LYNCHAGE D’UN ÉTUDIANT PAR DES FAMILLES LOGÉES PAR LA MUNICIPALITÉ

Deux « jeunes » ont lynché un étudiant de 19 ans la semaine dernière pour lui voler son téléphone portable. La victime est restée entre la vie et la mort pendant plusieurs heures après avoir été rouée de coups, au point d’être plongée dans le coma. 

"Trois jeunes gens sont sortis subitement d’une Citroën C4 et ont fondu sur lui, le rouant de coups pour lui arracher son téléphone, le faisant chuter à terre et continuant à s’acharner sur lui lors d’une scène de lynchage épouvantable, alors même qu’il avait déjà perdu conscience" raconte Denis Masliah (DL du 14/9).

L'AMÉLIORATION DE L'IMAGE DE GRENOBLE À L'EXTÉRIEUR

Arrivé à Grenoble quelques jours auparavant, ses parents sont venus immédiatement à l’hôpital et on imagine qu’ils repartiront à Bourgoin-Jallieu, leur ville d’origine, avec leur fils avec un traumatisme profond et vont améliorer l’image de Grenoble à l’extérieur. Le "Dauphiné" (16/9/23) a précisé que les deux sauvages, déjà connus pour des délits, appartenaient à des familles d’origine roumaine, logées au Village Olympique et à la Villeneuve dans nos HLM.

SIX AUTRES ÉTUDIANTS ONT SUBI CES VIOLENCES...

Ce mode opératoire a déjà fait 6 autres victimes étudiantes. En 3 mois, 6 étudiants ont été attaqués violemment selon le même mode opératoire à savoir en étant suivis le soir dans le tram au moment où ils rentraient sur le campus a révélé le DL (9/6/16). Chaque fois roués de coups, frappés systématiquement au visage alors qu’ils étaient à terre. Deux victimes sur 6 ont perdu connaissance et ont subi un traumatisme crânien.

... PAR DES FAMILLES LOGÉES PAR LA MUNICIPALITÉ

Les agresseurs rentraient le soir après leurs forfaits pour rapporter leur butin au camp du Rondeau ou ils vivent logés par la municipalité : 200 000 € pour les chalets et de l'ordre de 60 000 € par mois pour le fonctionnement et 30 000 € pour les animations. Comprennent-elles des cours de civisme, de civilisation ?  Le lien entre les choix de peuplement avec le « logement inconditionnel » répété par Eric Piolle et la délinquance est ainsi chaque fois directement établi.

DU VILLAGE OLYMPIQUE ....

Il ne s’agit de "stigmatiser"  personne mais de constater les dégâts. De constater qu'à aucun moment la municipalité ne tire la conséquence de ces faits pour agir auprès de ces familles. Il suffit de marcher rue Lionel Terray au Village Olympique et d’observer ce que sont devenues certaines terrasses, les types d’attroupements devant les mêmes immeubles qui privatisent l’espace public pour leurs propres activités liées à leur culture d’origine pour comprendre que rien n’est fait pour l’intégration.

... À MALHERBE, LA GHETTOÏSATION FAIT DES DÉGÂTS

La même observation peut être effectuée dans nombre de quartier de la ville. Il suffit de se rendre place Charles Dullin à Malherbe pour côtoyer un autre monde. Les primo arrivants africains logés-là se regroupent à plusieurs familles tandis que les familles de l’est transforment les ex-jardins en circuit pour leurs véhicules, les parkings deviennent des ateliers de réparations à ciel ouvert, les déchets jonchent le sol, les ordures débordent.

LES DRAMES SE MULTIPLIENT

Le lien entre les campements sauvages mis en place par les mafias et le logement social accordé à leurs occupants par la ville, créant une filière ininterrompue, aboutit à cette ghettoïsation des quartiers qui s’étend à toute la ville. Non sans drame comme on le voit avec le massacre de ces étudiants. Ni même le drame dans les camps eux-mêmes : rue des Alliés la mafia avait mis le feu au bidonville installé sur un terrain municipal parce qu'un « locataire » n’avait pas pu payer son « loyer » de 500 €/mois pour sa cabane.

LE CONTRIBUABLE PAIE LA NOTE ÉLEVÉE

Le sinistre n’a pas fait de victimes humaines, seulement le contribuable grenoblois puisque l’entreprise Richardson qui a brûlé en partie s’est retournée contre le propriétaire du terrain. Eric Piolle a dû provisionner … 6 millions d’euros dans le budget 2023 pour indemniser Richardson.

E. PIOLLE REFUSE DE PORTER PLAINTE CONTRE LES MAFIAS

Dans le cas du campement du Clos d’Or, ce qui devait arriver arriva : le 19 septembre un jeune enfant de 2 ans du bidonville qui jouait a été percuté par un véhicule au milieu du parking. Les secours sont intervenus et les familles traumatisées. Les riverains alertent en vain la municipalité sur la situation insupportable. Le mécanisme est toujours le même. Au lieu de régler le problème à l’arrivée de la première tente, Eric Piolle laisse grossir le camp jusqu’au moment où il faudra y mettre fin en logeant tout le monde dans les HLM. Sachant cela les filières mafieuses continueront leurs trafics de la misère en empochant les bénéfices. Alain Carignon a demandé en vain à Eric Piolle de porter plainte puisqu’il s’agit de terrains municipaux, de se porter partie civile pour les poursuivre. En vain.

