« CULTURE DU TAG » ET « SOUILLURE » : L’UNION DES HABITANTS DU CENTRE S’INSURGE
L'Union des Habitants du Centre-Ville (UHCV) s'est fendue d'une tribune sur le média en ligne Place Gre'net. Elle interpelle la municipalité Piolle sur la recrudescence des tags à Grenoble et formule des propositions pour endiguer le phénomène.
UNE "SOUILLURE" POUR LA VILLE
La tribune de l'UHCV ne mâche pas ses mots, qualifiant la situation de véritable "souillure" qui défigure la ville. Les habitants pointent clairement du doigt l'inaction de la municipalité, accusant les élus de la majorité de tolérer, voire d'encourager un phénomène qui envahit façades, mobilier urbain, monuments et espaces publics.
LA PROLIFÉRATION INCONTRÔLÉE
DES GRAFFEURS À DOUBLE CASQUETTE
Une position qui se manifeste aussi à travers le comportement ambivalent de certains graffeurs. S'appuyant sur une étude sociologique, les auteurs de la tribune relèvent ainsi "qu'il y a souvent à Grenoble l’impression très dérangeante que certaines personnes sont dans la « culture » subventionnée le jour, et dans le vandalisme individuel ou en bande (en « crew ») la nuit". Évidemment sans que leur participation à la "culture subventionnée" ne soit remise en cause.
LES ÉLUS BAISSENT LES BRAS
Pendant ce temps, alors qu'ils pourraient à minima commencer par contrôler qui participe au street art festival, les élus de la majorité ont baissé les bras. Gilles Namur (Verts/LFI) explique qu'on "subit" cette culture du tag, et qu'ils sont "un peu débordés". À une lettre de l'UHCV il y a deux ans, l'adjoint de secteur Alan Confesson (LFI) répondait que « tout est mis en œuvre pour obtenir des résultats ». Comme d'habitude une formule creuse qui relève de la contrevérité car on voit bien l'absence de résultats : "il n’y a eu aucune amélioration qu’on puisse noter" conclut l'union de quartier.
AUCUNE VOLONTÉ D'ATTRAPER LES AUTEURS
C'est d'autant plus rageant que, se référant à une enquête de France Bleu Isère datée de 2021, elle rappelle qu'il n'y aurait qu'une dizaine de graffeurs vandales qui sévissent sur les murs de Grenoble. Que ces personnes sont connues dans ce qui reste un petit milieu. Et qu'Eric Piolle lui-même expliquait en 2017 qu'il y a un répertoire des tags pour identifier les auteurs. Pourquoi donc les élus n'en font rien et ne parviennent à obtenir aucun résultat, avec seulement une poignée de dossiers envoyés à la police chaque année et qui n'aboutissent quasiment jamais ? Manque de volonté face à un sujet qu'ils considèrent comme non-prioritaire ? Complaisance ?
L'ESCALADE DE LA VIOLENCE
Non seulement il n'y a aucune amélioration mais la situation s'est aggravée avec une explosion des tags "haineux" et "ultra-violents" contre la police, contre les ingénieurs etc. qui émanent de l'extrême-gauche. L'UHCV voit dans cette explosion de la violence "l’évolution logique amenée par la permissivité qui a débuté il y a dix ans". Comment lui donner tort, alors qu'Eric Piolle considère cette mouvance comme sa famille politique et qu'il fait preuve de la plus grande complaisance allant jusqu'à la loger au 38 rue d'Alembert ?
L'EXEMPLE DE CANNES
D'autres villes ne se contentent pourtant pas de "subir" et ont su enrayer la spirale du vandalisme. L'union des habitants prend l'exemple de la ville de Cannes, reconnue aujourd'hui pour sa propreté, qui a mis en place une politique zéro tolérance sous l'impulsion de son Maire David Lisnard (LR) : elle est passée de 400 000 euros de budget nettoyage en 2014 (à Grenoble, nous y consacrons seulement 120 000 euros par an !) à à peine 20 000 euros !
LES TAGS NE SONT PAS UNE FATALITÉ
C'est dans cette optique que la tribune se conclut par une série de 6 propositions : "zone zéro tag" véritablement effective en prenant le modèle de Cannes, charte pour cesser de subventionner des personnes et groupes qui soutiennent le vandalisme, utilisation de ce fameux "répertoire" pour appréhender les auteurs...
Comme pour d'autres sujets, la municipalité peut en effet impulser un changement de culture ambiante en commençant par faire preuve de volontarisme. Les tags à Grenoble ne sont pas une fatalité, mais il faudra pour cela rompre avec la résignation teintée de complaisance qui a pris les commandes de la majorité municipale.
Toutes ces monstruosités, que nos têtes couronnées appellent des TAGS, sont toujours l expression politique de l extrême gauche. Le centre ville, a travers ces horreurs. Les punks a chiens qui sont légions ressemble plus à un BIDONVILLE, qu a autre chose. Le tout sous le regard bienveillant des pastèques.
