L’extrême gauche a le droit s’associer guerre et quartiers….
.... sauf pour le gauchisme qui a le droit d'appeler " quartier en guerre" sans se faire accuser de " stigmatisation". Les" guerres" pour la bonne cause sont admises. Ainsi va la sémantique suivant le bord auquel vous appartenez. La même référence exprimée par des citoyens qui estiment leur quartier invivable sera jetée aux gémonies , accusée de tous les maux et - suprême injure- assimilée à l'extrême droite.
Par contre dans la "ville apaisée" (!) d'Eric Piolle qui subit un taux de violence et de délinquance inégalés ( + 63 % par rapport aux villes comparables) les poteaux de la ville peuvent être inondés de cette propagande unilatérale . Les grenoblois en ont ras le bol de cette volonté de leur imposer une idéologie par la répétition qui ne correspond pas à ce qu'ils vivent.