CENTRE VILLE: DEVANT LA COLÉRE LES ÉLUS VERTS/PG QUITTENT LA SALLE
Posted On 26 avril 2018
Pour Place Gre’Net : » gros clash lors de l’AG des Habitants.Dialogue rompu. Les 6 élus présents quittent l’amphithéâtre en solidarité avec Lucille Lheureux qui se faisait huer par la salle
sur la photo de Place Gre’Net Les élus Verts/PG Jacques Wiart, Antoine Back, Pierre Mériaux passent un mauvais quart d’heure, Antoine Back affichant son mépris pour le mécontentement
ce matin à 10 h passage de la rue montorge vers le jardin de ville: c’est la grasse matinée de Nuit Debout
" Je ne voulais pas venir, je m'en vais" a lâché Lucille Lheureux l'Adjointe ( Verts /PG) chargée de "l'espace public" hier soir à l'Assemblée des habitants du centre ville. Elle n'en pouvait plus des broncas, des rires, de la colère qu'exprimaient les grenoblois . Arrivée en retard elle a fui les questions et le mécontentement sous les huées ne pouvant plus répondre.
Eric Piolle s'était lâchement fait excuser à la dernière minute n'ayant pas osé affronter les habitants: il est plus facile de pérorer devant les médias avec ses théories fumeuses que de se coltiner le quotidien des grenoblois. Il achève son mandat en fuyant ses concitoyens.
Les élus présents Antoine Back, Jacques Wiart, Pierre Mériaux, Keira Capdepon, Vincent Fristot et Pascal Clouaire ont suivi dans la retraite honteuse L.Lheureux ne sachant plus que dire -eux non plus- aux habitants excédés.
J.WIART ( Verts/PG) : "CONTINUEZ à NOUS ALIMENTER, NOUS SOMMES PRENEURS "(!)
Depuis leur arrivée le feu roulant des questions auxquelles ils répondaient par les dogmes avait créé une ambiance électrique. François Tarantini, Sébastien Tomasella, Serge Prudhomme, Anthony Moulin Frédéric Tosques membre du collectif et habitants du quartier assistaient à l'assemblée générale et n'ont pas eu à intervenir.
Car face aux exemples de piétonisation ratée et du danger de la suppression des feux pour piétons , avec des cas précis, des petits films démontrant la dangerosité , les réponses de Jacques Wiart ont été reçues comme de véritables provocations: "continuez à nous alimenter, nous sommes preneurs, le piéton est prioritaire, nous avons une autre culture de l'automobiliste en ville" .UNE HABITANTE: " LE CHANGEMENT de MENTALITÉ C'EST DU BARATIN, ARRÊTEZ LA LANGUE de BOIS "
Une habitante lui lançant: " le changement de mentalité, une autre culture, c'est du baratin, arrêtez la langue de bois " . Le principe de réalité n'effleure par Jacques Wiart élu doctrinaire qui répond au vécu par des éléments de langage. ça fuse du côté des habitants;
Un grenoblois:" une ville sans feu, comment traverser ?"
J.Wiart : "Il faut agir avec mesure" (!)
Réponse du grenoblois : "Prenez un fauteuil et allez-y avec mesure..."
Un autre: "votre discours est difficilement audible ! depuis 2/3 ans, la ville n'a jamais été aussi sale, les cyclistes aussi violents"
Et encore: "alors que j'étais sur un trottoir, les bras chargés, je me suis trouvé face à un cyliste à qui j'ai esquissé une remarque, celui ci m'a asséné un coup de poing ! Je suis allé déposer une main courante mais rien n'a changé"
Un troisième: "J'ai du me faire poser une prothèse de hanche des suites d'un heurt avec un cycliste"
Olivier BERTRAND ( Verts/Ades) FAIT UN DOIGT D'HONNEUR à UNE GRENOBLOISE
Et le triste Jacques Wiart prenant les grenoblois pour des idiots de répondre " S'il y a des erreurs, dites le nous ". Aggravant l'animosité de la salle. Au lieu de prendre en compte les habitants c'est même Keira Capdepon qui démontre une fois de plus que l'opération des faux "réseaux citoyens" est une escroquerie. Censée émaner d'eux, elle se fait la porte-parole d'un clan par une sémantique sectaire, tentant de stigmatiser les automobilistes en les accusant de stationner sur les passages protégés . Ce sont eux qui créent les difficultés!
Elle s'entend répondre par une responsable de l'Union de Quartier " non, madame, les voitures roulent".
