INSÉCURITÉ : GRENOBLE FAIT ENCORE LA UNE
Il est décidément loin le fantasme des Piollistes, qui osaient imaginer Grenoble qui ferait la une des médias nationaux pour son label (son opération de comm') "capitale verte". Notre ville est bien à l'affiche ces derniers jours... mais une fois de plus pour de mauvaises raisons.
LES CLASSEMENTS S'ENCHAINENT ET CONFIRMENT LA TENDANCE
En août dernier, sur la base de la comparaison de 7 catégories de délits pour les 119 villes de plus de 50000 habitants, Grenoble apparaissait comme étant en moyenne la 7ème ville la plus dangereuse de France. Cette semaine, Le Figaro établit un nouveau classement des crimes et délits en 2023. Les résultats sont toujours aussi accablants.
1ÈRE POUR LES VOLS AVEC ARMES, LES VOLS DANS LES VÉHICULES...
Grenoble se classe ainsi 1ère ville pour le nombre de vols avec armes par habitants (+98% de faits en un an !)... devant Marseille. Première pour les vols dans les véhicules également, en augmentation de 20% par rapport à 2022 (certaines rues sont en effet un spectacle quotidien de vitres brisées). Ou encore 3ème pour les dégradations et destructions volontaires avec 2600 faits recensés en 2023.
LA DÉLINQUANCE "DU QUOTIDIEN" ...
Un coup d'oeil à quelques jours des passages "faits divers" du Dauphiné Libéré confirme bien la délinquance du quotidien que révèle ce genre de statistiques. Mardi dernier vers Grand Place, à la sortie du tram, un jeune s'est fait massacrer par 8 autres à coups de barre de fer. Toujours mardi, rue Revol vers 20h, une jeune femme a été agressée et blessée au couteau par un inconnu. Mercredi parc Paul Mistral, en pleine journée à midi, un homme a été braqué par deux individus avec une arme à feu pour 60 euros...
... CELLE DES BANDES MAFIEUSES ...
Il faut en plus ajouter la violence entre bandes rivales sur fond de trafic de drogue. Il y a deux semaines, le Cours Berriat bondé à 18h était le théâtre d'une énième fusillade : combien de temps avant que ces règlements de compte entre bandes rivales, devenues habituelles, ne fassent une victime innocente ? Dans le Dauphiné, un spécialiste du milieu relevait qu'à Grenoble, on assiste à "la banalisation de la violence la plus radicale comme mode de règlement de tous les contentieux". Encore un motif de fierté...
... ET CELLE DE L'EXTRÊME-GAUCHE
Grenoble a également une spécificité très locale : celle de la violence des groupuscules d'extrême-gauche qui ont à coeur d'empêcher la moindre idée divergente de s'exprimer. Outre les séries d'incendies et sabotages à répétition revendiqués par ces groupuscules, ces dernières années ont également été marquées par le tabassage gratuit de jeunes militants LR en plein centre-ville ou d'un candidat aux législatives.
UN ÉTUDIANT DE L'UNI VICTIME DE COMMOTION CÉRÉBRALE
Jeudi soir, une conférence sur le métier d'avocat avec Maitre Fabien Rajon organisée par l'UNI Grenoble sur le campus a dû être annulée : une horde de militants d'extrême-gauche, ivres de rage qu'un syndicat étudiant de droite puisse organiser un évènement, a forcé les portes de la salle, gazé les étudiants et les a roué de coups. L'un des jeunes organisateurs a fini aux urgences avec une commotion cérébrale... Que n'aurait-on pas entendu si un groupuscule d'extrême-droite était à l'origine de telles violences ?
