SCIENCES-PO, LE MAGASIN… GRENOBLE SYMBOLE de L’ISLAMO-GAUCHISME ?
« Certains n’hésitent pas à la qualifier de symbole grenoblois de l’ « islamo-gauchisme » écrit Frédéric Martel (France Culture) à propos de la municipalité Grenobloise. L’embrasement de Sciences-Po Grenoble l’un des foyers du Piollisme organisé ou des élus règnent avec peu de présence effective (Pascal Clouaire, Nicolas Kada)… des « politologues » maison qui apportent une caution « scientifique » à Piolle sur le fait que l’insécurité n’est pas un problème (Sébastian Roché), est le dernier symbole connu de cette dérive.
SCIENCES PO GRENOBLE RELAIS DE COM' d'Eric PIOLLE
Rappelons que lors du premier mandat l’Institut s’est commis comme relais de com’ de la majorité Rouge/Verts dans un simulacre annuel de « débat » dans lequel Eric Piolle pouvait d’autant plus dire n’importe quoi qu’il était «confronté » à des étudiants n’ayant aucune connaissance réelle des dossiers municipaux, l’opposition étant soigneusement écartée. Terminée en eau de boudin, l’opération a été jugée inutile pour le second mandat durant lequel Eric Piolle a décidé de se passer aussi même des apparences du débat. Sciences-Po ne levant d'ailleurs pas le petit doigt, démontrant sa connivence.
UNE CHASSE ENGAGÉE POUR DELIT D'ISLAMOPHOBIE
Mais la chasse engagée contre les professeurs pour délit « d’islamophobie » fait franchir un degré supplémentaire dans la dérive sectaire. Leurs noms étaient affichés à l’entrée de l’établissement, désignés ainsi à la vindicte publique. L'un des deux professeurs visés enseigne la géopolitique et notamment un cours intitulé « l'islam et les musulmans en France». Il faisait l'objet depuis quelques temps d'interventions d'élèves cherchant à le faire réagir sur le sujet de l'islam en France. L'autre, professeur d'allemand, est accusé de remettre en cause le concept d’islamophobie. Le premier professeur a confié au Figaro être inquiet pour sa sécurité et celle de sa famille.
POSER UNE QUESTION DEVIENT UN CRIME
Ainsi la seule question posée par un enseignant en termes intellectuels, à savoir si le terme « d’islamophobie « peut être accolé au racisme ou à l’antisémitisme lui vaut d’être au banc de la société et en danger. Poser la question de savoir si » ce terme a un vrai sens ou s’il n’est pas simplement l’arme de propagande d’extrémistes plus intelligents que nous » (DL du 7/3/21) est un crime intolérable dans une ville qui a subventionné le collectif contre l’islamophobie, versant dans le brouillard l’argent des grenoblois à à Garges-Les-Gonnesses.
APRÈS LE BATACLAN IL EST "CONTRE L'ÉTAT D'URGENCE"
Avec Edwy Plenel, un autre idiot utile de ce nouveau fascisme qu’est l’islamisme politique Eric Piolle n’avait-il pas aussi -avec l’argent du contribuable- organisé un meeting au palais des sports « contre l’état d’urgence » après les attentats du Bataclan. Qui niera ce clin d’œil appuyé, ce signe selon lequel il veut baisser les bras face à cette idéologie qui met a bat toutes les valeurs émancipatrices de la République ?
POUR LE BURQUINI DANS LES PISCINES PUBLIQUES
Après le soutien au Burquini -« un maillot couvrant pour se protéger du soleil « dixit Eric Piolle - ce nouvel épisode place à nouveau Grenoble sous les feux de l’actualité négative. Ça tombe mal la veille d’un Conseil Municipal qui se penche sur les discriminations. Ces deux professeurs ne sont-ils pas discriminés pour délit d’opinion ?
SOUTIEN AU MAIRE DE TRAPPES QUI CONDAMNE UN ENSEIGNANT
Mais le même Eric Piolle n’a-t-il pas apporté un soutien appuyé à Ali Rabeh, le maire (Génération.s) de Trappes qui a été jusqu'à distribuer des tracts dans l'enceinte du lycée pour dénoncer les "propos violents" du professeur de philosophie Didier Lemaire, l’élu estimant que le prof "n'a jamais fait l'objet d'une menace sérieuse" (!)
"LE DÉNI EST PARTOUT"
Son "délit" ? "Dès qu'on pointe l'avancée de l'islamisme, on se retrouve accusé d'être d'extrême droite, de stigmatiser ou d'être islamophobe" répond cet enseignant qui explique "Cela fait 20 ans que j'enseigne à Trappes pour que mes élèves deviennent des Français comme les autres, J'aurais pu demander ma mutation dans n'importe quel lycée (…)Le déni ne touche pas seulement l'éducation nationale, il est partout, même au sein de la presse."
"DES CENTAINES DE Samuel PATY"
Il estime qu'il n'a pas le choix. "L'islamisme, compare-t-il, est une forme de nazisme. Les frères musulmans défendent un programme politique totalitaire. Ils pensent qu'un jour la planète entière sera en leur pouvoir, qu'ils auront éliminé toutes les autres religions et tous les musulmans qui ne sont pas assez purs. J'ai peur qu'on se retrouve dans quelques années dans une situation comme l'Algérie, avec non pas un Samuel Paty mais des centaines."
