JUPPÉ et CARIGNON…

A l'occasion de sa nomination au Conseil Constitutionnel largement ratifiée par la commission des lois à l'Assemblée Nationale Alain Juppé a déclaré à propos de sa condamnation pénale : "J'ai eu ce débat en mon âme et conscience et je vous soumets les arguments : les faits qui m'ont été reprochés remontent au début des années 1990, au moment où le législateur mettait en place un cadre légal pour le financement des partis politiques. J'ai purgé ma peine et peut-être le temps peut-il donner droit à l'oubli".

Sa nomination pour contrôler la constitutionnalité des lois n'a pratiquement été contestée par personne, aucun leader politique, y compris les verts et l'extrême gauche.

Ce qui démontre une fois de plus que les vociférations locales d'Eric Piolle contre Alain Carignon sont bien une posture électorale. "La morale" est instrumentalisée pour gagner des voix. Le meilleur moyen de la desservir.

Beaucoup de Grenoblois se sont exprimés en ce sens sur le net et notamment Gilles Toureng, personnalité connue pour son indépendance, laquelle sur tweeter souhaite que ce même principe qui s'applique à Alain Juppé "s'applique aussi à Alain Carignon". Du bon sens


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