Je suis écoeuré de voir l’état de délabrement, de l ensemble de notre ville, voulu, par ces extrémistes que des FOUS ont mis au pouvoir.
« Espace public que les gens se réapproprient » : mais c’est qui « les gens »? d’une part ceux qui défigurent la ville avec leurs graffitis ne sont pas propriétaires des murs ni des stores qu’ils défigurent, d’autre part j’aimerais bien me « réapproprier » l’espace public avec de belles choses (fleurs, arbres, fontaines etc) parce que pour le moment c’est bien moche tout ça.
Alain Carignon, dans ce domaine aussi est le seul à pouvoir redresser la ville et refaire de Grenoble la ville où il fait bon vivre qu’elle était jusque dans les années 90…
1) La peinture utilise de multiples composants CHIMIQUES. Où est l’écologie là-dedans ?
2) L’Europe est réputée pour les Beaux Arts, avec de beaux chateaux, de grands monuments, mais aussi de grands peintres et compositeurs. Mais nos écolos-radicaux-contestataires-incultes préfèrent les souillures !
Les Verts SE SERVENT politiquement des tags pour CASSER les valeurs de notre société, tout en se DEFAUSSANT sur les auteurs de ces infects gribouillis.
IL Y AU MOINS DEUX CHOSES QUI ME CHOQUENT:
1. Qui sont les auteurs de ces Tags ? Viennent-ils d’une autre planète, car je ne comprends absolument rien à leurs messages ?
2. Avec quelques Go-Pro bien placées j’estime qu’il serait très facile de les confondre.
Encore faut-il le vouloir.
Je ne reconnais plus ma ville.Complétement DÉFIGURÉE, SALE, DETRITUS ECT…
La fille d’un ami est parvenue dans une même discussion à :
– Vanter la prolifération de tags vengeurs contre la police, de type ACAB.
– Narrer la triste aventure d’une copine, tabassée par son mec, « puis heureusement les flics ont arrêté ce fils de p… ».
Lui faisant remarquer la « légère » contradiction de son rapport à la police, elle a semblé déstabilisée, mais les mots sont vite revenus :
« N’empêche qu’ils ont tué Nahel ! »
J’ai pensé que dans 2 ans, elle aurait le droit de vote…
Les rouges / verts grenoblois se frottent les mains de l’arrivée imminente de « chair fraîche », conformiste et influençable, sur le « Marché » électoral.
Les nuanciers manquent beaucoup à ces jeunes grenoblois.
Les adultes aux commandes, qui galvanisent leur excitation juvénile, abrutissent sans scrupules.
Minable.
Comme le toutou lève la patte, le tagueur fait ses besoins sur nos murs, façades…
Son plaisir incontinent à faire rejaillir sa vacuité dans tout Grenoble, il le nomme : ENGAGEMENT !
C’est qu’il est sacrement engagé, notre soldat anonyme sournois, et d’abord contre la France fasciste !
Il irait bien à la Guerre, mais après s’être soulagé contre… un arbre (oui, les arbres sont également tagués…), il préfère, soit rentrer chez lui mater du Netflix, avec le sentiment du Devoir Accompli… soit regagner le chenil du 38 rue d’Alembert, en cas de nouvelle envie trop pressante.
Pas besoin d’aller à Cannes, allez voir comment fonctionne la ville de Vénissieux qui a une équipe antitags
Des malades mentaux qui nous pourrissent la vie
Comment c est possible de voter pour ces fatigues du cerveau
On ne doit pas dire tagueur mais souilleur.
Cette réappropriation de l’espace public et privé relève d’un nombrilisme exacerbé par le libéralisme souvent dénoncé par les mêmes barbouilleurs. Qu’ils s’achètent des crayons de couleurs et un livret de coloriage, c’est de leur niveau de conscience civique.
Pourquoi voulez vous qu’ils mettent tout en oeuvre pour les attraper ???
Ce sont leurs électeurs, LEURS électeurs.
Et comme dirait le corniaud, « on ne parle pas mal de sa famille ».
« L’écologisme est incapable de protéger notre cadre de vie ». Cette ville en est le témoin !
Pour tous ces tags, pourris, laids et cons à la fois, en fait, il suffirait de recouvrir les tags avec un Piolle minable ou Piolle menteur, ou piolle nul ou piolle… quelque chose. Les casseroles ne manquent pas. Pourquoi pas :Ce soir c’est KFC, on va cramer du Piolle? Je pense que ce serait nettoyé vite fait 😃
Et donc ce serait:
« Une libération de cette manière de s’exprimer dans l’espace public, qui du coup redevient un vrai espace public que les gens se réapproprient, donc ça c’est quand même d’une manière générale une très bonne chose » Dixit Jérôme Catz
Serait-il rester longtemps ce tag? Serait il toujours graphique? Culturel? 😇