E.PIOLLE ESPÈRE UNE SIGNATURE à TRAPPES !
Il a dû quitter l’enseignement car même loin de Trappes, il demeure une cible. Eric Piolle préfère le Maire de Trappes dont il espère le parrainage pour sa mirobolante candidature à l’Elysée.
LE MAGASIN TRANSFORMÉ EN SECTE
En tout cas Didier Lemaire, cet « homme blanc » ne sera jamais défendu par lui ou « Le Magasin », l’ex Centre National d’Art Contemporain dont la directrice, Béatrice Josse a exclu tout document de l’histoire de l’art qui émanerait d’eux. Le Centre d’art a été transformé en secte ou Eric Piolle entrait en lévitation avec elle lors de séances de spiritisme collectives. Certes il n'y a pas "d'islamo" affiché dans leur gauchisme, mais on imagine leur réponse si on les sollicitaient.
"DES ATELIERS EN NON-MIXITÉ"
François Bordry administrateur du Magasin expliquant : « Ici, d'ailleurs, un visiteur n'est pas toujours admis : parfois, il faut d'abord être invité puisque certains ateliers, se tiennent "en non-mixité meuf-gouines-trans" ou en "mixité choisie : lesbiennes, bies, hétérosexuelles, trans"...
SUICIDE COMME LE TEMPLE SOLAIRE
Cet équipement culturel phare a sombré comme une sorte de Temple Solaire, par suicide collectif. Grenoble vit le gauchisme culturel au pouvoir cumulé à l’islamisme radical soutenu au nom du communautarisme, du droit à la différence.
M.MINKOWSKI EXCLU DU DROIT à la DIFFÉRENCE
Sauf que ce « droit à la différence « a pour pendant d’éliminer les autres différences : en supprimant sa subvention aux Musiciens du Louvre, Eric Piolle marquait son territoire : « Marc Minkowski est un brillant musicien et un bouc émissaire facile. Par son nom déjà, cet ensemble de musique baroque d’exception incarne tout ce que le petit commando Vert qui a pris la mairie de Grenoble déteste : « parisien », « hautain », « élitiste » explique Frédéric Martel (France Culture). Eliminé.
F.MARTEL (FRANCE CULTURE) STIGMATISÉ COMME DROITE EXTRÊME
On comprend mal (ou trop bien ?) les raisons pour lesquelles Sébastien Mittelberger en vient à transformer son journal en ligne « la quinzaine politique » en pompier de Piolle. Allant jusqu’à comparer de fait Frédéric Martel, journaliste de « France Culture » plutôt à gauche et proche des Verts, qui a enquêté sérieusement sur la réalité culturelle grâce à une immersion dans la ville, à un agent de l’extrême droite.
TAIRE LES FAITS SOUS LA CARICATURE DES PROPOS des OPPOSANTS
« La quinzaine politique » illustre le climat local. Ceux qui sont sous le robinet public doivent se taire -les directeurs d’équipements, les opérateurs culturels subventionnés sous peine de sanction financière- ou donner des gages. Sa caricature des propos d’Alain Carignon, qui a l’audace de demander pourquoi Eric Piolle décide seul sur des changements aussi importants que place Notre-Dame ou cours Berriat, son soutien inconditionnel du pouvoir local sont loin du "Canard" et de son expression satirique à l'égard des puissants. A Grenoble l'opposition est caricaturée, pas le pouvoir!
E.PIOLLE N'A CONSULTÉ PERSONNE : TOUT LE MONDE EST D'ACCORD
Car les Présidents d’Union de quartier et d’Union commerciale tiennent des propos encore plus durs que le responsable de l’opposition sur ce fait -qu’un journaliste ne devrait pas ignorer- à savoir qu’Eric Piolle n’a consulté personne. Qu’on soit d’accord ou non avec ses décisions.
LA MUNICIPALITÉ DE PLUS EN PLUS SEULE
Cette espèce de persécution organisée contre ceux qui ne pensent pas comme la minorité qui gouverne Grenoble prend des tours inquiétants. Plus la municipalité est seule, plus ses relais traditionnels -du DAL au Postillon- prennent leur distance avec ses méthodes et ses résultats, plus la société civile prend conscience de sa dimension idéologique écrasante et de ses conséquences, plus elle se raidit et frappe fort.
L'EXEMPLE de Samuel PATY N'A SERVI à RIEN
A Sciences Po Grenoble la direction a finalement "condamné" hier la chasse des étudiants, mais s’est bien gardée de porter plainte contre les délateurs, ceux qui interdisent de fait la libre expression, ceux qui menacent des enseignants. Toujours cette tolérance à l’égard de l’intolérance. Comme si l’exemple de Samuel Paty n’avait servi à rien.
L'UNI DEMANDE LA DISSOLUTION DES ASSOCIATIONS À L'ORIGINE DES ATTAQUES
L'association étudiante de droite "UNI" a finalement été seule à prendre véritablement la défense des professeurs attaqués, a demandé par l'intermédiaire d'un communiqué la dissolution des associations à l'origine des attaques. Loin des accommodements avec la liberté et la démocratie dans lesquels se roulent nos acteurs locaux, déjà "collaborateurs" de l'ordre nouveau.