"VIOLEUR À TROTTINETTE" : LE CLIMAT DE PEUR
Mais ces derniers jours, c'est l'affaire du "violeur à trottinette" qui a installé un climat encore plus anxiogène qu'habituellement à Grenoble. Un individu qui, depuis plusieurs semaines, a agressé sept jeunes femmes (dont deux viols), la nuit à Grenoble et alentours. Habillé en noir, en trottinette, il les suit tard dans la nuit lorsqu'elles rentrent de soirée. Il n'a pas encore été appréhendé malgré d'importants moyens déployés par la police nationale. Alors que les grenobloises étaient déjà nombreuses à ne pas oser rentrer seule le soir par peur des agressions fréquentes, cette affaire créé une véritable psychose.
ALAIN CARIGNON INVITÉ DE BFM TV
Invité de BFM TV hier pour évoquer ce sujet et l'ambiance à Grenoble, le Président du groupe d'opposition Alain Carignon a rappelé que la municipalité ne remplit pas sa part pour assurer la sécurité des Grenoblois : refus du développement de la vidéoprotection reliée à un PC opérationnel 24h/24, refus d'armer et de développer la police municipale pour seconder la nationale...
ERIC PIOLLE : "ON PEUT SE PROMENER SANS AVOIR PEUR"...
Dans un tel contexte, les propos d'Eric Piolle fin 2023 résonnent encore plus provocateurs et déconnectés qu'ils ne l'étaient déjà : « Il y a un décalage entre l’image et la réalité. On peut se promener à Grenoble sans avoir peur de se faire agresser ». Il reste fidèle à sa ligne politique consistant à refuser ne serait-ce que d'admettre que le sujet existe. En conseil métropolitain, son adjointe Céline Deslattes (Verts/LFI) avait elle déclaré que les questions de sécurité relèvent du "fantasme"...
LE MAIRE DE LA VILLE N'A PAS UN MOT SUR LE SUJET
Pas un mot d'Eric Piolle à propos de ce sujet qui remet malheureusement la ville sous le feu des projecteurs nationaux en plus de faire les unes locales. Alors que les Grenoblois seraient en droit d'attendre une expression de leur Maire pour apaiser, pour exprimer son engagement et sa mobilisation aux côtés de la police nationale pour que le criminel soit appréhendé au plus tôt.
DÉNI ET IRRESPONSABILITÉ
Car la ville a un rôle majeur à jouer dans la chaine de sécurité, en appui des autres acteurs. Des causes aux conséquences, le groupe d'opposition propose l'adoption d'un plan clé en mains pour qu'enfin Grenoble assume son rôle : vidéoprotection avec PC vidéo opérationnel 24h/24, renforcement et armement de la police municipale, mais plus largement l'expulsion des dealers condamnés et des familles dont il est établi que les revenus dépassent largement les critères du logement social, la création d'une preuve de tranquillité publique pour l'attribution d'un logement social et l'habilitation large des personnels pour dresser procès-verbal., soutien aux acteurs associatifs dans le domaine de la prévention..
En refusant non seulement de se saisir de ces propositions mais également ne serait-ce que d'évoquer le sujet de la sécurité, Eric Piolle et les Verts/LFI confirment être enfermés dans une forme de déni électoraliste et d'irresponsabilité désastreuse vis-à-vis des Grenoblois.
Fort dommage que Mr ÉRIC Piolle réagit ainsi FACE À LA DÉSOLATIONS DES GRENOBLOIS !!!!
Qu’est-ce qui vous étonne ? les enseignants sont majoritairement de gauche, les universités sont des repères de gauchistes, que dire des présidents d’université.
A ce qu’il parait le président de l’université a refusé que la police entre dans l’université lorsqu’il y a eu cette agression.
Quel est le dénominateur commun de tout ça ? la gauche.
Encore et toujours.
Et vous le rappelez très justement, si le contraire s’était produit, les médias (majoritairement des journalistes de gauche) seraient en train de faire leur une en parlant de la peste brune, des fachos/nazis qui ont tabassé de gentils militants de gauche qui participaient tranquillement à une conférence.
Vous remarquerez également le très mauvais classement de bordeaux dans votre tableau.
