Guy Tuscher et Bernadette Richard-Finot, ostracisés , mis à l’écart ont quitté la majorité municipale
Pendant qu'Eric Piolle s'étourdit dans la fête commémorative des 50 eme JO, tentant de récupérer à son profit les miettes d'une ville attractive dont il a sonné le glas, les deux ex élus de sa majorité en sonnent un autre de glas. Guy Tuscher et Bernadette Richard-Finot mettent la main dans la plaie des "conseils citoyens Indépendants" (!) l'un des leurres Piollesque qui a fait long feu sombrant dans le grotesque." Nous le savons tous, le constat n'est pas bon" rappellent ils ( DL du 5/2/18) alors que « Ce projet partagé […] était un des éléments phare de notre campagne de 2014 ». Un engagement supplémentaire qui n'est pas tenu. Il a été détourné de son objet afin de faire de ces CCI de vulgaires annexes obéissantes de la majorité Rouge/Verts , leur retirant toute crédibilité .
AUCUNE DES QUESTIONS QUE SE POSENT LES GRENOBLOIS N'A JAMAIS ÉTÉ PORTÉE par les CCI
Aucune des questions lancinantes que se posent les grenoblois n'a jamais été portée par ces conseils . Les membres des comités de soutiens sont venus à travers eux lécher les bottes du Maire: ils ont heurté sa sensibilité jusqu'à demander un... atelier de réparation des vélos à l'Orangerie, d'aller plus vite dans l'installation des garages à vélos, de débattre de la légalisation du cannabis ou de réaliser une expo anti police place de Verdun pour dénoncer les contrôles au faciès véritable cause de la délinquance des quartiers... Une caricature.
" UNE GROSSE USINE à GAZ POUR PAS GRAND CHOSE"
" C'est une grosse usine à gaz pour pas grand chose" osent Guy Tuscher et Bernadette Richard-Finot bons juges pour avoir figuré sur la liste Piolle. Mais la majorité municipale aime semer le citoyen afin de le perdre et d'empêcher les sujets qui fâchent d'éclore. Elle a tué toute idée de participation des grenoblois par ses procédés dignes des républiques "populaires". Après la longue période de glaciation de la municipalité Destot , Eric Piolle a instauré le temps des faussaires de la démocratie locale.
LE POUVOIR DE DÉCIDER a ÉTÉ RENDU aux GRENOBLOIS par la MUNICIPALITÉ CARIGNON
La dernière fois qu'une municipalité a rendu le pouvoir de décider aux Grenoblois remonte à la municipalité Carignon: c'était le temps des grands débats, cartes sur table, en toute transparence , avec référendum décisionnel à la clef pour les décisions qui engageaient une venir lointain.
Si Eric Piolle avait procédé ainsi s'agissant de la fermeture de Grenoble, il ne serait pas dans cette position inextricable, le dos au mur: tous les éléments du dossier sur la table, débattus, aurait permis de corriger les conséquences graves que sa décision fait peser sur l'économie grenobloise.