38 RUE D’ALEMBERT : LA GAUCHE EXTRÊME VEUT VIVRE SUR L’IMPÔT des GRENOBLOIS

 

«  Le 38 est un espace de ressources pour les luttes anti-capitalistes, anti-autoritaires « Sa dimension sociale «  ne vise pas à seulement à servir de béquille à un monde brutal et sans pitié, mais  aussi et surtout à s’attaquer aux causes de cette violence sociale « . Dans un « appel « au soutien largement diffusé, le squat municipal du 38 rue d’Alembert rappelle quelques-unes de « ses fonctions ».  

ABRITÉ GRATUITEMENT DEPUIS 7 ANS DANS DES LOCAUX MUNICIPAUX

Abrité gratuitement depuis 7 ans dans des locaux municipaux, ne payant ni fluides, ni location, refusant même de signer une convention d’occupation gratuite qui les contraindraient à respecter des normes sanitaires , d’hygiène et de sécurité, ses occupants , forts de ce non respect de tout, s’expriment  évidemment  du haut d’une sorte de surplomb moral afin de faire la leçon au monde. On reconnaît-là la sémantique de la gauche extrême dans toute sa splendeur.

UNE FEMME SEULE VICTIME de la VIOLENCE DU SQUAT 

On imagine que nombre de signataires, y compris des commerçants, ont préféré se mettre à l’abri plutôt que de risquer les menaces. Une voisine du squat qui subit toutes les nuisances sait ce qu’il en est de la violence, de l’intolérance de ces groupes. Son nom est affiché sur les murs, celui de son chien, on appelle en citant son prénom à la tuer comme «  les flics ».  Elle a osé user de l’Etat de droit, qui demeure muet,  en déposant simplement plainte.

 

LE QUARTIER CHORIE-BERRIAT ENTIÈREMENT SOUILLÉ

Partout dans le quartier Chorier-Berriat les tags de résistance anti-capitalistes souillent les murs. Toute modeste copropriété qui rénove, tout rideau de commerçant, toute pharmacie, subissent le combat anti-capitaliste , considérés comme des sortes de collaborateurs du système d’oppression qui nous gouverne. La malheureuse classe moyenne populaire paie les pots cassés sur ses deniers en même temps que par ses impôts elle entretien le squat qui la ruine.

A CHAQUE ÉPOQUE SA DÉCONSTRUCTION RÉGRESSIVE 

Cette logorrhée adolescente se déverse en toute impunité, fait des dégâts partout et exerce sa violence contre une violence, elle,  invisible. Inspirée de la culture américaine, elle réitère la même déconstruction que 68 qui a donné naissance à l’individu-roi remplaçant le citoyen : « jouir sans entraves «  était déjà un objectif collectif de haut niveau à l’époque. La déconstruction de toute hiérarchie et valeur a donné le brillant résultat que l’on connaît qui profite comme chacun sait aux plus faibles, exclus désormais de toute méritocratie républicaine puisqu'on les a privés d'en connaitre ses règles. 

 

LES NERVIS ANTIFA, L'ULTRA GAUCHE VIOLENTE LOGÉS DANS LES SQUATS MUNICIPAUX

Les squats municipaux du 38 d’Alembert et du 106 rue des Alliés sont aussi  des réservoirs des nervis « antifa «, ultra violents eux-mêmes, qui désignent ceux qui sont fascistes et ceux qui ne le sont pas : toute pensée différente de la leur, qui récuse la lecture unique des rapports sociaux comme rapports de domination, qui n’estime pas que la France est un Etat raciste systémique, qui ne juge pas que l’exaltation de la diversité soit conforme à notre idéal Républicain, qui n’est pas enthousiaste (!) à l’idée de refuser le masculin et le féminin au nom de la fluidité du genre …. est d’essence fasciste.

 

ILS ONT BRÛLÉ LA MAIRIE, FRANCE BLEU, UNE ÉGLISE, UNE GENDARMERIE

C’est aussi de cette culture -à minima-  que sont venus les incendies de l’hôtel de ville ( coût de la remise en état , 1 million d’€ pour le contribuable), de France Bleu Isère, de la gendarmerie de Grenoble, de l'église St jacques qui a disparu du quartier  de la Capuche : la démocratie, l’information, la sécurité, la religion catholique  doivent être détruits. Ceux qui portent ces thèses sont logés par la municipalité et ce sont ceux qui les combattent qui sont fascistes. Pas belle la vie ?

LE 38 RUE D'ALEMBERT DÉGRADE TOUT UN QUARTIER 

D’un point de vue esthétique, urbanistique le squat du 38 rue d’Alembert est aussi une verrue. Ainsi il dégrade la qualité de vie et la valeur des biens sur tous les plans. Entendons-nous bien : notre collectif n’estime pas illégitime que des collectifs promeuvent une société alternative. Sous réserve qu’ils ne nient pas le droit des autres à défendre d’autres concepts. Mais surtout nous ne trouvons aucune justification démocratique au fait que cette mouvance puisse porter ses vues avec les moyens de l’argent public. Cela crée une inégalité intolérable entre citoyens.

LA MUNICIPALITÉ PIOLLE PROTÈGE LE SQUAT...

Si on en croit la « lettre ouverte pour le maintien du 38 rue d’Alembert » l’établissement public Foncier (EPFL), émanation de la Métropole, aurait déposé un permis de démolir à la mairie de Grenoble afin, on imagine, de conduire un projet public. La municipalité Piolle qui « gère » officiellement le 38 rue d’Alembert en ayant délégué tous ses pouvoirs à un collectif anonyme qui fait sa loi, s’y opposerait.

.. MALGRÉ LA PAUPÉRISATION QU'ELLE CONSTATE 

C’est en effet le Maire qui dispose du pouvoir en la circonstance, l’EPFL n’étant que l’outil technique du portage du biens afin de soulager les finances municipales bien mal en point. Cette étape démontre bien la responsabilité d’Eric Piolle qui tolére cette dégradation du quartier induite par la présence d’un tel repère d’agitateurs politiques. La valeur des biens est évidemment en baisse et personne n’a le désir d’habiter à proximité d’un tel lieu. La municipalité elle-même constate cette paupérisation puisqu’elle demande à la Métropole d’acquérir les commerces du cours Berriat qui ne trouvent plus de clients afin de créer des activités en lien avec son idéologie, toujours aux frais du contribuable.  Elle pourrait financer l’extension du 38 dans ces ex commerces comme une sorte d’extension du domaine de la lutte?

 

UNE GRANDE PARTIE DE L'OPINION EST LASSE de CES EXCÉS

Mais l’appel lancé par les squatters du 38, comme le silence des occupants du 106 rue des Alliés qui espèrent ainsi se faire oublier, le désastre qui est adevenu au «  Magasin » ou bien la résistance qui s’opère contre le sectarisme de Sciences-Po Grenoble transformé en camp de rééducation, démontrent qu’une large part de l’opinion est lasse de ces excès. Le «  38 «  et ce qui s’y cache pourrait avoir vécu les 7 meilleures années de sa vie au détriment de celles de tous ses voisins et de tout un quartier

 

 

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