O.NOBLECOURT (PS repenti) en DIFFICULTÉS
Sa campagne électorale-éclair d'un week-end n'a pas été digérée au gouvernement et à "En Marche" : Olivier Noblecourt (PS repenti) ne peut pas accumuler le beurre et l'argent du beurre.
UN JEU PERSONNEL CONTRE E.CHALAS
Délégué interministériel à la lutte contre la pauvreté -aux confortables émoluments- nommé par le gouvernement il ne peut pas -sur le terrain Grenoblois- venir jouer un jeu personnel contre Emilie Chalas, la Députée LREM. Même s'il a pris la précaution de dîner samedi soir avec Olivier Six, le délégué du parti de Macron dans l'Isère. A moins que celui-ci ne soit son allié ?
UNE "CARRIÉRE" TRÉS POLITIQUE
Sa "campagne" s'est limitée à une réunion samedi matin dans la vieille ville avec quelques ex de la municipalité Destot et à afficher le soutien de Hassan Bouzeghoud membre de la liste Safar (PS) en 2014.
L'ex-Adjoint au Social de M. Destot a mené toute sa carrière dans la politique professionnelle : d'abord membre du cabinet du Maire, puis élu et ensuite après la défaite municipale il a avait été casé au cabinet de la Ministre (PS) Vallaud-Belkacem. Entre les deux tours des dernières élections municipales de 2014 il était un farouche partisan de l'alliance avec Piolle et de l'élection de ce dernier. Il n'a visiblement pas changé d'avis.
O.NOBLECOURT DEVRAIT DÉMISSIONNER de SON POSTE
Pour s'engager plus avant Olivier Noblecourt devrait démissionner plus vite de son poste ou il est désormais marginalisé, la "pauvreté" étant bien couverte au niveau gouvernemental ! C'est un thème qui procure des emplois. Mais pas aux pauvres.
LA PRÉSIDENCE de la MÉTRO à Olivier SIX ?
Ou bien se faire imposer par le réseau ex PS du gouvernement (Castaner et les autres) comme candidat de remplacement d'Emilie Chalas contestée de tous côtés.
Le dîner de samedi soir avec Olivier Six avait il pour objet d'assurer à celui-ci qu'en toutes circonstances , il serait le Président de la Métro en cas de victoire à Grenoble ? Pourtant la formule Ferrari/Piolle a été un échec faisant disparaître l'agglomération des radars.
DES RÉPARTITIONS de POSTES DANS L'OPACITÉ
Toutes ces combinaisons dans leur dos, ces répartitions de postes en toute opacité engendrent un fort rejet des grenoblois. Cette vieille façon de faire de la politique n'est plus acceptée.
"En Marche" qui avait prétendu en symboliser l'opposé en devient l'incarnation avec tous ces politiciens en recherche de postes intervenants en coulisse.
LES ÉLECTEURS AURONT LEUR MOT à DIRE
Les grenoblois exigent la transparence et si il y a partage des postes ils demandent à minima à en être informés.
Car un détail a échappé à ces éminences grises : les électeurs ont leur mot à dire...