ET PIOLLE CRÉA CHICAGRE …

"Le surnom de "Chicagre", contraction de Grenoble et Chicago dont a hérité la ville ces dernières années est difficile à faire oublier" écrit Thomas Pueyo (Aujourd'hui en France, 20/8/24) dans un dossier sur l'insécurité à Grenoble. De son côté le Procureur de la République, Eric Vaillant, avoue dans le même journal "je n'avais pas vu ça depuis mon arrivée à Grenoble". Pourtant, avant de partir, son prédécesseur  Jean-Yves Coquillat avait déclaré : "je n'ai jamais vu de ville aussi pourrie et gangrenée". En quelques années, Eric Piolle aura installé une délinquance qui était marginale au centre et à tous les points névralgiques de la ville, créant une ville nouvelle cité, Chicagre. 

GRENOBLE FAIT LA UNE POUR DE MAUVAISES RAISONS

Grenoble fait à nouveau la "Une" pour de mauvaises raisons. La publicité faites à la capitale des Alpes efface toutes les campagnes de promotion que les collectivités pourraient engager. On tire, on menace, on frappe, on règle des comptes, aucun quartier n'est épargné. La population qui doit vivre avec rase les murs, prend toutes les précautions possibles.

UNE MÉRE DE FAMILLE ÉVITE UN ARRÊT DE TRAM

Une mère de famille raconte (Aujourd'hui en France 20/8/24) qu'avec sa fillette, elle évite un arrêt de tram qu'elle sait proche d'un point de deal dangereux. À Mistral des personnes âgées ont expliqué à Alain Carignon qu'elles demandaient à leurs enfants de venir les voir le moins souvent possible.

"LE PLUS GONFLÉ ? LES COPAINS D'EN BAS..."

Dans le même journal Yves est révolté : "ce que j'avais trouvé encore plus gonflé, c'est cette affiche de pièce de théâtre soutenue par la municipalité appelée "les copains d'en bas". Comme si ça devait être normal, sympathique. Non ça ne l'est pas. Les gens se font agresser dans les cages d'escalier où se vend la drogue, ils ont peur de monter chez eux".

Cette campagne de la municipalité afin que les grenoblois tolèrent la délinquance en dit long sur sa complicité passive avec la gangrène qui envahit tout.

Francoise Laborde et Judith Wintraub, journalistes, analysent la responsabilité de Piolle dans la montée de la délinquance à Grenoble

LES MÉDIAS S'EMPARENT DE GRENOBLE

France 2, les chaines infos, la presse quotidienne traite largement de "Chicagre" malgré l'actualité politique chargée et le décès d'Alain Delon qui l'occupe. C'est dire si cette insécurité endémique fait du mal à la ville.

LE PROCUREUR : RIEN SUR LA RESPONSABILITÉ DE LA MUNICIPALITÉ

On comprend le Procureur Eric Vaillant qui détaille les moyens mis en oeuvre pour lutter contre les trafics, y compris par le biais de la Caisse d'Allocation Familiales : l'argent gagné illégalement est réintroduit dans les revenus permettant de supprimer les allocations. Mais, étrangement, un grand absent n'est pas mis en cause : la municipalité. Ce qu'on avait également constaté quand les deux protagonistes se trouvaient cote à cote à St-Bruno. Rien sur le centre de l'ultra-gauche installé par la municipalité rue d'Alembert qui fait tant de dégâts dans Grenoble avec des adhérents qui cachent leur identité. Rien sur l'absence de PC opérationnel, de caméras, de police municipale armée.

 PIOLLE ET SES AFFIDÉS FERMENT LES YEUX SUR LES DEALERS ET L'ARGENT

Le citoyen n'est pas le grand gagnant de l'opération, qui ne peut pas comprendre qui est responsable de quoi. Car la suite logique d'une condamnation ou d'un changement de niveau de revenus devrait être l'expulsion des HLM comme le font certaines municipalités. Or Eric Piolle et ses affidés (Klauss Habfsat président de Grenoble-Habitat et Pierre Bejjaji Président d'Actis) qui président les offices HLM après lui, continuent à fermer les yeux.

ENCORE UN ÉTUDIANT ROUÉ DE COUPS LUNDI

Pour l'étudiant roué de coups ce lundi 19 août en étant suivi jusqu'au campus, ce mode opérationnel a déjà été utilisé par des jeunes du camp du Rondeau créé par la municipalité de Grenoble. Quatre étudiants en avaient été victimes allant jusqu'au traumatisme crânien. La municipalité n'a jamais répondu pour faire savoir si elle avait pris des sanctions à l'égard de ceux qu'elle accueille, nourrit et loge. L'étudiant quittera-t-il Grenoble avant la rentrée comme les autres agressés diffusant chez lui une image détestable de la ville ?

LA JOURNALISTE J. WINTRAUB POINTE LES APPELS DE PIOLLE AUX MIGRANTS

À chaque étape de la progression de l'insécurité la responsabilité de la municipalité est engagée. Quand le grand reporter Judith Wintraub rappelle les appels aux migrants lancé par Eric Piolle au Montgenèvre afin qu'ils traversent les frontières, elle pointe sa démagogie. Mais ce sont les grenoblois qui en supportent les conséquences.

L'OPPOSITION VEUT EN APPELER à LA MAJORITÉ MUNICIPALE

Devant cette aggravation le groupe d'opposition (Alain Carignon, Brigitte Boer, Nathalie Béranger, Charah Bentaleb, Cherif Boutafa, Dominique Spini) devrait intervenir aujourd'hui lors d'une conférence de presse pour en appeler à la majorité municipale.

LES ÉLUS NE PEUVENT PLUS IGNORER LES RISQUES POUR LES GRENOBLOIS

Eric Piolle étant sur le départ et désormais empêtré dans les affaires qui vont empoisonner sa fin de mandat, l'opposition espère que des membres de la majorité municipale vont mesurer l'étendue du désastre, les risques encourus par les grenoblois et les dommages irrémédiables que subit Grenoble.

On voit mal en effet comment tous les élus pourraient continuer à se voiler la face et répéter des éléments de langage qui n'ont plus aucun rapport avec la réalité. Comment ne pas croire à un sursaut de la part d'élus se libérant de l'emprise d'un système dont ils voient les résultats si inquiétants ?

"LES INFORMÉS" : LES COULISSES DE LA VIE GRENOBLOISE !

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