E.PIOLLE NE VEUT NI LA FRANCE NI L’EUROPE
L'incident n'a été sérieusement relevé par presque personne. Seul Benoit Pavan note la scène dans "Le Monde" (17/12/19) : « Pourquoi avoir fait enlever les drapeaux français et européen qui se situaient derrière vous ? », a d’abord interrogé Alain Carignon en s’adressant à Eric Piolle, alors que ce dernier venait de lui accorder la parole pour une question orale. « Je suis le président de séance » a répondu Eric Piolle.
Alain CARIGNON A RELEVÉ UN MANÈGE ÉTONNANT
En effet, le 16 décembre lors de l'ouverture du Conseil Municipal, Alain Carignon a été le seul élu à relever le manège qui agitait le personnel : des drapeaux Français et Européens sont placés derrière le Président de séance dans la salle des délibérations de la Métro. Eric Piolle ne voulait pas apparaître devant eux et -semble t-il- la Métro refusait de leur faire quitter la salle.
LES DRAPEAUX DÉPLACÉS EN BOUT DE TRIBUNE
Mais à 15 h Eric Piolle refusait visiblement d'entrer en séance et de poser à sa place en présence des drapeaux. Un compromis a été trouvé et ceux-ci ont été déplacés en bout de tribune afin que le Grand Timonier puisse enfin présider en Majesté et qu'ils disparaissent de la vue des caméras.
E.PIOLLE REFUSE DE S'EXPLIQUER
Mais en répondant à Alain Carignon " je suis président de séance" -ce que personne n'ignorait- Eric Piolle refusait de s'expliquer. Chacun a bien compris qu'il refusait d'être associé à ces deux appartenances, la France et L'Europe, afin de continuer à complaire à l'extrême gauche, aux anarchistes de tout poil qu'il loge dans des squats municipaux autorisés par Lui.
LE COURAGE LUI A MANQUÉ
Mais l'assumer publiquement, en toute transparence, ne lui a pas été possible. Le courage lui a manqué. Peut être la crainte de perdre quelques suffrages de gogos qui ne le situent pas ou il est sur l'échiquier politique ?
NI FRANCAIS, NI EUROPÉEN
Ni Français, ni Européen, Eric Piolle poursuit bien un travail de sape de tout ce qui est collectif, il poursuit l'exaltation de l'individu-Roi qui produit cette explosion, cette "archipellisation" relevée par les analystes, si dangereuse pour le pays.
MÉPRISANT POUR LES CITOYENS ATTACHÉS à UN DESTIN COMMUN
En ouvrant la séance du Conseil Municipal du 16 décembre Eric Piolle se découvrait à nouveau tel qu'en Lui-même : dominateur et méprisant pour tous les citoyens attachés à une histoire et un destin commun.
UNE MUNICIPALITÉ IDÉOLOGIQUEMENT ULTRA MINORITAIRE
Cet acte symbolique et fort révèle aussi le caractère ultra minoritaire de ce qu'il représente idéologiquement : plus il rencontre l'hostilité des grenoblois, plus il se réfugie dans des postures sectaires et groupusculaires, provocatrices pour la grande majorité des Grenoblois.
L'IRRUPTION D'Alain CARIGNON : VERTUS PÉDAGOGIQUES
L'irruption d'Alain Carignon au Conseil Municipal a pour vertu de faire connaitre toutes les dérives budgétaires, de nombreux manquements municipaux au fil des délibérations et même de façon anecdotique avec l'affaire des drapeaux de nous permettre de comprendre les fondamentaux de Piolle.
A deux mois des élections municipales sa présence comme élu produit des effets pédagogiques considérables. On comprend mieux la haine qu'il déchaine.
Quelle honte cet homme, payé par nos impôts qui se croit tout puissant avec sa bande d’anarchistes en tout genre verts ou rouges. il déteste la France et les Grenoblois. Personne en face, tous des déculottés en face de son despotisme. C’est gravissime pour la France si ce personnage imbu est encore élu..
Lamentable !
On peut en déduire que la photo officielle du Président de la République est absente de son bureau.