Parc Henri TARZE : PLUS UN CHAT, PLUS UN OISEAU…
"Aprés le nettoyage de la mairie...Une cata... plus un oiseau... plus un chat...Sale à vomir...Et depuis ce matin 2 nouvelles tentes !" nous écrit un riverain du parc Henri Tarze dans le secteur Jean Macé.
On le sait le jardin a été occupé par des Roms pendant des mois avant qu'Eric Piolle ne prenne un arrêté d'expulsion. Il en fallu des "incidents" et des victimes de vols et d'agressions avant qu'il ne se résolve à céder à la demande de la population.
LE PARC SACCAGÉ A ÉTÉ NOYÉ SOUS LES IMMONDICES
On se souvient que parmi les campeurs il y avait notamment une famille Serbe déjà venue à Grenoble et logée à Villeneuve, repartie dans son pays, puis revenue pour réclamer à nouveau un logement. Dans un autre quartier ?
Malheureusement le parc a été saccagé, noyé sous un tas d'immondices divers alors que des containers avaient été installés. Comme il n'a pas été dépollué par la municipalité depuis 5 ans ce tènement représente une véritable catastrophe écologique tout à fait représentative de la "nature" de la municipalité Piolle.
UN SEUL M2 D'ESPACES VERTS PAR HABITANT SUR LA PRESQU’ÎLE
Rappelons qu'elle le destine à... la bétonisation car elle ne veut pas d'espaces verts pour ce quartier. Or sur la Presqu’île voisine il n'y aura qu'un seul M2 d'espaces verts par habitant. D'où son appellation "d'écoquartier" (!).
Le collectif de la société civile pour l'alternance avec Alain Carignon s'est engagé à réaliser un parc sur Henri Tarze puisque son projet est tout entier tourné vers une ville respirable.
UN CONCOURS DE PLANTATION D'ARBRES PAR...LES GRENOBLOIS
Cette nouvelle affaire arrive au moment ou -laborieusement- Lucille Lheureux Adjointe (Verts/PG) à l'espace public tente de sortir du trou en lançant un "concours" de plantation d'arbres par... les Grenoblois.
C'est peu dire que l'opération de com' a tourné au vinaigre et s'est immédiatement retournée contre ses auteurs: sur les réseaux c'est le déchainement. Après tant d'arbres abattus et tant de projets d'en abattre, la municipalité, le dos au mur, ne dispose plus d'aucune crédibilité dans ce domaine aussi.
STOPPER LA DESTRUCTION DE LA NATURE EN VILLE
Plutôt que ces leurres qui mettent les grenoblois de plus en plus en colère, Lucille Lheureux ne devrait pas seulement être utile à son compagnon mais aux grenoblois pour achever son mandat. Les Grenoblois attendent de la municipalité qu'elle stoppe ses projets qui ont pour conséquence la destruction de la nature en ville, qu'elle renonce à sa décision d'urbaniser le parc Tarze qu'elle devrait nettoyer et dépolluer au plus vite.
Sinon en mars et mai, la remise des prix du "concours" pourrait devenir un très mauvais moment pour Eric Piolle !
La ville devient le reflet de ceux qui la gère : une ville de m…