Après la gare ou les campements sauvage se développent, des riverains nous adressent une image de nouvelles installations quartier Jean Macé dans la presqu'il a proximité du centre social Henri Tarze. On se demande comment les entreprises installées à proximité (Schneider, Siemens) qui doivent déjà subir
l'asphyxie de la circulation de la presqu'ile vont supporter cet environnement ?
Il est à craindre que cette dégradation générale de la ville due
aux appels irresponsables à ces malheureux migrants -qui croient trouver en Grenoble un Eldorado alors qu'ils sont abandonnés à leur sort- ne produise de nouveaux dégâts menaçant encore l'activité industrielle de la ville.