« ARABE DE SERVICE » : 3 ÉLUES (LISTE PIOLLE) SE DÉCHIRENT AUX FRAIS DU CONTRIBUABLE
"Arabe de service". C'est autour de cette injure qui aurait été prononcée lors d'une commission de la ville de Grenoble que trois élues de la liste Piolle s'affrontent devant les tribunaux. Salima Djidel et Kheira Capdepon, Vice-Présidente de la métropole et adjointe au Maire de Grenoble (Verts/LFI) ont officiellement demandé au Conseil Municipal du 25 mars dernier que la ville prenne en charge leurs frais d'avocats dans la procédure engagée. Pourquoi se gêner ?
PIOLLE SE FAIT REMBOURSER SES FRAIS D'AVOCATS DANS UN PROCÈS PERDU
Dans le même Conseil Municipal (le groupe d'opposition votant contre), Eric Piolle s'est fait voter la même délibération de "protection fonctionnelle" pour se faire rembourser les frais d'avocats et de procédure après la plainte déposée contre Pascal Clérotte (GAM) qui avait soulevé les affaires de la fête des Tuiles et de l'acquisition du Crédit Agricole. Eric Piolle ayant perdu, condamné aux dépens, il a fait prendre en charge sa vindicte personnelle par le contribuable ! Il peut ainsi attaquer tous les grenoblois qu'il veut sans risque...
"ARABE DE SERVICE" OU "JE NE SUIS PAS VOTRE ARABE DE SERVICE"
Salima Djidel et Kheira Capdepon ont déclaré avoir reçu une insulte à caractère raciste de Amel Zenati, une autre élue de leur liste lors d'une commission municipale le 14 juin dernier. Elles auraient été accusées d'être des "arabes de service" tandis que Amel Zenati prétendrait avoir dit "je ne suis pas votre arabe de service". Le tout sur fond de polémique politique puisque les deux premières élues Piollistes qui appartiennent à la secte Rouge/verts ont accepté l'exclusion de leur groupe de Amel Zenati, laquelle votant pourtant la hausse massive des impôts, avait seulement évoqué l'idée que la majorité aurait pu les augmenter moins !
Lors de cette commission du 14 juin, elle a été prise en train d'aller dans le même sens, sur un sujet très accessoire, qu'un élu de l'opposition. C'en était trop pour Salima Djidel et Kheira Capdepon.
IL S'AGIT DE LA LISTE "GRENOBLE EN COMMUN" !
Comme l'a relevé justement Hosni Ben Redjeb, la "protection fonctionnelle" n'a pas pour objet de régler aux frais du contribuable les querelles internes entre membres de la majorité. On imagine l'impact sur les médias si des élus de droite se querellaient publiquement et devant les tribunaux autour de cet affrontement sémantique de haut niveau. Les demandes d'explications fuseraient de savoir qui est raciste ? Les commentaires se multiplieraient sur la déchéance de ces élus capables de s'injurier en ces termes, eux qui ont constitué la liste appelée "Grenoble en Commun". Un silence bienveillant entoure le fonctionnement de la municipalité Piolle.
D. SPINI : "C'EST DIRE L'ÉTAT DE VOTRE MAJORITÉ"
"C'est dire l'état de votre majorité, où elle en est arrivée et la valeur de vos leçons sur les propos de la droite et son comportement" a lancé Dominique Spini, du groupe d'opposition d'Alain Carignon, à Eric Piolle. Lui reprochant de "n'avoir aucune autorité pour empêcher ces dérives et les régler en interne".
LA SECTE ROUGE/VERTS VEUT DÉLÉGITIMER TOUS CEUX QUI LUI RÉSISTENT
En réalité Amel Zenati, pourtant colistière de Piolle est dans l'oeil du cyclone. La méthode est toujours répétitive : tenter de détruire la réputation, salir socialement, délégitimer la parole. Des personnes aussi différentes que Guy Tuscher, Alain Carignon, Pascal Clouaire récemment, subissent le même régime. Car ils ont gêné ou gênent la secte. Peu importe pour certains les services rendus. Chez les apôtres de la bienveillance, la violence et la brutalité sont la règle.
LA MÉTHODE AVRILLIER D'INSTRUMENTALISATION DE LA JUSTICE
L'instrumentalisation de la justice est également une constante mise en place par le parrain de la municipalité, Raymond Avrillier. Dans "L'empire du Bien", l'écrivain Philippe Murray moquait le "désir de pénal" des Rouge/Verts dans lequel Avrillier se vautre depuis 50 ans. Pourquoi pas ? Mais pourquoi aux frais du contribuable ?