Or Bordeaux était début des années 2000 l’une des villes les plus sures et tranquilles de France.
A l’époque du premier gouvernement macron, la ministre du logement disait même que Bordeaux (à gauche) refusait d’accorder de nouveaux permis de construire pour des HLM.
Et oui, voilà les conséquences de la loi SRU, au nom de l’égalité il faut que ce soit nul partout, pas de ségrégation sociale disent-ils.
Belle ville « apaisée » !
Scène de rue tristement banale aperçue depuis un 5ème étage, av. Marcelin Berthelot.
La jeune femme, lourdement accostée, (« t’es trop bonne, madame »), par un mec en trottinette accélére le pas, puis 3 comparses se ruent sur elle et la dépouille (sac à mains, téléphone, ordi portable), sans violence, et s’enfuient vers le sud Grenoble.
On descend, elle pleure. Clefs, papiers… tout à refaire, racheter…
On l’incite à porter plainte.
Entre 2 sanglots, elle décline :
« Ça sert à rien…et t’façon, j’suis pas raciiiiiiste ! » puis repart dans la nuit dormir chez une copine.
Résiliente.
Fière de ne jamais collaborer avec les flics (déjà sa 3ème agression en 2 ans à Gre….).
Fière d’être grenobloise, excluant la colère, sachant pardonner…
Avec un tel instinct de survie, l’espèce de gauche choupinette sera vite menacée d’extinction, comme des mignons canaris en ville…
En attendant l’extinction des choupinets, le témoignage d’Eric Cole est inquiétant. L’attaque, bien sûr, mais aussi la réaction de la victime (laquelle je suppose, a droit de vote). Nous ne sommes pas sortis de l’auberge avec une société pareille.
À Grenoble, la règle du JE implique de dévoiler un minimum de signes explicites de ras-le-bol.
« Insécurité » = mot tabou pour poursuivre la partie, paf : éliminé.
Alors on « constate », comme un médecin légiste blasé, des scènes de rue choquantes.
Simple piéton, j’ai moi-même trop « constaté », impuissant, bon à rien.
Les colliers arrachés sur vieilles dames m’ont marqué.
Moins qu’elles, septuagénaires mises au sol par des mecs de 20ans. Infect.
Même les amoureux de Piolle ou de Belair souffrent parfois, au fil des trahisons poly-tocardes, ou lorsque il leur arrive malheur, Place Grenette ou ailleurs. Parfois, leurs enfants subissent, c’est encore pire…
Des symptômes aigus de dépression se développent alors, mais chuuut… appliquer, respecter, la règle du Je… Bouche cousue… Pas de vagues à l’âme ni d’amalgames.
Et une manif (au hasard, contre le fascisme, bingo !), et ça repart !
Avec un moral de façade en béton !
Penser à se vider la tête !
Gueuler en meute « Vive les Poulets grillés » pour reprendre du poil de la Bête ! Grenoble éructe de nouveau et
tabasse de l’hérétique en Fac !
Ouf… Le Moyen Âge progresse avec d’astucieux téléphones 5G pour traquer mécréants et sorcières.
Pas de vagues à l’âme et pas de vagues tout court: on connaît bien ça dans l’éducation nationale.
@eric cole : je trouve votre analyse juste et pertinente concernant la femme qui s’est fait dépouiller.
Maintenant, celle là, j’ai zéro doute qu’elle doit être une électrice de gauche, lobotomisée par tout un système de gauche, et doit sans doute scander de temps à autre ACAB « all cops are bastards ».
Le problème c’est que dans une démocratie, la folie de ces électeurs là, déteint sur toute la société et pas uniquement sur ceux qui ont construit les conditions dans laquelle la société se trouve.
Celle là ira voter piolle avec grande fierté en pensant que la délinquance et l’insécurité relèvent de l’imaginaire, en pensant que les victimes sont ceux qui l’ont dépouillée, et allant parler de racisme s’il s’agit de faire poursuivre, voire faire condamner, ceux qui l’ont agressée.
