MANIFESTATION DEMAIN MATIN POUR LE STATIONNEMENT
"Contre la suppression des places de stationnement avenue Jeanne d'Arc et dans tous les quartiers de Grenoble : Place de Metz, Avenue de Vizille, quartiers St-Bruno, Notre-Dame, Place Valentin Hauy, l'accès aux places Ste Claire et Notre Dame..." cette fois les acteurs de la vie économique dépassent leurs particularité d'activités et de géographie. Ils ont compris qu'ils étaient tous menacés.
Ils appellent à un rassemblement devant le siège de la Métropole demain vendredi 8 novembre à 8h, rue Hoche/place André Malraux.
DE FAUX DÉFENSEURS DES COMMERCANTS
Les discours lénifiants des élus répétés par Barbara Schuman, alors commerçante, qui a aidé Piolle a être élu Maire en faisant croire que cette dimension de la ville était prise en compte, ou bien l'immobilisme de certains représentants du commerce, ne sont plus acceptés. De partout la colère monte.
JEANNE D'ARC : 70 % DES PLACES DE STATIONNEMENT SUPPRIMÉES
La brutalité avec laquelle la municipalité applique sa politique bêtement anti-voiture effraie. Les habitants concernés par cette désertification et cette perte de proximité s'en mêlent.
Avenue Jeanne d'Arc, 70 % du stationnement disparaitrait si le projet actuel était mené à son terme. Jean-Noël Pusel, Président de l'Union de Quartier au nom des habitants et Fabrice Debarge pour les commerçants s'y opposent en proposant des alternatives.
AVENUE DE WASHINGTON : REFUS DU RÉEL AVEC LE STADE
Avenue de Washington, en acceptant simplement un stationnement en épi qui permet une meilleure végétalisation, aux abords du stade, dans la partie large de l'avenue, on autorise 50 places supplémentaires qui permettent de faire face à l'afflux lié à l'activité sportive. André Rocher, Maryse Persico, Joseph Noguera qui représentent les habitants des immeubles environnants (Mayflower, Washington, Prélude) se battent en vain depuis 3 ans (!) pour tenter de faire prendre en compte cette réalité. Eric Piolle a même refusé de répondre à Alain Carignon qui l'a questionné à ce sujet lundi dernier au Conseil Municipal. C'est dire.
Place Notre Dame, place Sainte-Claire, la situation est la même. Les fermetures du quartier produisent des effets négatifs considérables. Le marché a été la première victime. Mais désormais tout le monde est touché.
1 RUE TRÈS CLOITRES : UN ARBRE À 30 000 €
De plus la gestion lamentable de l'espace public, des travaux à répétition qui obstruent successivement la rue Voltaire, puis les devantures des magasins aggravent le phénomène : au 1 rue Très-Cloitres, devant le restaurant l'Atmosphère, la chaussée de pavés en très bon état est cassée pour planter... un arbre. Interrogé par Alain Carignon sur le coût de cette opération décidée par la municipalité, Sylvain Laval, Vice-Président de la Métropole l'a chiffrée à... 30 000 €. Pratiquement la moitié du coût d'un appartement à Villeneuve. À cela on comprend pourquoi cette municipalité est bien une municipalité de classe.
RUE ABBE GRÉGOIRE, AVENUE DE VIZILLE ...
Rue Abbé Grégoire 48 places de stationnement devraient disparaitre sur les 90 existantes, 47 avenue de Vizille sur les 70. Après 2000 places supprimées dans la ville et le projet de disparition du parking de dissuasion de l'esplanade.
UN "ATELIER DU STATIONNEMENT" PERTURBÉ PAR LE RÉEL
Fidèle à elle-même, la municipalité vient donc de lancer "les ateliers du stationnement" (!). Prenant les Grenoblois pour des imbéciles. Mardi soir à la Maison des Associations un certain nombre de représentants d'habitants et de commerçants sont intervenus à cet "atelier" : Jean-Noël Pusel, Président de l'Union de Quartier Abbaye, Olivier Curto, Président des commerçants de la place Sainte Notre Dame, Claude Matencio, Président d'une association de commerçant de la vieille ville, Fabrice Debarge, Président des commerçants de l'avenue Jeanne d'Arc, Jocelyne Roubaudi, de l'Union de Quartier Abbaye...
POUR UNE COHABITATION DES MODES DE DÉPLACEMENT
Tous ces intervenants l'ont fait avec beaucoup de respect et de modération, réclamant seulement que l'avis des habitants soit pris en compte, plaidant pour une cohabitation harmonieuse des modes de déplacement et que tous les paramètres soient pris en compte. "L'atelier" était donc perturbé par le surgissement du réel.
UN CADRE DE L'ADTC "TIRÉ AU SORT"
Il s'est trouvé malheureusement un cadre de l'ADTC, Philippe Zanolla, opportunément "tiré au sort" par la municipalité, pour tenter d'empêcher cette expression. Se pose peut être maintenant, dans ce type de fausses instances mises en place pour cacher l'essentiel, la question des conflits d'intérêts. Des "tirés au sort" dont l'association est fortement subventionnée par la municipalité, prestataire de services pour elle, face à des citoyens démunis, sans subvention, qui veulent barrer l'expression de grenoblois. Sont-ils en mission commandée ?
