Cours de la LIBÉRATION: la DÉLINQUANCE VIOLENTE

On n'a toujours pas d'explications sur la quinzaine de vitrines brisées du restaurant “la Boucherie “et du “Brit Hôtel” 236 cours de la Libération, à l’entrée de la zone industrielle Technisud. Même si les mots “Vegan terror” ont été tagués sur un mur.  ( DL du 27/2/18) Selon le DL les responsables semblaient douter d’un acte d’hostilité de la part d’un militant de la cause animale ou du végétalisme intégral.Depuis la reprise des deux établissements il y a environ un an, le directeur de “la Boucherie” a en effet reçu plusieurs appels téléphoniques menaçants (deux mentions main courante ont d’ailleurs été déposées auprès de la police) qui, selon lui, ne semblent pas “cadrer” avec cette hypothèse. "L’auteur des dégradations a-t-il tenté de masquer son mobile par cet étrange tag ? C’est une éventualité que les policiers chargés de l’enquête vont probablement étudier " indique le DL. LA PRISE EN MAINS de la VILLE PAR LA DÉLINQUANCE ça ressemble plutôt à ce qui se passe dans une grande partie de la ville: la prise en mains par la délinquance qui rackette, menace, passe à l'action. On a vu le même phénomène à Hoche mais aussi rue des Clercs en plein centre ville avec les tirs de Kalachnikov sur une vitrine. En face c'est l'immobilisme le plus complet . Le seul plan global d'action proposé par les collectifs de citoyens avec Alain Carignon est le seul à faire face avec courage à cette gangrène de la ville. Comme l'avait exprimé un grenoblois après la fusillade de la rue des Clercs " plus on attendra plus ce sera difficile ".

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