"Quand on vise le cœur et les pou­mons, c’est pour tuer. Ces petits caïds ont frappé notre fils pour le tuer. Et ils ont détruit notre vie. Comme ça. Pour rien. Ma vie, aujourd’hui, elle est foutue. » Le Meylanais Bruno Perez tente de décrire l’indicible avec dignité, malgré la douleur...