La transformation de la place Victor Hugo en solarium force les grenoblois à la déserter sous peine d'y cuire comme dans un four. La grosse chaleur l'été n'a pas été un problème digne de la hauteur de vue de E. Piolle et des Verts/Rouges. Tout occupés qu'ils sont à discourir sur leurs hautes visions pour 2050, bien loin du quotidien des grenoblois et des comptes à rendre sur leur "gestion" improvisée de la ville, le fait que Grenoble soit une cuvette brûlante l'été n'a pas retenu leur attention.
Peu importe puisqu'ils préparent un 2050 enchanteur, bien qu'il ne soit pas dit que les micocouliers de Chine (rappelons pour rire la promesse de planter des espèces locales ...) offriront à la place Victor Hugo à nouveau en 2050 l'ombre dont il y a un an elle jouissait encore. En effet deux de ces cure dents de Piolle (Verts/PG) sont déjà morts !
Les grenoblois en sont réduits à rechercher un peu de fraîcheur à l'ombre des rares marronniers épargnés par E. Piolle (Verts/PG). Ils se serrent dans ce tout petit peu d'espace comme ils le peuvent. La majorité sont forcés de déserter les bancs, presque tous étant devenus brûlants, pour utiliser les parapets en pierre, les personnes âgées également.
Mais comment faire autrement puisque E. Piolle a abattu les marronniers centenaires de la place Victor Hugo et que le dernier refuge, le jardin de ville, est devenu le domaine de la crasse, du bruit et du cabaret frappé.
l'ombre des marronniers l'été dernier place Victor Hugo
Comment oublier qu'il y a tout juste un an la place Victor Hugo était le plus bel endroit de Grenoble et un des plus agréables pour se protéger du soleil ?
Comment comprendre que des prétendus écologistes aient détruit ce lieu profondément ancré dans le patrimoine de Grenoble, le cœur et la vie des grenoblois ?
Pas un seul grenoblois ne les avait élus (très mal ...) pour détruire la place Victor Hugo. Ils n'en avaient ni la légitimité ni le droit ! Cette faute est impardonnable.