Cette fois, c’est entre Teisseire et la Bajatière. Il n’y avait pas de raisons que la névrose anti arbres des rouges/verts ne s’abatte pas sur ce quartier aussi, sur la rue Jean Bart pour être précis.
10 ANS DE POLLUTION EN PLUS, CHAQUE MOIS DES ARBRES EN MOINS
Aux élections municipales de 2014, qui aurait voté pour Piolle s’il avait annoncé
10 ans de pollution en plus par rapport au Plan de Protection de l’Atmosphère qu’il avait l’entière responsabilité de respecter ? Qui aurait glissé son bulletin dans l’urne en sachant qu’il s’agissait d’un chèque en blanc pour raser les arbres en masse ?
UN SEUL DE CES ARBRES ABATTUS REPRÉSENTE PLUS QUE TOUS CEUX PLANTÉS PLACE GRENETTE
Les branches de ces arbres abattus étaient deux fois plus grosses que les arbustes qu’
Eric la main verte fait planter,
quand ce ne sont pas seulement des brindilles. Il en faudrait 20 ou 30 pour compenser un seul de ces grands sujets massacrés. Quatre ont été abattus, l’équivalent en tout d’une centaine d’arbustes. Il n’y a que dans
la com’ grossière de Gre.mag que chaque brindille mise en terre compte autant qu’un arbre âgé de cinquante ou cent ans.
MAIS OÙ CELA VA-T-IL S’ARRÊTER ?
En nombre d’arbres passés à la tronçonneuse, seul Eric Piolle sait où mènera sa frénésie. Mais en temps, c’est le devoir envers Grenoble de chaque citoyen d’y mettre un terme en 2020, définitivement.
Il faut espérer d’ici là que le cauchemar ne continuera pas à devenir réalité et que
les platanes de l’Esplanade n’auront pas tous été liquidés, remplacés par du béton, cet instrument piollitique qui paupérise la ville pour acheter des électeurs au prix d’une affolante délinquance. Quand on sait que
« l’écoquartier » de la Presqu’île (!) compte seulement 1 m² d’espace vert par habitant, on constate à quel point rien ne les arrête.
L’ombre des arbres , n’est pas dans l’objectifs de VIE à GRENOBLE …… reste alors , l’ombre d’un doute …..