Quand vous passez votre temps à inverser en permanence les valeurs, ont vient à reprocher aux moutons de ne pas vouloir cohabiter avec le loup.
Oui M, c’est exact.
La dame m’a stupéfié par son masochisme assumé.
Et sa vision mystique d’une société épurée de gens… comme elle !
« Moi j’ai un bon job, eux que dalle ! ».
Ni Piolle à Grenoble, ni Panot ou Soudais à l’Assemblée Nationale ne prêchent dans le désert.
Des bataillons de « jeunes gens gentils » rafluent, puis sont formés à être décimés ultérieurement, tout au fond d’une cuvette.
« Morts pour l’Anti-France ! »
Décérébrés plutôt…
Heureusement, la guerre attendra…
Dans l’immédiat, je souhaite à la dame de restaurer l’image d’elle-même, de sa ville et de son pays natal,… et de ne plus souffrir aveuglément au nom des bonnes mœurs locales.
Ses détrousseurs ne renforceront pas la « convergence des luttes » à laquelle elle aspire et JAMAIS ils ne cautionneront la « Marche des Fiertés » (qui lui manque, hélas).
Elle devra donc faire son deuil, continuer à vivre sans ses bandits, pas vraiment manchots, pour accompagner ses futurs combats antifas.
Plus grave encore: si elle s’était fait agresser par ceux de sa race (NB: c’est elle qui parle de race, pas moi), elle aurait porté plainte sans problème. Sans même se rendre compte qu’en agissant ainsi, elle faisait une discrimination raciale, donc était raciste. J’en profite pour une petite remarque: on nous parle beaucoup de l’homme occidental à occire mais jamais des sultans et simplement autres riches personnages (y compris en Chine) qui pratiquaient le harem par achat de jeunes vierges. C’est la manipulation des idées qui m’agace, et la façon dont elle est acceptée benoîtement par des gens incapables d’une analyse personnelle et contents d’eux, puis qu’ils bâillonnent l’enseignement de l’Ecole.
Torcan, dans le sud, mes parents évoquent souvent les « fadas ».
Soit, dans un sens méridional, un mix (magma ?) d »ignorance, superstition, niaiserie, forfanterie et virilité grotesque.
Chez mes parents, ils en rigolent et peuvent (encore) les titiller.
Ici, à Grenoble, les fadas se prennent, et sont bien davantage pris au sérieux, surtout lorsque leur fièvre monte…
Le martèlement idéologique (des Indigènes de la République par exemple qui irriguent le NPA, LFI…jusqu’à Grenoble) est tactiquement impeccable et fort bien rédigé, adapté aux « intellos » deja enragés ou ceux encore timorés.
Le fada grenoblois est choyé !
Les algorithmes le chouchoutent !
La dame agressée en redemande !
Fada…ou perversion du raisonnement (si l’on présuppose qu’il y a un raisonnement à la base). La brave dame ? même pas peur, à l’idée (si l’on présuppose qu’il y a une idée à la base) de trouver son appartement squatté en rentrant chez elle, ou de servir de nourrice à son insu, dès qu’elle s’absente.
Torcan, dans le sud, mes parents évoquent les « fadas ».
Soit, dans le sens méridional, un mix (magma ?) entre ignorance, superstition, niaiserie, forfanterie et virilité grotesque.
Mes parents peuvent encore titiller les simplets.
Ici, à Grenoble, les fadas se prennent et sont pris au sérieux. Surtout lorsque leur fièvre monte.
Le martèlement idéologique (du PIR par exemple, irriguant le NPA ou LFI jusqu’à Grenoble) est tactiquement réussi, habilement rédigé, adapté aux enragés comme aux timorés.
Le fada grenoblois est choyé !
Les algorithmes le chouchoutent.
La dame agressée risque encore…