L’EXTRÊME GAUCHISME NON STOP À GRENOBLE SE RETOURNE CONTRE PIOLLE
Posted On 13 juillet 2016
HARO SUR LES BANQUES
Pendant les municipales, E. Piolle (Verts/PG) et Yann Mongaburu (Verts/Ades) avaient accusé les banques d'être sales. Ils avaient pour le dire symboliquement lavé les vitres d'une banque devant les caméras. Toujours devant caméras, E. Piolle, E. Martin (PG) et R. Avrillier avaient aussi inauguré une rue BNP Paribas pour "protester contre l'emprise des banques". Messages reçus 5/5 comme on l'a vu et revu à Grenoble depuis le premier casse par l'extrême gauche, celui du 31 mars. Messages dont le CIC Iberbanco du cours Berriat a de nouveau subi les conséquences pour la deuxième fois.>>> LES GAUCHISTES MASSACRENT GRENOBLE ENCORE ET ENCORE !
Comme si ça ne suffisait pas, la municipalité en ajoute en s'en prenant aux bibliothèques et aux maisons de quartier, à la santé scolaire et à la sécurité des enfants à la sortie des écoles!
HARO SUR LES CAMÉRAS
Le discours anti caméras du clan municipal de E. Piolle n'est pas nouveau. Il est bien connu de tous et évidemment en tout premier lieu des délinquants. Alors que depuis des mois Grenoble subit la casse, dans sa grande finesse d'esprit Corinne Bernard (Verts/Ades) en a remis une couche bien épaisse lors de son "street art fest", avec une fresque paranoïaque sur un bâtiment Métro-Vélo à la Gare. Car bien sûr la menace ce sont les caméras, pas la délinquance et le terrorisme. Juste à côté la fresque anti police délivrait quasiment le même message : la liberté menacée par la police, pas par les casseurs ni par les terroristes.>>> « AGGLO APAISÉE »: + 63 % DE DÉLINQUANCE À GRENOBLE PAR RAPPORT AUX VILLES COMPARABLES
Message reçu 5/5 là aussi comme on peut le constater place Victor Hugo, et Bd Gambetta pour la banque Palatine qui elle aussi avait déjà eu ses vitres défoncées en mars.VRAI ROUGE ET FAUX VERT
Place de la Gare ces deux fresques viennent d'être démolies mais le message ultra gauchiste insufflé par la mairie s'est bien sûr imprimé plus profond encore dans certains esprits. De même que celui du mépris des arbres, deux tilleuls ayant été abattus le même jour sur cette même place de la Gare. Unité de lieu, unité de temps, unité d'action pour deux messages qui ne sont pas de la tragédie théâtrale classique mais la réalité d'aujourd'hui à Grenoble. Une réalité aux couleurs vrai rouge et faux vert du clan municipal.>>> E. PIOLLE ABAT TRANQUILLEMENT ENCORE 2 TILLEULS À LA GARE
One Comment
On voit qu’à part Nuit Debout et les traînes-savates, le Maire ne soutient personne.
Il ne peut récolter que haine et révolte.