Tous ces arbresau bord de la piscine et de la rue Berthe de Boissieux ont été abattus
" Ils ont été abattus, notamment parce qu’ils ont souffert avec les travaux" répond Eric Piolle au DL (21/6/17) qui lui demande pourquoi une dizaines de grands sujets qui bordaient la piscine, étaient un véritable havre de verdure et un des agréments de la piscine Jean Bron ont disparu.
Pouvaient ils ne pas "souffrir" ou moins souffrir des travaux pour être conservés ? On ne le saura jamais à moins qu'un lanceur d'alerte en interne n'indique ce qu'il aurait fallu faire qui ne doit pas être sorcier pour une municipalité si préoccupée par la transition écologique .
Mais on se doute en constatant ce qui se passe dans la ville avec les arbres, que ce n'est pas sa préoccupation.
La nouvelle configuration Piollesque: cherchez l’ombre ( photo le DL)
Rappelons les 19 marronniers abattus place Victor Hugo, les 65 platanes cours de la Libération, sans compter l'acharnement qui se manifeste dans nombre de rues tandis que les emplacements pour les plantations d'arbres restent désespérément vides depuis des années.
Combien de m3 de CO2 perdus par la municipalité Piolle ? C'est encore un calcul que personne ne fera alors qu'il serait édifiant.
On se souvient du spectaculaire hécatombe de marronniers place Victor Hugo
Rappelons que selon Air Rhône-Alpes la pollution a augmenté de 15 % sur les boulevards depuis la fermeture de Grenoble. On ne sait pas de combien elle a augmenté du fait des arbres abattus et des arbres manquants ?