LA FRESQUE DE LA HONTE TAGUÉE À NOUVEAU
Posted On 4 juillet 2016
E. PIOLLE (VERTS/PG) OU LA MÉMOIRE CHARLIE SÉLECTIVE
Parlant de "polémique" quand il s'agit d'un scandale dont il est partie prenante, E. Piolle (Verts/PG) avait cherché à fuir ses responsabilités en parlant de la "liberté d’expression derrière laquelle nous avions défilé pour Charlie". C'était oublier que deux policiers avaient trouvé la mort parce qu'ils défendaient ce journal. C'était oublier aussi que le lendemain une policière municipale avait été assassinée par Amedy Coulibaly. Des grenoblois se sont chargé de le lui rappeler à même la fresque de la honte. En aura t-il honte ?>>> FRESQUE ANTI-POLICE: E.PIOLLE (VERTS/PG) VA TROP LOIN
GOIN: GAUCHISME EXTRÊME ET LÂCHETÉ ORDINAIRES
Suite à la première série de tags, Goin avait qualifié l'enthousiasme des irlandais envers la police de "stupide et populiste" (Le Parisien, 28 juin). Adieu les discours sur la liberté d'expression, adieu le faire semblant d'une fresque qui ne serait pas contre la police mais contre le 49.3. Le titre postiche de la fresque avait d'ailleurs été ajouté après coup, suite aux réactions. On est banalement dans le gauchisme extrême le plus ordinaire, doublé de la lâcheté de l'anonymat derrière lequel se cache Goin. On a hâte de l'entendre commenter le "la police n'est plus Charlie ?". Ses nouvelles contorsions ridicules seront amusantes à observer.>>> FRESQUE ANTI POLICE: « DE L’ART MILITANT DES ANNÉES 70 » POUR YVES ROUCAUTE PHILOSOPHE
LA CONFIANCE ENTRE LA MUNICIPALITÉ ET LES POLICIERS EST ROMPUE
Suite au refus de E. Piolle (Verts/PG) de prendre la responsabilité d'effacer la fresque, l'intersyndicale de la police a déclaré "à ce jour, la confiance entre la municipalité de Grenoble et les policiers de la circonscription est rompue." Ceci en conclusion de la déclaration suivante : "Éric Piolle a refusé d’admettre que l’attitude de sa municipalité accordait une légitimité incompréhensible à une idéologie démagogique et ouvertement fallacieuse. Les policiers font face à une multitude de défis (état d’urgence persistant, cible privilégiée du terrorisme international, conflits sociaux, Euro, affaires courantes) et sont justement les garants des libertés définies par la République. Détourner le sens de leur engagement à des fins politiciennes et polémiques suscite leur incompréhension, voire leur colère, et le rôle de la mairie dans la diffusion de ce message trouble donne une caution morale inacceptable aux groupuscules délinquants qui voudraient profiter du moindre mouvement de foule pour prendre possession de la rue au détriment des citoyens". Et s'il n'y avait "que" la police ... Car c'est entre E. Piolle (Verts/PG) et Grenoble que la confiance est rompue alors qu'il trahit tous ses engagements. Face au désaveu massif, la logique démocratique serait qu'il se représente devant les électeurs.>>> FRESQUE ANTI-POLICE: LA MUNICIPALITÉ PIOLLE DEVRAIT RETOURNER DEVANT LES ÉLECTEURS