Comme dirait la municipalité « Ce sont les artistes et également ces tags, intrusifs, qui peuvent être considérés comme du vandalisme. Un tag, un graff, c’est toujours une expression, un point de vue. Et même le truc qui paraît moche porte un message, dans l’acte même, dans le risque que prend son auteur. C’est un marqueur de la société.».
A VIlleneuve , comme partout , elle est entendue. On mesure la poésie, l'originalité et le risque d'inscrire "Nik la Bac" dans une galerie du quartier ! Eric Piolle devrait à nouveau organiser une exposition anti-police pour dénoncer le contrôle au faciès dont ces artistes sont victimes
"LES INFORMÉS" : LES COULISSES DE LA VIE GRENOBLOISE !