Les manifestations ne leur suffisent pas, les gauchistes cassent Grenoble tous les jours. La Chambre de Commerce et d'Industrie (CCI) a été vandalisée. Ces exactions sont quotidiennes, dans le silence assourdissant de la municipalité Rouge/Verte et de certains médias.
Le climat politique délétère que la municipalité Piolle nourrit à Grenoble depuis 2 ans était un terreau idéal sur lequel - comment s'en étonner - ont germé toutes les dérives gauchistes qu'elle a d'abord regardées d'un œil post soixante-huitard attardé (et attendri), et qui maintenant la dépassent.
Mais qui paye les dégâts depuis 2 ans et plus encore ces derniers jours ? Encore et toujours Grenoble et les grenoblois. Pensez vous que l'attractivité de la ville et de son commerce en sorte renforcée?
En plus des manifestations où la casse se fait en grand, il y a la casse quotidienne dont nous sommes seuls ou presque à parler. C'est non stop que les gauchistes cassent Grenoble. En plus de la CCI, quelques rappels des actes de vandalisme quotidiens :
le 18-19 avril place Félix Poulat
un des distributeurs cassés quelques jours avant la manif du 28 avril, ici place Sainte Claire
la veille de la manif du 28 avril place Victor Hugo
LA MUNICIPALITÉ PIOLLE AUX ABONNÉS ABSENTS
Déjà le 31 mars E. Piolle (Verts/PG) avait piteusement dû s'abriter derrière la préfecture et les CRS pour sa protection et celle de la mairie.
Ces jours ci, après deux manifestations à 4 jours d'intervalle (jeudi 28 avril + le dimanche 1er mai !), après toutes les exactions gauchistes qui sont le quotidien de Grenoble depuis un mois, comme si ça ne suffisait pas la municipalité continue de soutenir un nouveau rassemblement à risque devant la CCI.
TOUS MOUILLÉS JUSQU'AUX OS
le 31 mars, soutien à un mouvement qui va montrer son vrai visage
soutien à Nuit Debout après le casse du 31 mars et avant ses suites
Le rôle d'un Maire est "d'apaiser" la ville, pas de souffler sur les braises. Elle s'est engagée dés le départ et a continué de le faire même après le casse historique de Grenoble le 31 mars dernier.
Qu'ils essayent actuellement de se faire discrets même si les dérives actuelles n'ont en rien émoussé leur idéologie, on le comprend aussi. On comprend surtout qu'il faut dénoncer cette tromperie qui voudrait faire croire que la mouvance qui violente Grenoble n'a rien à voir avec cette municipalité. On comprend enfin qu'il est plus que temps que cela cesse et grand temps que le maire E. Piolle (Verts/PG) demande au Préfet l'interdiction des rassemblements à risque pour la ville.
Cela sera très facile à ce dernier du fait de l'état d'urgence....