E.MARTIN (PG) et la PROSTITUTION  » NOUS ESSAYONS de GÉRER le PROBLÈME PLUTÔT QUE DE LE RÉGLER »

Posted On 7 mai 2016

  Les habitants du quartier Rondeau Libération qui supportent (comme d'autres quartiers ) la présence d'une prostitution en particulier des pays de l'Est ont été estomaqués d'entendre la Première Adjointe chargée de ses questions, Elisa Martin (PG) leur expliquer : "Nous essayons donc de gé­rer le problème plutôt que de le régler"  (DL du 3/5/16) . Elle répondait aux habitants excédés lors de l'Assemblée Générale. Eric Piolle avait, lui , répondu à FR3: " nous travaillons pour que ça dérange le moins possible "(!). << prostitution-a-grenoble-nous-travaillons-pour-que-ca-derange-le-moins-possible-e-piolle-vertspg/ La municipalité Piolle est totalement dans la continuité de la municipalité Destot (PS) qui avait nié le problème. M.Destot avait jugé du haut de son immobilisme  " Grenoble n'est pas une ville de prostitution". << -nest-pas-la-ville-de-la-prostitution-m-destot/ De son côté Jérôme Safar avait répondu aux habitants du bd Foch (qui n'en pouvaient plus eux non plus)  qu'ils devaient faire eux mêmes la police ! Il était, notamment, Adjoint à la sécurité . << prostitution-a-grenoble-pour-j-safar-ps-aux-habitants-de-faire-la-police/ Pourtant le quartier alerte depuis plusieurs mois (années) sur le développement du commerce du sexe dans le quartier qui pose beaucoup de problèmes aux habitants et à leur famille. Rondeau /Libération doit aussi accueillir le camp de Roms installé par la ville au Rondeau. << grenoble-lete-de-la-prostitution/ Bref une accumulation de sujet sur lesquels la municipalité se déclare... impuissante. Eric Piolle a des idées très précises sur la traité Transatlantique et ses conditions, il est également très disert sur la façon dont on vivra, se déplacera dans 30 ans, mais par contre il n'a pas de solutions ni de moyens sur les problèmes concrets des Grenoblois. Pour la solution desquels il a été élu. A entendre la municipalité égrainer les raisons de son incapacité à longueur de réunions , les grenoblois jugent de plus en plus ridicule sa prétention à traiter les problèmes d'après demain.