Tandis qu'une autre lance: " alors que je faisais remarquer à Olivier Bertrand qu'il traversait à vélo une terrasse de café, celui-ci m'a fait un doigt d'honneur " . L'élu Verts/Ades démontrant à nouveau sa considération des grenoblois.
LE "PLAN POUR L'HORIZON 2030 " PROVOQUE L'HILARITÉ GÉNÉRALE
Jacques Wiart a également provoqué l'hilarité générale en essayant d'évoquer "le plan pour l'horizon 2030". Plutôt que de pleurer en effet les grenoblois préfèrent en rire. Les éléments de langage de la municipalité sont totalement déconsidérés et ne concernent plus que quelques médias qui ne mettent pas les pieds à Grenoble. Ceux qui tiennent encore ce discours déconnecté sont de plus en plus la risée des habitants qui ne s'y trompent pas.
L'échange avec Lucille Lheureux sur le "mobilier urbain" de la rue de la République aura été un moment d'anthologie.Les habitants protestants contre le bruit, les nuisances , l'occupation illicite des bancs ( y compris rue Lafayette) . " nous devions être consultés et on nous l'a imposé sans aucune concertation, 3 Unions de Quartiers ont demandé qu'il soit retiré, rien.. " ont ils lancé.
Le mobilier urbain que tous les quartiers réclament selon Lucille Lheureux…
Dès 1987 (!) les bancs de qualité de la municipalité Carignon avaient prévu des accoudoirs afin de les rendre utilisables seulement par les personnes qui ont besoin de s’assoir . Mais il est vrai qu’elle ne prétendait pas avoir un plan pour 2018…
L.LHEUREUX ( Verts/PG) FUIT LA SALLE SOUS LES RIRES
" c'est un mobilier test mais d'autres quartiers le veulent " a lancé toujours provocante la malheureuse Lucille Lheureux.
Réponse du tac au tac: "Je passe tous les jours par la rue de la République, est il possible d'organiser ce déménagement " en faveur des quartiers qui les réclament. C'est devant les applaudissements massifs à cette habitante et sous les rires et les huées que Lucille Lheureux a fui la salle hostile.Il faut reconnaitre que toutes les limites du sectarisme, de l'incompétence et du déni de réalité avaient été franchies.
LES GRENOBLOIS: UN DOMMAGE COLLATÉRAL POUR LES ROUGE/VERTS
Son abandon suivi de tous les élus présents aura marqué le début de la fin de la municipalité Piolle. En le justifiant par " j'ai un enfant" mais en ajoutant surtout " je ne voulais pas venir, je m'en vais" l'Adjointe a révélé le fond de la pensée municipale. Les Rouge/Verts ne veulent ni dialoguer ni convaincre, encore moins se concerter avec les grenoblois. Les inconvénients pour ces derniers est un dommage collatéral sans importance par rapport à l'essentiel: leur doctrine. Les habitants sont même devenus gênants.
ILS S'ACCOMMODENT de PLUS EN PLUS MAL de MIMER la DÉMOCRATIE
Venir leur parler est un superflu insupportable puisqu'ils ne sont pas à la hauteur du bonheur que l'avant garde éclairée leur prépare. Ils s'accommodent de plus en plus mal de faire semblant de mimer la démocratie. Tous leurs subterfuges ( conseils citoyens "indépendants" , budgets participatifs, votation...) ayant volé en éclat, ils sont démunis.
Au fur et à mesure que leurs échecs sont patents et produisent des conséquences visibles (pollution, pertes massives d'emplois , embouteillages, malpropreté, insécurité , économie en crise, attractivité en berne) ils se raidissent, se recroquevillent sur leurs certitudes et leur noyau dur.
EXTRÊME GAUCHE, MÉTHODES GROUPUSCULAIRES, CULTURE TOTALITAIRE: EXPLOSIF
Le doigt d'honneur d'Olivier Bertrand, le " je ne voulais pas venir , je m'en vais " de Lucille Lheureux, la reculade d'Eric Piolle face à l'assemblée des habitants sont de même nature. Révélateurs du vrai visage de cette municipalité dont les fondements sont ceux de l'extrême gauche, les méthodes celles du groupuscule Avrillier/Comparat et la culture d'essence totalitaire. Ils ont menti aux grenoblois.
Jamais l'alternative ouverte, l'intervention de la société civile dans celle-ci telle que les collectifs de citoyens ont lancée avec Alain Carignon et qui rencontre tant d'échos positifs, n'a été plus naturelle et plus indispensable à Grenoble.
Nos élus veulent les avantages de leurs fonctions,
mais pas les inconvénients.
Le genre « responsable mais pas coupable »…