évidemment), ajoutant le non-respect de toutes les règles acoustiques dont le voisinage est victime.
Ce tour de passe-passe administratif ne devrait pas tenir le coup face aux signalements, procédures de tous ordre engagées afin de mettre fin à ces faveurs hors normes.
LA CADA SAISIE 40 FOIS
Afin de défendre ses amis la municipalité use et abuse de tous les moyens. Refus de répondre aux demandes d'information qui contraint les riverains à saisir la Commission d'Accès au Documents Administratifs (CADA) : plus de 40 fois dans le cas du "38" !
Sur le bruit, la municipalité a toujours récusé le problème. Emmanuel Carroz, adjoint ( Verts/LFI) répondait en ... 2018 : « c’est un lieu qui correspond à ce qui existe dans de grandes villes européennes qui expérimentent et innovent. La Ville soutient ce qui est expérimental en matière de lien social ». Pensez-donc : « dans ce centre, des dames viennent discuter l’après-midi, boire le thé, il y a des cours de langue pour non francophones » (!)
10 ANS APRÈS, UNE ÉVENTUELLE MISE EN DEMEURE D'ÉTUDE D'IMPACT
Mais la 5ème catégorie des ERP ne dispense pas de la conformité sur les nuisances sonores. Le 16 février dernier, enfin, un technicien santé de la ville répondait aux protestataires que "l'association occupant les locaux va faire l'objet d'un courrier de mise en demeure leur demandant de faire réaliser une étude d'impact des nuisances sonores pour les activités de diffusions de sons amplifiés et prendre toutes les précautions nécessaires pour limiter les nuisances sonores causées par les travaux et lors des autres activités (chorales...) qui y sont pratiquées."
QUEL ÉTABLISSEMENT DE LA VILLE POURRAIT ÊTRE HORS-LA-LOI 10 ANS ?
Une association installée depuis... 2014 , produisant donc ces nuisances depuis 10 ans dans la totale indifférence municipale. Quel établissement de la ville pourrait se permettre cela ? Personne ne peut savoir si l'association répondra, car elle se sait très protégée. Elle poursuit ses travaux en toute opacité.
LE SECTEUR ST-BRUNO PAUPÉRISÉ AUSSI PAR LE "38"
Cette impunité se mesure aussi par la violence des actes : menaces des voisins, de femmes seules afin de les faire vivre dans la peur, d'autant plus crédibles que les participants eux-mêmes justifient toutes les sauvageries au nom des "antifas", du "soulèvement de la terre" et autres squats. Casser du flic, souiller l'espace public figure parmi les moyens mis en oeuvre. Le "38 d'Alembert" a complètement paupérisé le secteur de St-Bruno. Pas un mur sans tag, sans affiche revendicative, appel au combat : la privatisation est complète et sans appel. Toute autre expression, qui ne se situerait pas pleinement dans la même culture politique n'a pas le droit d'existence. Elle relève de l'extrême-droite, voire de la nazification des esprits.
BRIGITTE BOER ET CLÉMENT CHAPPET ONT ATTAQUÉ LE BAIL AU TRIBUNAL ADMINISTRATIF
Cette prétention totalitaire qui s'affiche sans fard trouve des résistances individuelles dans le quartier, mais également du groupe d'opposition d'Alain Carignon au Conseil Municipal. Brigitte Boer, co-Présidente du groupe et Clément Chappet, ex candidat aux élections législatives ont attaqué le bail au Tribunal Administratif.
UN INFANTILISME ANARCHO-GAUCHISTE
Ce militantisme extrémiste, à la faiblesse intellectuelle crasse, qui reproduit l'infantilisme anarcho-gauchiste dont le crédo aboutit à rétablir la jungle et la loi du plus fort, a évidemment le droit à l'expression. Ces soubresauts adolescents, marginaux, sont habituels à une société française globalement très privilégiée qui fait la révolution en vélorution...
Mais ils ne peuvent établir un monopole, ni imposer leur logorrhée verbale et leurs intimidations avec l'argent public en s'affranchissant, eux, de tout ce que la municipalité impose à tous.
NÉGATION DE TOUT PLURALISME
Cet "espace de lutte" est donc bien représentatif de l'esprit de nos Rouge/Verts grenoblois qui imposent leur idéologie au mépris de tout pluralisme et avec l'argent du contribuable. Représentatif de la société qu'ils voudraient imposer. Rue d'Alembert, sur les malheureux grenoblois qui paient leurs impôts et respectent les règles, les effets désastreux sont évidents.
UNE AVANT-GARDE QUI S'AFFRANCHIT DE TOUT
L'association est opaque : les noms des participants sont camouflés afin de n'être responsables devant personne et mener toutes "les actions" sans être repéré. Ils refusent toute transparence même à l'égard de la presse comme la journaliste Isabelle Calendre l'avait relevé (DL de mars 2022).
INTERDIT DE PHOTOGRAPHIER L'INTÉRIEUR DU 38 D'ALEMBERT !
Jean-Benoit Vigny (DL du 12/11/18) avait rapporté que les membres du 38 "ont refusé d’apparaître. Il nous a été interdit également de photographier l’intérieur du centre, que nous avons pu visiter en partie seulement." Pire qu'une centrale nucléaire. Il est des zones de défense interdites ! Imaginons des locaux d'un groupuscule d'extrême-droite fermé à la presse ? Dans quel état serait Grenoble ?
UNE NOUVELLE ARISTOCRATIE PRÉTENDUMENT POPULAIRE
Il s'agit là d'une nouvelle aristocratie, prétendument "populaire". Forte de sa bonne conscience pour laquelle la fin justifie les moyens. Une "avant garde" en quelque sorte, qui s'affranchit de tout avec une certaine bienveillance des observateurs et la protection municipale, afin de faire le bonheur du peuple, même malgré lui. Le refrain est connu. Il a été beaucoup joué. Ses résultats avérés dans l'histoire ne font pas de doute. C'est pourquoi il est un devoir d'en décrire le fonctionnement et les méthodes.
Peut-être que le 102 abrite un élevage de surmulots pour alimenter le laboratoire social de la ville qui se tiers-mondise de jour en jour ?
Si cela vous dis nous pourrions aller faire un petit tour au 38 d Alembert et leur botter le Q .
si mes impôts servent à cette bande de clowns je vais aller prendre possession des lieux croyez moi sur parole,
Tant que l’esprit de sérieux des Brigades Rouges se conjuguera avec l’humour Teuton de Baader Meinhof, tous les Yassine Belattar du pays continueront à pondre des sketchs militants désopilants.
Et l’armée de soudards de la rue d’Alembert, redskins férocement humanistes, mènera ses Actions Discrètes avec le « courage » du Corbeau, à la fierté sournoise…
Imaginez un peu un élu FN qui ferait la même chose en accordant de tels passe droits sur le dos du contribuable, imaginez la réaction de toute cette immondice socialo/communiste, ils vomiraient leur fiel matin, midi et soir, aidés en cela par la presse libre et soi disant indépendante.
Le cas du « 38 rue d’Alembert » ne relève-t-il pas d’un délit de favoritisme ?
Zapata ? La guerre civile ? Et le préfet ne dit rien?
Depuis les festivités emeutières de juin, pas impossible que les préfets aient bien appliqué la consigne :
« Il est urgent d’attendre… »
À Grenoble, comme ailleurs en France, le « Courage, temporisons… » guide l’inaction publique, évite d’envisager la fuite.
Moi aussi je m’interroge sur le silence du préfet. Le Conseil d’État était intervenu dans l’affaire du burkini, avec le 38 on est encore plus dans l’illégalité !