LA SECTE VERTS/ADES ET LES ÉLUS LFI VERROUILLENT
Le pluralisme a besoin d'être rétabli à Grenoble. La culture de type totalitaire des élus Rouge/Verts grenoblois, avec un noyau dur constitué par LFI et la secte politique dominante des Verts/Ades de Raymond Avrillier, s'est imposée. Leur organisation groupusculaire a tout noyauté selon les méthodes Trotskystes. Cette tentative d'étouffement trouve ses limites après 10 ans. L'appel d'air des grenoblois est très fort.
UN ESPACE S'OUVRE AVEC LA GUERRE PIOLLE CONTRE FERRARI
La manifestation de demain matin devant la Métropole est le cri de ceux qui appellent à retrouver un peu d'humanité et de bons sens dans la gestion. Dans l'état des rapports Ferrari/Piolle, après la nouvelle violente charge du second contre le premier lundi au Conseil Municipal, un espace s'ouvre peut être pour que ces citoyens soient entendus.
C.FERRARI ET S.LAVAL VONT-ILS DEMEURER COCUS ET CONTENTS ?
Christophe Ferrari et son Vice-Président aux déplacements, Sylvain Laval, vont-ils continuer à coller aux positions extrémistes de la municipalité en finançant sans réflexion leur projets fous ? Alors qu'ils sont accusés de desservir les intérêts de Grenoble, de conduire une Métropole qui "n'est ni équitable, ni solidaire" qu'il faudrait "dissoudre" ?
UNE BASE SE MOBILISE, LASSE D'ÊTRE MALTRAITÉE ET MÉPRISÉE
L'irruption des citoyens et de la société civile dans le débat change la donne. Ce à quoi appelait inlassablement le groupe d'opposition d'Alain Carignon se produit : devant l'accumulation de l'autoritarisme municipal, une base se mobilise, lasse d'être maltraitée et méprisée.
Quoi qu'on pense du nouveau Président Américain, l'issue des élections dans ce pays démontre que la volonté d'imposer - à tort ou à raison - par tous les moyens, un mode de vie à une population avec l'appui des médias, sans prendre en compte les attentes de la population, peut se terminer électoralement assez mal.
Tout cela se résume par l’expression américaine « no parking, no business »
Que diraient les piollistes si on remplaçait toutes les places pour ranger les vélos par des arbres ?
Quel plan B les piollistes proposent-ils pour que les artisans et les livreurs transportent leur matériel et leurs marchandises sans véhicule ?
Quel plan B les piollistes proposent-ils pour les personnes qui ont des difficultés à marcher ?
Quel plan B les piollistes proposent-ils pour les ambulanciers qui doivent transporter des patients avec un brancard ?
Quel plan B les piollistes proposent-ils pour sa clientèle électoraliste de gens modestes qui n’a pas les moyens de se payer un garage ? Idem pour les riverains ?
Quel plan B les piollistes proposent-ils pour maintenir l’activité ses commerces locaux ?
Quand donc notre Melon d’Or -figé sur ses dogmes- étudiera-t-il les conséquences de ses lubies et les solutionnera-t-il au mieux ?
Les décisions de monsieur le maire ne servent que ses propres intérêts Grenoble est devenue une ville où on ne peut plus circuler en voiture les modifications de circulation entraînent toujours plus de bouchons et déplacent la pollution et ne règlent rien du Pipo d’extrême gauche qui dépensent de L’argent des grenoblois et les décisions du roi n’ont aucun effet sur la pollution.qTois les grenoblois n’ont pas un vélo électrique au minimum à 1500 €tous les grenoblois n’ont pas les moyens de s’offrir un vélo alors que les élus de la majorité gagnent grassement leurs vies à pourrir celle des grenoblois et de les empêcher de gagner leur vies une bande de champions monsieur le maire en tête de liste qui prend la voiture de sa belle mère à voir on et qui se montre dans les médias en vélo à Grenoble dans 16 mois nous le reconduirons à l’entrée de la ville il doit comprendre qu’on ne souhaite plus le voir dans notre ville
Concernant l’arbre à 30000€, est-ce un copain du Maire qui a encaissé cet argent ?
Concernant les places supprimées autoritairement (selon la « con-construction piollesque), ça nous coûte combien ?
La ville est bien « en transition »… vers la dictature et l’invivable.
Un reportage fouillé sur Portland, Oregon, à mis en évidence beaucoup de similitudes avec Grenoble.
Considérée comme LA ville américaine de gauche, bobo, libertaire,, woke, pro vélo… toujours à
la pointe du progressisme societal, elle sombre brutalement.
Les commerces de centre-ville ferment les uns après les autres, des zombies défoncés occupent les rues (la consommation de drogue y est dépénalisée), les habitants qui le peuvent déménagent, les bidonvilles prolifèrent… mais les autoroutes à vélos sont rutilantes !
Toute ressemblance avec la « capitale verte européenne 2022 » est purement fortuite, bien sûr…