ILS SE FONT DES PROCÈS MÊME ENTRE EUX
Rappelons que même entre eux ils vont devant les tribunaux. Vincent Comparat, Président des Verts/Ades, le groupuscule opaque d'Avrillier, qui siège pourtant au Politburo municipal où se prennent toutes les décisions imposées aux élus, est aussi en procès avec Piolle. Qui se défend avec l'argent des Grenoblois. Un Piolle également attaqué par celui qu'il appelait "son deuxième cerveau", son Conseiller Spécial, Enzo Lesourt qui l'a accompagné dans tout son parcours, y compris sa brillante chevauchée présidentielle (!).
E. PIOLLE RÉCLAME 500 000 € À PIERRE PAVY QU'IL A ÉLIMINÉ DU "5"
N'évoquons pas les dizaines de dizaines de procédures des employés communaux contraints de saisir les tribunaux pour se défendre, aucune médiation n'étant conduite par Pierre Mériaux, actuel Adjoint (Verts/LFI) au personnel qui exerce sa fonction avec une brutalité particulière. Pourtant ancien Inspecteur du travail qui a manifesté pendant toute sa carrière contre les patrons pour faire respecter le dialogue social. Rappelons qu'Eric Piolle est aussi en procès contre Pierre Pavy, l'ex gérant du restaurant "le 5". Litige à 500 000 € après l'avoir éliminé.
PIOLLE A INSTAURÉ L'AGRESSIVITÉ PERMANENTE...
Cet "affrontement de chiffonniers" tel que l'a qualifié Chérif Boutafa (opposition) au conseil Municipal entre Salima Djidel, Kheira Capdepon et Amel Zenati, sur fond de propos éventuellement racistes, dépeint sans fard l'état de la municipalité Piolle. Le donneur de leçon, dominateur, qui a instauré l'agressivité permanente dans la ville, qui pardonne toutes leurs attaques contre les personnes et les biens aux groupuscules gauchistes comme on l'a vu encore samedi, est ramené à la réalité peu reluisante.
... CRÉANT UN CLIMAT D'AFFRONTEMENTS DÉTESTABLES
À l'occasion de ses 10 ans de mandats largement "fêtés", on a beaucoup omis de dresser le bilan exécrable des rapports humains qu'il avait instauré, créant un climat détestable, justifiant toutes les exactions et les mises en cause personnelles. Une situation incontestable qui se retrouve à l'intérieur même de la majorité municipale.
Bonjour le niveau de cette « majorité »!
N’y a-t-il rien de plus urgent dans un conseil municipal?
Les pbs de relations internes doivent-ils être réglés en justice aux frais du contribuable?
Diviser pour mieux régner?
De toute façon à la fin, les idiots de service, ce sont les grenoblois.
N'(allez vous rien faire pour contester la prise en charge des frais de justice d’Epi? C’est complètement illégal. Merci pour votre réponse.
c’est malheureusement légal pour celles-là, on interroge des avocats pour ceux de Piolle réclamés deux ans aprés. Mais tout ça se sont des dépenses pour nous bénévoles.
Notre collectif est 100% bénévole et doit faire face à de nombreux frais d’avocats. Pour aider l’opposition à Eric Piolle, vous pouvez nous adresser un don déductible à 66% de vos impôts (un reçu vous sera adressé par courrier). Un don de 100 euros vous revient ainsi à 33 euros.
Vous pouvez nous aider par chèque, à l’ordre de « Association de financement Grenoble le Changement », et l’envoyer par voie postale à : Grenoble le Changement – 3 Square Charles Michels
38000 Grenoble.
Vous pouvez également nous contacter par téléphone au 06.69.98.38.71 ou mail à sitegrenoblelechangement@gmail.com
On dirait des gamins qui se battent dans la cour d’école… Et la maîtresse est priée de passer l’éponge.
Le « tout à l’Ego » fonctionne du tonnerre à Grenoble !
À notre charge, la maintenance et l’entretien des réputations de ces « sommités » de la gauche humaniste.
Les clashs grotesques entre rappeurs de seconde zone ont le mérite d’épargner aux contribuables les frais de justice…
Où est « l’humanisme » et la « ville apaisée » qu’on nous avait promis ?
Rmq: je ne suis pas juriste mais je suppose que le mot « protection » sous-entend qu’un élu « subit » des reproches ou désagréments ; mais lorqu’un élu lance une action en justice pour diffamation à son encontre, il devient initiateur et ne sera « victime » que si la Justice confirme un préjudice. Si Mr Piolle est débouté, il n’est victime que… de sa mauvaise humeur de perdant.
Pourquoi ces trois élues ne règlent-elles pas à l’amiable leur différend, dans un bar par exemple, plutôt que de nous obliger à payer l’addition ?
La sororité, si souvent invoquée pour adoucir Grenoble et le Monde entier, s’accommode encore d’un peu de fiel saupoudré sur des humeurs boudeuses, entre grandes copines.
On dirait de vulgaires mecs…
Une secte mortifère qui amène le territoire dans une crevasse
Imaginez ce que diraient les journalistes militants si c’étaient des gens de « droite » qui avaient tenu le même discours.