La friche de l'ex Institut de Géographie Alpine à la Bastille est la honte de Grenoble. Chaque touriste qui emprunte le téléphérique peut admirer le bâtiment tagué, squatté avec ses dépôts d'ordures. Tout Grenoblois qui lève le nez sur la Bastille aperçoit cette verrue abandonnée qui barre la colline.
Depuis des années nos élus impuissants sont incapables de traiter cette question essentielle pour l'image de Grenoble. L'ex bâtiment universitaire a été acquis par un privé auquel serait imposé des conditions si drastiques qu'il renoncerait à son projet. Vrai ou faux ?
Mais Grenoble dispose -parait il- d'un Maire, sorte de phare de l'occident si on a bien compris. Plutôt que de pérorer sans cesse et de multiplier des coups de com' ridicules, ne peut-il pas remplir son rôle et mettre les intervenants autour d'une table afin d'exiger que cesse cette situation préjudiciable à la ville ?
Ou faut il encore attendre 2 ans qu'Alain Carignon se saisisse du problème ?
4 Comments
marco380
Vous dites: « Ou faut il encore attendre 2 ans qu’Alain Carignon se saisisse du problème ? »…
Permettez-moi de vous trouver bien optimiste… Ne jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, sinon ça peut porter malheur.
Regardez l’élection présidentielle de 2017: Hollande décrié, un « boulevard » s’ouvrait pour Fillon… et c’est macron qui a tout raflé… Alors, méfiance.
Bonjour, j’aimerais que vous expliquiez les mots « honte » et « verrue » que vous utilisez pour parler de ces bâtiments qui constituent un patrimoine d’art et un patrimoine scolaire. Ne devrait-on pas valoriser ces œuvres d’art qui accueillent les marques de graffeurs de notre temps ?
Nous ne confondons pas les Tags NIK ta mère et autres ACAB avec les Graffeurs. Pour nous ces bâtiments abandonnés depuis 15 ans sur la montagne la plus emblématique de la ville, qui devrait être à la portée de tous les promeneurs, des familles sont une « honte » en effet. Car se promener devant des déchets, des ordures, des canettes ,des bouteilles ne nous parait pas être le summum de la délicatesse et du goût auquel les grenoblois aspirent . ET pour les touristes qui les survolent en téléphérique ce n’est pas le souhait d’image que nous voudrions leur montrer. Mais on peut se tromper…
Vous dites: « Ou faut il encore attendre 2 ans qu’Alain Carignon se saisisse du problème ? »…
Permettez-moi de vous trouver bien optimiste… Ne jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, sinon ça peut porter malheur.
Regardez l’élection présidentielle de 2017: Hollande décrié, un « boulevard » s’ouvrait pour Fillon… et c’est macron qui a tout raflé… Alors, méfiance.
c’est surtout pour tenter de les faire bouger sur le sujet. Non il ne faut pas vendre la peau de l’ours… c’est pourquoi on se mobilise, aidez-nous
Bonjour, j’aimerais que vous expliquiez les mots « honte » et « verrue » que vous utilisez pour parler de ces bâtiments qui constituent un patrimoine d’art et un patrimoine scolaire. Ne devrait-on pas valoriser ces œuvres d’art qui accueillent les marques de graffeurs de notre temps ?
Nous ne confondons pas les Tags NIK ta mère et autres ACAB avec les Graffeurs. Pour nous ces bâtiments abandonnés depuis 15 ans sur la montagne la plus emblématique de la ville, qui devrait être à la portée de tous les promeneurs, des familles sont une « honte » en effet. Car se promener devant des déchets, des ordures, des canettes ,des bouteilles ne nous parait pas être le summum de la délicatesse et du goût auquel les grenoblois aspirent . ET pour les touristes qui les survolent en téléphérique ce n’est pas le souhait d’image que nous voudrions leur montrer. Mais on peut se tromper…