LE TRIUMPH ULTIMATE LEAGUE SUPPRIMÉ AUSSI
"Mépris de classe de la part de la municipalité de Grenoble" lance rageur un soutien de la manifestation. Sur la page Facebook de Triumph Ultimate League les réactions sont nombreuses, courroucées, partagées entre la colère et l'incompréhension.
"UNE FIN DE NON RECEVOIR"
Les responsables annoncent une "triste nouvelle" avec "un sentiment d’amertume l’annulation de l’événement Triumph Ultimate League suite à une fin de non recevoir prononcée par la ville de Grenoble".
"DES VALEURS DE PARTAGE ET DE DÉPASSEMENT DE SOI"
Précisant : "Le Triumph Ultimate League est une association ayant pour vocation la promotion des athlètes de la région. Nos valeurs sont celles du partage, du dépassement de soi, de la discipline et du respect mutuel. Nous avons organisé à plusieurs reprises ces événements dans la région lyonnaise et avons toujours bénéficié du soutien des élus locaux et des mairies.
"SANS POSSIBILITÉ DE RECOURS"
"Nous pensions partager cet événement, qui rassemble toutes les populations, sans distinction de classe, ni d'origine, ni de religion, dans une ville connue pour sa politique d’inclusion et de transformation sociale.
"C’est finalement à quelques jours de l’événement que nous recevons une fin de non recevoir et sans possibilité de recours.
"LE SPORT A ÉTÉ JUGÉ COMME VIOLENT"
"le sport a été jugé comme « violent ». Le public, en l'occurrence vous, êtes considérés comme « instable ».
"Très bien. Nous prenons note et veillerons la prochaine fois à organiser un ballet classique géant avec nos athlètes en première ligne de danse…
Des dizaines et des dizaines de réactions négatives
"UN TRAVAIL BALAYÉ D'UN REVERS de MAIN"
"Au-delà des préjudices financiers causés à notre structure c’est tout un travail, toute une préparation de la part des organisateurs, des bénévoles et des athlètes qui est balayé d'un revers de main.
"Nous nous excusons auprès de tous nos partenaires, participants et spectateurs et procéderons bien entendu au remboursement de toutes les pré-ventes déjà réglées.
"IL FAUDRA VOUS DÉPLACER à LYON"
"Amis grenoblois, si vous souhaitez voir vos sportifs au Triumph, il faudra désormais vous déplacer à Lyon. Sachez en revanche que vous serez toujours les bienvenus dans nos communes ! Vous serez même remerciés et respectés par nos élus locaux.
"CE BAD BUZZ GRENOBLOIS"
"N'hésitez pas à relayer l’information et communiquer autour de ce bad buzz grenoblois.
"Cher public, ce n'est que partie remise car nous ne baisserons jamais les bras !"
"E.PIOLLE DÉFINIT le BIEN et le MAL"
Une fois de plus un segment de citoyens diffuse un bad buzz Grenoblois qui fait tant de mal à la ville démontrant à nouveau qu'Eric Piolle est le premier et le seul auteur du "Grenoble-Bashing".
Une fois de plus l'intolérance et la frivolité légère dominent la politique municipale. Elle définit le Bien et le Mal. Seule. Elle rejette toute démarche qui n'entre pas dans ses canons de beauté. Se refuse même à l'accompagner, éventuellement pour faire partager d'éventuelles valeurs différentes.
Dédié aux Rouge/Verts grenoblois...
E.CARROZ (Verts/PG) EST ENCORE SILENCIEUX ?
On attend d'Emmanuel Carroz (Verts/PG) qu'il dénonce le Triumph, lui "qui ne peut pas se taire" (!).
Ce sectarisme exercé à tout propos, au plan culturel comme au plan sportif, aura été l'un des marqueurs essentiels de la municipalité Piolle (Verts/PG).
E.PIOLLE S'ISOLE A CHAQUE ÉTAPE
Eric Piolle se sera isolé un peu plus à chaque étape par l'expression du rejet dans les ténèbres de pans entiers de la population, étendu récemment à "l'homme blanc au volant de sa voiture" (!), ce qui fait beaucoup de monde.
"TOUT EST PASSÉ A LA KALACHNIKOV"
Du Tour de France aux 6 jours dans le sport en passant dans la culture par l'exclusion du Tricycle qui gérait les théâtres ou de RC2 qui gérait le Ciel et la Chaufferie, tout est passé à la Kalachnikov municipale. Dans ce dernier cas la municipalité a été condamnée en première instance à réintégrer tout le monde !
LA COHORTE DES AFFAIRES d'Eric PIOLLE
Les organisateurs du Triumph Ultimate League aurait du y penser aussi. Une telle discrimination peut mériter une saisine des tribunaux.
Elle rejoindrait la cohorte des affaires auxquelles Eric Piolle doit répondre devant les tribunaux avant que ce soit devant les grenoblois.