TOILETTES PUBLIQUES : LA PÉNURIE AUSSI !
A… Douarnenez Eric Piolle discourait sur… la pêche alignant des bêtises à la pelle ce qui l’a fait qualifier par le Groupe d’Analyse Métropolitain (GAM) de « tanche des grandes profondeurs qui n’a pas la moindre connaissance du secteur des pêcheries. Qu’un tel niveau d’ignorance ne provoque par la honte de celui qui la possède nous laisse pantois ».
A GRENOBLE IL NE SAIT PAS RÉSOUDRE LES WC PUBLICS....
A… Grenoble un problème assez basique à tous égards est posé depuis des années et s’aggrave plutôt qu’il ne se solutionne. Celui des WC publics. En tout bien tout honneur, Isabelle Calendre s’est penché sérieusement sur la question dans le « Dauphiné ». Question que nous avons soulevée nous même à maintes occasions avec forts exemples.
COMMENT FAIRE PIPI : IL NE SAIT PAS FAIRE
Il en ressort que le Grand Timonier visionnaire qui donne des leçons au monde sur les solutions à apporter à tous les problèmes n’a pas encore pu résoudre le « comment faire pipi à Grenoble » comme le titre le DL ! C’est dire. D’autant que le peu de WC publics qui existent sont très mal entretenus. Le dogme anti-gestion privée a encore frappé.
"C'EST TROP SALE"
De son enquête Isabelle Calendre retient que « personne n’aime utiliser les toilettes publiques ! « C’est trop sale, il n’y a jamais de papier : c’est hors de question ! Je préfère me retenir jusqu’au retour à la maison ». Une réponse que l’on a entendue des dizaines de fois."
"ON N'A RIEN TROUVÉ"
« Christine et Marie-Noëlle, tranquillement installées au Jardin de ville, enfoncent le clou : « Ça nous est arrivé il y a peu, on a cherché partout, on n’a rien trouvé. On demandait aux gens mais personne ne savait.».
Emma et Maël, eux, connaissaient les WC des bulles : « On en vient ! Mais c’est tellement sale… on préfère largement aller au Mc Do, quitte à commander une boisson juste pour avoir le droit d’y aller ». Sauf que justement, au Mc Do en ce moment, les toilettes sont fermées, Covid oblige !
"C'EST UNE HONTE"
"Alors, que font les Grenoblois lâchés dans la ville, quand le besoin se fait pressant ? Ils essaient d’amadouer les commerçants ! « On nous pose la question une dizaine de fois par semaine, au moins », sourit Pauline, du magasin Kookaï. « Avant, on acceptait ponctuellement, notamment pour les femmes enceintes, mais avec la Covid ce n’est plus possible ». Même réponse dans plusieurs boutiques, qui ont toutes noté une recrudescence de cette question depuis que les bars et restaurants sont fermés. « C’est une honte ! » s’emporte la patronne du Café des Fleurs, place Grenette. « Les gens sont choqués de ne rien trouver, il n’y a que les WC rue Montorge, il faut en rajouter ! Les clients nous demandent sans cesse ».
A.BACK (VERTS/FI) NOUS LÈGUE SES CENDRIERS ET SES WC
Grenoble manque cruellement de toilettes publiques. En 2019 Antoine Back (Verts/FI) était simple conseiller municipal chargé des cendriers sur la voie publique (un fiasco) et des WC publics. Depuis il a été promu 12 ème Adjoint au Maire chargé « des risques, de la prospective et résilience territoriale, évaluation et nouveaux indicateurs, stratégie alimentaire… » (!) Probablement pour l’éloigner de tout ce qui peut s’apparenter à l’ombre même d’un dossier concret. En échange de ce vide, il bénéfice de l’indemnité d’Adjoint cumulée avec la Métro…
LA MUNICIPALITÉ N'A PAS RESPECTÉ SES ENGAGEMENTS
Isabelle Calendre rappelle qu’Antoine Back répondait en 2019 : « on a 24 sanisettes : la densité est assez élevée ». La journaliste a vérifié : « ce chiffre de 24 anticipait les installations à venir (…) Au total, la Ville promettait 14 toilettes automatiques « avant fin 2019 «. Un an plus tard, le compte n’y est pas : seuls 7 WC automatiques ont été installés »
MAIS ELLE EST PÉREMPTOIRE POUR LES SOLUTIONS LOINTAINES
Une « anticipation » en forme de carambouille, un grand classique des Rouge/Verts grenoblois incapables de résoudre un problème simple, de leur compétence. Ils n'auront même pas tenu leur engagement sur les WC publics ! Ils sont plus à l’aise avec les sujets compliqués qui se poseront loin dans l’avenir et pour lesquels ils sont péremptoires dans les solutions. Des Tartuffes.
110 000 € POUR UN SPÉCIMEN à ÉOLIENNE
Ajoutons pour compléter le tableau noir qu’ils communiquent successivement sur des toilettes sèches installées dans le parc Marliave (50 000€) et maintenant sur des toilettes avec … éolienne (pour ventiler les postérieurs Verts ?) d’un coût de 110 000 €. Evidemment ces opérations sont planquées derrière les « budgets participatifs » dont les participants se font plaisir en étant volontairement placés dans l’ignorance de la situation d’ensemble.
E.PIOLLE A T-IL RÉSOLU UN PROBLÈME EN 7 ANS ?
La municipalité flatte l’individualisme exacerbé qui s’exerce-là de la plus belle des façons puisqu’il bénéficie de la bonne conscience en prime. Y a t-il un véritable sujet concernant la vie concrète des Grenoblois qu’Eric Piolle ait résolu en 7 ans de mandat ? Sa fuite en avant vers un destin national (!) s’explique d’abord parce qu’il ne veut surtout pas rendre des comptes aux grenoblois.
Comment font les SDF ???
Même eux sont totalement méprisés par le fumeux « Arc Humaniste » !
Pourquoi ne pas lancer des appels d’offres de travail, payés normalement, pour (après une remise « à neuf » de tous les wc existant à Grenoble). pourraient également y travailler des personnes condamnées à un travail à le faire. Tout ceci avec un entretien REGULIER des toilettes, contrôlé par une des employés responsable. Quite à faire payer 0, 5O centimes aux utilisateurs