EN ÉCHANGE DE SA SOLIDARITÉ LA COLLECTIVITÉ PEUT EXIGER DES DEVOIRS

Dans ce domaine comme dans les autres, les élus Rouge/verts ne sont que posture. S’ils voulaient accueillir toute la misère du monde ils devraient accompagner l’intégration. L’apprentissage de nos mœurs, de nos valeurs, de notre mode de vie afin de donner une véritable chance à ses familles. Demander des comptes aux responsables des familles logées par la ville au Rondeau, au Village Olympique et à Villeneuve sur les agressions violentes conduites par leurs adolescents. Elles ignoraient leur départ la nuit ? Leurs ressources ? La solidarité ne peut pas ignorer la responsabilité. En échange de sa générosité la collectivité est en droit d’en exiger un minimum de devoir envers elle.

LES GRENOBLOIS MODESTES ET LA CLASSE MOYENNE PREMIÈRES VICTIMES

Toute cette politique est évidemment mise à la charge des plus modestes, de la classe moyenne. Les premiers cherchant à fuir les quartiers insupportables, les seconds à vendre leur bien devenu sans valeur. Les uns et les autres étant le plus souvent dans une nasse infernale dont ils ne peuvent sortir. Relevons que, par un heureux hasard,aucun élu ne doit supporter à coté de son appartement ou dans le jardin de sa villa l’arrivée d’une famille de ce type ou d’un campement.

"CETTE AUGMENTATION RELÈVE DE LA SPOLIATION"

Cette situation est ressentie avec de plus en plus d'acuité douloureuse en particulier par les propriétaires qui reçoivent la douloureuse des 32 % d’augmentation d’impôts. « Grenoble, le Changement » reçoit la copie de certaines missives adressées à Eric Piolle qui reflète à la fois une colère et une prise de conscience. "Cette augmentation relève de la spoliation des propriétaires.. cela représente pour moi 3 mois de loyer, et je me pose la question de savoir si je dois garder ce bien ou le vendre.Mais le vendre, dans ces conditions relève de la gageure". écrit l’un d’eux.  

"VOUS AVEZ SEMÉ LE CHAOS, VOUS NE TROUVEZ QUE LA FUITE..."

Tandis qu’un autre lui lance : "Maintenant que vous avez semé le chaos, vous ne trouverez rien de mieux que la fuite pour ne pas assumer vos responsabilités, vous êtes un lâche, Monsieur PIOLLE! Quand vous serez à RIO DE JANEIRO, avec votre délégation, faite pour moi un voeu auprès du "Christ rédempteur" pour qu'il nous débarrasse de vous. A, j'oubliais, je ne savais pas que la fonction de maire pouvait s'exercer par un contrat en alternance avec des stages d'immersion".

PIOLLE : "JE VEUX ME NOURRIR DE LA RÉALITÉ DU QUOTIDIEN DES GRENOBLOIS" (!)

Face à la bronca, au lieu d’adapter sa politique au réel afin de stopper la dérive sociale et financière de la ville, Eric Piolle a confirmé par tweet (!) qu’il ne se représenterait pas afin de tenter de faire baisser la pression. Mais, fidèle à lui-même, à son absence de toute empathie et psychologie, il trouve le moyen d’ajouter : « je veux me nourrir de la réalité du quotidien des Grenoblois pour garder un temps d’avance » (!).

On imagine bien qu’il n’est plus conseillé par personne. Il n’a plus de garde fous, le mot s’appliquant en l’occurrence quasi littéralement.

L'EPHAD ANDRÉ LÉO À GRENOBLE DEMANDE DU RENFORT DE PERSONNEL

Comment annoncer à la presse nationale (en fait RMC) qu’il va quitter Grenoble plusieurs mois par an pour découvrir un Ephad alors qu’il lui suffirait de se rendre à l’Ephad André Léo à Grenoble, où le personnel mécontent lui demande du renfort de personnel, qu’il va se rendre dans un centre déchets on ne sait où, alors qu’avec Athanor il peut constater les retards pris dans le domaine du tri depuis 2014 que ses amis gèrent ce dossier et en même temps assurer les grenoblois qu’il partage leur quotidien ? Au moment où il confirme qu’il ira bien passer un séjour à Rio de Janeiro en novembre – période au climat béni -  pour un très fumeux observatoire de la démocratie locale.

UNE ACTION CONTRE "LA MISE EN DANGER D'AUTRUI"

Jamais peut-être à ce degré l’opposition entre les professions de foi du Maire et les effets de sa politique n’aura été aussi élevée. Comme un mur de plus en plus infranchissable qu’Eric Piolle élève lui-même à chacune de ses interventions. Mais avec les drames répétés de ces étudiants massacrés, ajoutés à ces agressions en série dont l’origine résulte de choix municipaux, l’étau se resserre : dans le cas du Clos d’Or les riverains voudraient engager une action contre le Maire pour "mise en danger de la vie d’autrui".

Bientôt, ne serait-ce pas tout Grenoble qui devra faire de même ? On comprend pourquoi Piolle confirme dès maintenant qu’il ne se représentera pas dans 3 ans. Les grenoblois devront chasser sa remplaçante comme s'il s'agissait de lui. Avec du goudron et des plumes ?

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